Citations sur légitimation
Une collection de citations sur le thème de légitimation, tout, pluie, bien-être.
Citations sur légitimation
Bréviaire du chaos (1982)

Presse

Graines de possibles, regards croisés sur l'écologie

Articles divers et Préfaces, Les programmes et les centres d'intérêt, 1934
français
Les réprouvés, 1931

[…] Espérons qu’au moins les pauvres diables ne seront pas fusillés. Car alors nous serions fondés à dire qu’ils étaient allés chercher de la laine et étaient revenus prêts à être tondus.
Les intermittences de la mort (As Intermitcias da Morte), 2005

Métamorphose du bourgeois, 1967

« État d'urgence démocratique » paru initialement dans Le Monde du 19 février 1997

Los agravis que hem rebut constanment y 'ls que 'ns estan amenassant encara, son la llegitimació mes completa del nostre catalanisme. Son aqueixos de tal naturalesa que 'ns autorisarian fins a proclamar la separació. Mes no volem pas anar tan alla mentre no se'ns posi en situació de no tenir altra sortida
ca
Lo catalanisme, 1886

Discours, Contre la tentative de l'assemblée de révoquer les droits des sociétés à l'affiliation [29, septembre, 1791]

That principle is, that the sole end for which mankind are warranted, individually or collectively, in interfering with the liberty of action of any of their number, is self-protection. That the only purpose for which power can be rightfully exercised over any member of a civilized community, against his will, is to prevent harm to others.
en
De la liberté

Les nouveaux possédés, 1973
Essais, Les Contre-réactionnaires, 2007

fr
Le principe de Lucifer : une expédition scientifique dans les forces de l'histoire, 2001

français
À propos de certaines actes liés à la communauté musulmane suisse et à l'Initiative populaire suisse du 29 novembre 2009 contre la construction de minarets.
Ma confession (1975)
fr
À propos de la Coordination intercommunautaire contre l'antisémitisme et la diffamation (CICAD)
Citation

“Je crois qu’il y a des résistances honnêtes et des rébellions légitimes.”
Je crois qu'il y a des résistances honnêtes et des rébellions légitimes. Je ne dis donc point, d'une manière absolue, que les hommes des temps démocratiques ne doivent jamais faire de révolutions ; mais je pense qu'ils ont raison d'hésiter plus que tous les autres avant d'entreprendre, et qu'il leur vaut mieux souffrir beaucoup d'incommodités de l'état présent que de recourir à un si périlleux remède.
fr
De la démocratie en Amérique, 1835-1840

Contre les violents, 1972

Citation de Buren également disponible dans « Buren : Ecrits vol1 », 1993

« Il faut défendre la société » — Cours au Collège de France, 1976, Cours du 4 février 1976

The Transfiguration of Man
Variante: [... ] Dans cette question des limites de fait ou de droit du sentiment patriotique, il convient de rappeler tout d’abord qu’il y a patrie et patrie : il y a celle de la terre et celle du Ciel; la seconde est prototype et mesure de la première, elle lui donne son sens et sa légitimité. C’est ainsi que dans l’enseignement évangélique l’amour de Dieu prime, et peut par conséquent contredire, l’amour des proches parents, sans qu’il y ait là aucune offense à la charité; la créature doit d’ailleurs être aimée « en Dieu », c’est à dire que l’amour ne lui appartient jamais en entier. Le Christ ne s’est soucié que de la Patrie céleste, qui « n’est pas de ce monde »; c’est suffisant, non pour renier le fait naturel d’une patrie terrestre, mais pour s’abstenir de tout culte abusif – et avant tout illogique – du pays d’origine. Si le Christ a désavoué les attachements temporels, il n’en a pas moins admis les droits de la nature, dans le domaine qui est le leur, droits éminemment relatifs qu’il ne s’agit pas d’ériger en idoles; c’est ce que saint Augustin a magistralement traité, sous un certain rapport tout au moins, dans Civitas Dei. Le patriotisme normal est à la fois déterminé et limité par les valeurs éternelles; « il ne s’enfle point » et ne pervertit pas l’esprit; il n’est pas, comme le chauvinisme, l’oubli officiel de l’humilité et de la charité en même temps que l’anesthésie de toute une partie de l’intelligence; restant dans ses limites, il est capable de susciter les plus belles vertus, sans être un parasite de la religion.
Il faut se garder des interprétations abusives du passé historique; l’œuvre de Jeanne d’Arc n’a rien à voir avec le nationalisme moderne, d’autant que la sainte à suivi l’impulsion, non point d’un nationalisme naturel – ce qui eût été légitime – mais celle d’une volonté céleste, qui voyait loin. La France fut pendant des siècles le pivot du Catholicisme; une France anglaise eût signifié en fin de compte une Europe protestante et la fin de l’Eglise catholique; c’est ce que voulurent prévenir les « voix ». L’absence de toute passion, chez Jeanne, ses paroles sereines à l’égard des Anglais, corroborent pleinement ce que nous venons de dire et devrait suffire pour mettre la sainte à l’abri de toute imposture rétrospective (1). [... ]
1 – De même, l’étendard de Jeanne fut tout autre chose qu’un drapeau révolutionnaire unissant, dans un même culte profane, croyants et incroyants.
"Usurpations du sentiment religieux", Études Traditionnelles, décembre 1965.

Disobedience and Democracy: Nine Fallacies on Law and Order
Returning to Reims

Discourse on the Origin of Inequality

“L'épithète doit être la maîtresse du substantif, jamais sa femme légitime.”
Notes sur la vie (published posthumously 1899)