Citations sur blanc
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“Hey, vous savez quoi? Je ne suis pas noir, mais bien souvent, j'aimerais pouvoir dire que je ne suis pas blanc!”

Frank Zappa (1940–1993) musicien américain

Hey, you know something people? I'm not black, but there's a whole lots a times I wish I could say I'm not white.
en

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“Belle image de la ville d’Évry… Tu me mets quelques Blancs, quelques Whites, quelques Blancos!”

Manuel Valls (1962) homme politique français

Filmé par Direct 8 pour l'émission Politiquement parlant, le maire d'Évry, équipé d'un micro-cravate, parcourt les allées d'une brocante.
L'élu d'opposition

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“Moins le blanc est intelligent, plus le noir lui paraît bête.”

Travels in the Congo
Citations diverses, (1927)

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“Je n'ai jamais vu la vie avec les yeux d'un blanc.”

Toni Morrison (1931–2019) écrivain américaine

Réponse à la question « Ce type de situations ne vous faisait pas enrager ? » à propos de l'ostracisation des noirs.

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“Pis encore! Elle est couverte de suçons! De larges ecchymoses violettes maculent son beau cou blanc, ses épaules.”

Anne Calife (1966) littératrice française, romancière et dramaturge, a été aussi professeur de sciences médico-sociales

Anne Calife sous le nom de Anne Colmerauer, La déferlante, 2003, Anne Calife, Paul et le chat, 2004

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“La crème revient à chaque instant dans ma description, mais que faire? L'homme aux tartes en mettait partout, et sur la table pillée, plus tard, ce qui restait dans les cuillers, entre les dents des fourchettes, au creux des assiettes vides, sur les rondelles de papier d'apparat et sur le dos même du meuble, qu'était-ce encore sinon cette matière persistante, onctueuse comme de la vaseline, chargée d'empreintes de doigts, répandue en bavures, en filets, en flaques, en étoiles, amalgamée aussi avec des sédiments de miettes pas moins bariolés que les nappes de confetti qui descendent les ruisseaux et que l'on voit obstruer souvent une bouche d'égout dans le temps du carnaval? À ce moment, l'état de Marie Mors valait celui de la table, et nue, sauf quelques linges gras, elle me fit plus d'une fois penser à un garde-chasse préparé au miel et au lard pour être introduit dans un nid de grandes fourmis des pins. Je fermais les yeux sur cette évocation d'un plaisir de braconniers. Quand je les ouvrais de nouveau, je trouvais Marie Mors roulée comme un cigare dans un peignoir d'éponge tabac, sur le moelleux appui d'un divan de peluche verte toujours regardé en étranger dans ma chambre entre le lit, la commode et les deux armoires de bois rouge, le plancher ciré, le plafond de poutres vernies et les quatre murs recouverts d'un papier imitant à s'y méprendre les veines du bois blanc autour de quelques gravures très noires dans leurs cadres d'acajou.”

André Pieyre de Mandiargues (1909–1991) écrivain français

Recueil de nouvelles, Soleil des loups, 1951, L’Étudiante

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“Peu importe ce que feront ces terroristes, je refuse d'être terrorisée. Il ne faut que quelques petits changements à nos vies de tous les jours. Par exemple, mon premier instinct, quand je reçois un enveloppe plein de poudre blanc, c'est de le sniffer. Bon, je ne le ferai plus!”

Margaret Cho (1968) actrice américaine

No matter what these terrorists do, I refuse to be terrorized. ...All this requires is just a few alterations in our day to day lives. For example, my first instinct when I receive an envelope full of white powder... is to snort it! I just won't do that this time!
en
Notorious C.H.O.

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“Jusqu'où quelqu'un peut-il avoir autant d'avantages? Je suis un homme blanc!”

Louis C.K. (1967) acteur et humoriste américain

How many advantages can one person have? I'm a white man!
en
Chewed Up (2008)

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“Le Mari, sa chemise amidonnée et blanche sur le divan noir, leva les bras au ciel vers une belle évidence. Chatons? plus rien : il les avait noyés. Comment? Il refusa d’en parler, balayant toutes mes questions d’un geste blanc.”

Anne Calife (1966) littératrice française, romancière et dramaturge, a été aussi professeur de sciences médico-sociales

Anne Calife sous le nom de Anne Colmerauer, La déferlante, 2003, Anne Calife, Paul et le chat, 2004

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“Cette séparation alchimique, si dangereuse que les philophes hermétiques n’en parlaient qu’à mots couverts, si ardue que de longues vies s’étaient usées en vain à l’obtenir, il l’avait confondue jadis avec une rébellion facile. Puis, rejetant ce fatras de rêvasseries aussi antiques que l’illusion humaine, ne retenant de ses maîtres alchimistes que quelques recettes pragmatiques, il avait choisi de dissoudre et de coaguler la matière dans le sens d’une expérimentation faite avec le corps des choses. Maintenant, les deux branches de la parabole se rejoignaient; la mors philosophica, s’était accomplie : l’opérateur brûlé par les acides de la recherche était à la fois sujet et objet, alambic fragile et, au fond du réceptacle, précipité noir. L’expérience qu’on avait cru pouvoir confiner à l’officine s’était étendue à tout. S’en suivait-il que les phases subséquentes de l’aventure alchimique fussent autre chose que des songes, et qu’un jour il connaîtrait aussi la pureté ascétique de l’ Œuvre au Blanc, puis le triomphe de l’esprit et des sens qui caractérise l’ Œuvre au Rouge? Du fond de la lézarde naissait une Chimère. Il disait Oui par audace, comme autrefois par audace il avait dit Non. Il s’arrêtait soudain, tirant violemment sur ses propres rênes. La première phase de l’Œuvre avait demandé toute sa vie. Le temps et les forces manquaient pour aller plus loin, à supposer qu’il y eût une route, et que par cette route un homme pût passer. Ou ce pourrissement des idées, cette mort des instincts, ce broiement des formes preque insupportables à la nature humaine seraient rapidement suivis par la mort véritable, et il serait curieux de voir par quelle voie, ou l’esprit revenu des domaines du vertige reprendrait ses routines habituelles, muni seulement de facultés plus libres et comme nettoyées. Il serait beau d’en voir les effets.”

Marguerite Yourcenar (1903–1987) écrivaine française
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“Quand Marco passait, tous les jeunes hommes Se penchaient pour voir ses yeux, des Sodomes Où les feux d'Amour brûlaient sans pitié Ta pauvre cahute, ô froide Amitié; Tout autour dansaient des parfums mystiques Où l'âme, en pleurant, s'anéantissait. Sur ses cheveux roux un charme glissait; Sa robe rendait d'étranges musiques Quand Marco passait. Quand Marco chantait, ses mains, sur l'ivoire, Évoquaient souvent la profondeur noire Des airs primitifs que nul n'a redits, Et sa voix montait dans les paradis De la symphonie immense des rêves, Et l'enthousiasme alors transportait Vers des cieux connus quiconque écoutait Ce timbre d'argent qui vibrait sans trèves, Quand Marco chantait. Quand Marco pleurait, ses terribles larmes Défiaient l'éclat des plus belles armes; Ses lèvres de sang fonçaient leur carmin Et son désespoir n'avait rien d'humain; Pareil au foyer que l'huile exaspère, Son courroux croissait, rouge, et l'on aurait Dit d'une lionne à l'âpre forêt Communiquant sa terrible colère, Quand Marco pleurait. Quand Marco dansait, sa jupe moirée Allait et venait comme une marée, Et, tel qu'un bambou flexible, son flanc Se tordait, faisant saillir son sein blanc; Un éclair partait. Sa jambe de marbre, Emphatiquement cynique, haussait Ses mates splendeurs, et cela faisait Le bruit du vent de la nuit dans un arbre, Quand Marco dansait. Quand Marco dormait, oh! quels parfums d'ambre Et de chair mêlés opprimaient la chambre! Sous les draps la ligne exquise du dos Ondulait, et dans l'ombre des rideaux L'haleine montait, rhythmique et légère; Un sommeil heureux et calme fermait Ses yeux, et ce doux mystère charmait Les vagues objets parmi l'étagère, Quand Marco dormait. Mais quand elle aimait, des flots de luxure Débordaient, ainsi que d'une blessure Sort un sang vermeil qui fume et qui bout, De ce corps cruel que son crime absout: Le torrent rompait les digues de l'âme, Noyait la pensée, et bouleversait Tout sur son passage, et rebondissait Souple et dévorant comme de la flamme, Et puis se glaçait.”

Oeuvres complètes de Paul Verlaine, Vol. 1 Poèmes Saturniens, Fêtes Galantes, Bonne chanson, Romances sans paroles, Sagesse, Jadis et naguère

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“… et au dessus de moi, avec une résonance imperceptible, le blanc écoulement de ce monde.”

Stefan Zweig (1881–1942) écrivain autrichien

Amok and Other Stories

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“Dans l’évolution de l’espèce humaine, de singe on devient Noir, Rouge, Jaune, puis Blanc.”

Bernard Dadié (1916–2019) écrivain et homme politique ivoirien

Climbié, 1956

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“Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.”

Livre Fables/Hachette, livre septième, fable première, 399, Les Animaux malades de la Peste
Les Animaux malades de la peste