Citations sur banque

Une collection de citations sur le thème de banque, pluie, tout, état.

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“Si le climat était une banque, les pays riches l'auraient déjà sauvé.”

Hugo Chávez (1954–2013) 52e président de la République bolivarienne du Venezuela
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“Dans la nature, le lion ne prélève pas au-delà de ce qui lui est nécessaire. Il n'a pas d'entrepôt ni de banque d'antilopes.”

Pierre Rabhi (1938) essayiste, agriculteur biologiste, romancier et poète français

Graines de possibles, regards croisés sur l'écologie

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“Un an a passé, et, comme l'incendie qui menace Athènes, les banques sont frappées de la même démence gloutonne.”

Au sujet de la mise en parallèle des incendies à Athènes avec la crise financière.
Le Bien public, 2007-2009, Économie

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“Diogène, fils du banquier Ikésios, naquit à Sinope. Il s'enfuit quand son père, qui tenait une banque publique, fabriqua de la fausse monnaie.”

Diogène de Sinope (-404–-322 avant J.-C.) philosophe grec de l'Antiquité associé à l'école cynique

Diogène Laërce, Vies, doctrines et sentences des philosophes illustres

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“Cette information nous apprend, tout d'abord, que l'entrée dans le gouvernement révolutionnaire de représentants du prolétariat socialiste aux côtés de la petite bourgeoisie est, sur le plan des principes, parfaitement acceptable et, dans des conditions déterminées, tout simplement obligatoire. Cette information nous montre ensuite que la tâche réelle dont la Commune a dû s'acquitter était avant tout la réalisation de la dictature non pas socialiste, mais démocratique, l'application de notre « programme minimum ». Enfin, cette information nous rappelle que, tirant la leçon de la Commune de Paris, nous devons imiter non ses erreurs (les communards n'ont pas pris la Banque de France, ils n'ont pas lancé d'offensive contre Versailles, n'avaient pas de programme clair, etc.), mais ces actions pratiques couronnées de succès qui nous montrent la voie à suivre. Nous ne devons pas emprunter le mot « Commune » aux grands combattants de 1871, nous ne devons pas répéter aveuglément chacun de leurs mots d'ordre, mais promouvoir clairement des mots d'ordre de programme et d'action qui répondent à la situation actuelle de la Russie et que l'on peut résumer ainsi: dictature révolutionnaire démocratique du prolétariat et des paysans.”

Lénine (1870–1924) révolutionnaire et homme d'état soviétique

Conclusion de l'article « La Commune de Paris et les tâches de la dictature démocratique», in Prolétari n°8 du 17 juillet 1905

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“Rrose Sélavy fonde une banque antarctique sur la banquise antiartistique.”

Robert Desnos (1900–1945) poète français

Rrose Sélavy, 1922

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“Ça fait mal de respirer quand il fait aussi froid, mais malgré tous les problèmes d'être coincés par l'hiver dans la ville, ils le supportent parce que tout vaut d'être sur l'Avenue Lenox à l'abri des sales Blancs et des trucs qu'ils inventent; là où les trottoirs, couverts de neige ou non, sont plus larges que les grandes rues des villes où ils sont nés et où des gens parfaitement ordinaires peuvent attendre à l'arrêt, monter dans le tramway, donner une pièce au conducteur et aller partout où ils veulent, même si on n'a pas envie d'aller si loin parce que tout ce qu'on veut est sur place : l'église, la boutique, la fête, les femmes, les hommes, la boîte à lettres (mais pas de lycée), le marchand de meubles, le vendeur de journaux ambulant, les bistrots clandestins (mais pas de banque), les instituts de beauté, les coiffeurs, les bars à juke-box, les voitures à glace, les chiffonniers, les salles de billard, les marchés couverts, les vendeurs de la loterie, et tous les clubs, organisations, syndicats, sociétés, fraternités, sororités ou associations imaginables. Les ornières de ces services, bien sûr, sont usées et des pistes sont lissées par les membres d'un groupe dans le territoire d'un autre où on croit qu'il y a quelque chose de curieux ou d'excitant. Un truc brillant, crépitant, effrayant. Là où on peut faire sauter le bouchon et porter la bouche glacée du verre à la sienne. Où on peut trouver le danger ou le devenir; où on peut se battre jusqu'à tomber et sourire au couteau quand il vous rate ou non. Juste voir ça, c'est merveilleux. Et c'est tour aussi merveilleux de savoir que dans son propre immeuble il y a des listes faites par les épouses pour envoyer le mari au marché couvert, que des draps impossibles à étendre sous la neige sont tendus dans les cuisines comme les rideaux dans un sketch de patronage sur l'Abyssinie.”

Jazz, 1992

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“Le point fondamental est le suivant : le travail, la terre et l'argent sont des éléments essentiels de l'industrie; ils doivent eux aussi être organisés en marchés; ces marchés forment en fait une partie absolument essentielle du système économique. Mais il est évident que travail, terre et monnaie ne sont pas des marchandises; en ce qui les concerne, le postulat selon lequel tout ce qui est acheté et vendu doit avoir été produit pour la vente est carrément faux. En d'autres termes, si l'on s'en tient à la définition empirique de la marchandise, ce ne sont pas des marchandises. Le travail n'est que l'autre nom de l'activité économique qui accompagne la vie elle-même -- laquelle, de son côté, n'est pas produite pour la vente mais pour des raisons entièrement différentes --, et cette activité ne peut pas non plus être détachée du reste de la vie, être entreposée ou mobilisée; la terre n'est que l'autre nom de la nature, qui n'est pas produite par l'homme; enfin, la monnaie réelle est simplement un signe de pouvoir d'achat qui, en règle générale, n'est pas le moins du monde produit, mais est une création du mécanisme de la banque ou de la finance d'État. Aucun de ces trois éléments -- travail, terre, monnaie -- n'est produit pour la vente; lorsqu'on les décrit comme des marchandises, c'est entièrement fictif.”

La Grande Transformation (1944), Deuxième partie : Grandeur et décadence de l'économie de marché, Chapitre 6 : Le marché autorégulateur et les marchandises fictives : travail, terre et monnaie

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“Entre 1929 et 1933, deux banques américaines sur cinq firent banqueroute - 10763 banques sur 24970 disparurent. Seules les banques d'une nation européenne survécurent intactes au crash du Creditanstalt. Cette nation était l'Italie, dirigée par le dictateur fachiste Benito Mussolini. Il donna l'impression que ses institutions financières étaient fortes et sans crainte de la crise. Il travailla sur l'émotion et la perception, comme clés de la croissance et de la récession (…) Le résultat? Si vous retiriez votre épargne dans la banque d'une nation tremblant de panique, telle que l'Autriche, l'Allemagne, l'Angleterre ou les États-Unis, vers quelle nation auriez-vous envoyé votre argent à l'abri? L'Italie.”

Howard Bloom (1943)

Between 1929 and 1933, two out of every five american banks collapsed - 10763 out of 24970 banks went down (...) Only the banks of one European nation survived the Creditanstalt collapse intact. That nation was Italy led by a fascist dictator Benito Mussolini. He gave the impression that Italy's financial institutions stood strong and fearless in the storm. He worked the levers of emotion and perception, the keys to boom and crash (...) The result ? If you'd just pulled your savings out of a bank in a nation trembling with panic, such as Austria, Germany, England, or United States, to what nation would you send your money for safekeeping ? Italy.
en
(Animal behavior experts call that dominance cues).
Le génie de la bête : une révision radicale du capitalisme, 2010

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“Je rêve d'une banque, qui soit faite spécialement pour moi. Moi, Gad.”

Gad Elmaleh (1971) auteur et interprète de sketches, comédien

Spot publicitaire organisé par l'agence Aubert Storch
Citations issues de ses spectacles, LCL, 2013

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“L'idée qui sous-tend ma proposition pour une Union Monétaire est simple, à savoir […] l'établissement d'une Banque de Règlement internationale.”

John Maynard Keynes (1883–1946) économiste britannique

The idea underlying my proposals for a Currency Union is simple, namely [...] the
Propositions pour une Union monétaire internationale, 1941

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“Tout Occidental tourmenté fait penser à un héros dostoïevskien qui aurait un compte en banque.”

Emil Cioran (1911–1995) philosophe et écrivain roumain, d'expression roumaine initialement, puis française
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“La FED est une banque privée qui appartient aux deux plus grands groupes financiers, Rothschild et Rockefeller.”

Eberhard Hamer (1932) économiste et essayiste allemand

Les deux groupes ont utilisé cette mine d'or pour faire main basse sur les matières premières mondiales, acquérir des participations ou procéder à des fusions dans des groupes mondiaux, financer les guerre néfastes menées par les États-Unis ainsi que les déficits budgétaires de ceux-ci; ils ont ainsi formé, intentionnellement ou par négligence, la grande bulle financière qu'il convient maintenant de corriger.
français

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