Extrait de son livre : Le Chemin du labyrinthe
Citations sur la distance
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Socialisme et patriotisme 1884
D'autres, confrontés à la réalité, resteront lettre morte.
Au sujet du caractère inapplicable de la loi de février 2007 sur le droit au logement.
Le Bien public, 2007-2009, Politique
“La mort et la destruction sont jamais plus loin que la bouche qu'on veut embrasser.”
Rude journée pour l'homme léopard, 1991
Post Mortem (1968)
Utopie des usuriers, 1917
Appel de Clermont qu'adresse le pape Urbain II en 1095 aux évêques réunis lors du Concile de Clermont (1095) . Il sera suivi de la Première croisade .
“Les programmes!… Une fois nommé… les programmes sont loin… et ils courent encore…”
Les affaires sont les affaires, 1903
L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Préface
fr
Gomorra : Dans l'empire de la Camorra, 2006, Seconde partie, Hollywood
L'idéologie marxiste chrétienne, 1979
Anne Calife sous le nom de Anne Colmerauer, La déferlante, 2003, Anne Calife, Paul et le chat, 2004
“Parfois une bonne perspective se dessine plus facilement vue de loin.”
Port Tropique, 1980
Tamata et l'Aliance, 1993
Une histoire d'amour et de ténèbres , 2002
Les Anormaux — Cours au Collège de France, 1974-1975, Cours du 15 janvier 1975
L'Œuvre de Jung et la psychologie complexe, 1963, Réalité de l'âme
Charge d'âme, 1977
Citation extraite d'une préface rédigée par Gérald Antoine en 1998
Préface de Portraits de Femmes, 1998
D'autres auteurs la concernant
Amparo explique à Mattias Tannhauser comment reconnaître un taureau de combat.
La Religion (2006)
grc
La déesse Athéna instaure le tribunal de l'Aréopage à Athènes afin de trancher le conflit entre Apollon et les Erinyes au sujet de la culpabilité ou de l'innocence d'Oreste (la mère d'Oreste, Clytemnestre, ayant tué son époux Agamemnon, Oreste a tué Clytemnestre, commettant ainsi un matricide pour venger son père).
L'Orestie, Les Euménides
Guerillas 1808
Et, s'arrêtant une fois encore : "Mais peut-être n'est-ce pas notre affaire."
“Pour grandir, il faut porter loin de soi ses regards. Et puis ne regarder pas trop en arrière”
Œdipe
The Archaeology of Knowledge & The Discourse on Language
The Transfiguration of Man
Variante: [... ] Dans cette question des limites de fait ou de droit du sentiment patriotique, il convient de rappeler tout d’abord qu’il y a patrie et patrie : il y a celle de la terre et celle du Ciel; la seconde est prototype et mesure de la première, elle lui donne son sens et sa légitimité. C’est ainsi que dans l’enseignement évangélique l’amour de Dieu prime, et peut par conséquent contredire, l’amour des proches parents, sans qu’il y ait là aucune offense à la charité; la créature doit d’ailleurs être aimée « en Dieu », c’est à dire que l’amour ne lui appartient jamais en entier. Le Christ ne s’est soucié que de la Patrie céleste, qui « n’est pas de ce monde »; c’est suffisant, non pour renier le fait naturel d’une patrie terrestre, mais pour s’abstenir de tout culte abusif – et avant tout illogique – du pays d’origine. Si le Christ a désavoué les attachements temporels, il n’en a pas moins admis les droits de la nature, dans le domaine qui est le leur, droits éminemment relatifs qu’il ne s’agit pas d’ériger en idoles; c’est ce que saint Augustin a magistralement traité, sous un certain rapport tout au moins, dans Civitas Dei. Le patriotisme normal est à la fois déterminé et limité par les valeurs éternelles; « il ne s’enfle point » et ne pervertit pas l’esprit; il n’est pas, comme le chauvinisme, l’oubli officiel de l’humilité et de la charité en même temps que l’anesthésie de toute une partie de l’intelligence; restant dans ses limites, il est capable de susciter les plus belles vertus, sans être un parasite de la religion.
Il faut se garder des interprétations abusives du passé historique; l’œuvre de Jeanne d’Arc n’a rien à voir avec le nationalisme moderne, d’autant que la sainte à suivi l’impulsion, non point d’un nationalisme naturel – ce qui eût été légitime – mais celle d’une volonté céleste, qui voyait loin. La France fut pendant des siècles le pivot du Catholicisme; une France anglaise eût signifié en fin de compte une Europe protestante et la fin de l’Eglise catholique; c’est ce que voulurent prévenir les « voix ». L’absence de toute passion, chez Jeanne, ses paroles sereines à l’égard des Anglais, corroborent pleinement ce que nous venons de dire et devrait suffire pour mettre la sainte à l’abri de toute imposture rétrospective (1). [... ]
1 – De même, l’étendard de Jeanne fut tout autre chose qu’un drapeau révolutionnaire unissant, dans un même culte profane, croyants et incroyants.
"Usurpations du sentiment religieux", Études Traditionnelles, décembre 1965.
Blaise Pascal - Oeuvres Complètes LCI/40
Maldoror = Les Chants de Maldoror, together with a translation of Lautréamont's Poésies