Citations sur futur

Une collection de citations sur le thème de futur, pluie, tout, présent.

Citations sur futur

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“Ce que tu fais de valeureux aujourd’hui inspire les actions des autres dans le futur.”

Marcus Garvey (1887–1940) militant jamaïcain

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“J'observe avec horreur un futur antérieur dont la mort est l'enjeu.”

La Chambre claire (notes sur la photographie), 1980

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“L'humain du lointain futur sera un métis. Les races et les castes d'aujourdhui seront victimes du déplacement toujours plus grand de l'espace, du temps et des préjugés. La race du futur, négroïdo-eurasienne, d'apparence semblable à celle de l'égypte ancienne, remplacera la multiplicité des peuples par une multiplicité des personnalités.”

Richard Nikolaus de Coudenhove-Kalergi (1894–1972) personnalité politique autrichienne

Der Mensch der fernen Zukunft wird Mischling sein. Die heutigen Rassen und Kasten werden der zunehmen den Überwindung von Raum, Zeit und Vorurteil zum Opfer fallen. Die eurasisch-negroide Zukunftsrasse, äußerlich der altägyptischen ähnlich, wird die Vielfalt der Völker durch eine Vielfalt der Persönlichkeiten ersetzen.
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“Le fait c’est que chaque écrivain crée ses précurseurs. Son labeur modifie notre conception du passé, comme il modifiera le futur.”

Jorge Luis Borges (1899–1986) écrivain argentin de prose et de poésie

El hecho es que cada escritor crea sus precursores. Su labor modifica nuestra concepción del pasado, como ha de modificar el futuro.
es
Essais

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“Chaque peuple porte une tradition, un royaume intérieur, un murmure des temps anciens et du futur.”

Dominique Venner (1935–2013) historien, journaliste et essayiste français d'extrême droite

Histoire et tradition des Européens : 30 000 ans d'identité, 2002

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“Mettre mes chaussettes est pour moi le pire moment de la journée. Dans le futur, si je vis le jour le plus affreux de ma vie – un jour où ma grand-mère est assassinée par mon autre grand-mère –, le pire moment de cette journée, ce sera celui où j'enfilerai mes chaussettes.”

Louis C.K. (1967) acteur et humoriste américain

Putting on my socks is the worst part of every day. And it always will be! Even if I'd have a terrible day in the future, where my grandmother is murdered by my other grandmother, the worst part of that day would be when I put on my socks.
en
Oh My God (2013)

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“Je suis un Catholique. Un Catholique du Futur. Je suis un Catholique de la Fin des Temps.”

Maurice G. Dantec (1959–2016) écrivain français naturalisé canadien

American black box. Le Théâtre des opérations 3, 2002-2006

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“L'industrie du futur, c'est le futur de l'industrie.”

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“L'historien fait pour le passé ce que la tireuse de cartes fait pour le futur. Mais la sorcière s'expose à une vérification et non l'historien.”

Paul Valéry (1871–1945) écrivain, poète et philosophe français

Regards sur le monde actuel

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“L’abstrait ne contient pas le fait ; le vrai ne contient pas le réel ; l’éternel présent ne contient pas le futur : l’homme est libre et (mais cela revient au même) Dieu n’existe pas.”

André Comte-Sponville (1952) philosophe français

Du tragique au matérialisme (et retour): Vingt-six études sur Montaigne, Pascal, Spinoza, Nietzsche et quelques autres

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“Je condamne l'ignorance qui règne en ce moment dans les démocraties aussi bien que dans les régimes totalitaires. Cette ignorance est si forte, souvent si totale, qu'on la dirait voulue par le système, sinon par le régime. J'ai souvent réfléchi à ce que pourrait être l'éducation de l'enfant. Je pense qu'il faudrait des études de base, très simples, où l'enfant apprendrait qu'il existe au sein de l'univers, sur une planète dont il devra plus tard ménager les ressources, qu'il dépend de l'air, de l'eau, de tous les êtres vivants, et que la moindre erreur ou la moindre violence risque de tout détruire. Il apprendrait que les hommes se sont entre-tués dans des guerres qui n'ont jamais fait que produire d'autres guerres, et que chaque pays arrange son histoire, mensongèrement, de façon à flatter son orgueil. On lui apprendrait assez du passé pour qu'il se sente relié aux hommes qui l'ont précédé, pour qu'il les admire là où ils méritent de l'être, sans s'en faire des idoles, non plus que du présent ou d'un hypothétique avenir. On essaierait de le familiariser à la fois avec les livres et les choses; il saurait le nom des plantes, il connaîtrait les animaux sans se livrer aux hideuses vivisections imposées aux enfants et aux très jeunes adolescents sous prétexte de biologie; il apprendrait à donner les premiers soins aux blessés; son éducation sexuelle comprendrait la présence à un accouchement, son éducation mentale la vue des grands malades et des morts. On lui donnerait aussi les simples notions de morale sans laquelle la vie en société est impossible, instruction que les écoles élémentaires et moyennes n'osent plus donner dans ce pays. En matière de religion, on ne lui imposerait aucune pratique ou aucun dogme, mais on lui dirait quelque chose de toutes les grandes religions du monde, et surtout de celles du pays où il se trouve, pour éveiller en lui le respect et détruire d'avance certains odieux préjugés. On lui apprendrait à aimer le travail quand le travail est utile, et à ne pas se laisser prendre à l'imposture publicitaire, en commençant par celle qui lui vante des friandises plus ou moins frelatées, en lui préparant des caries et des diabètes futurs. Il y a certainement un moyen de parler aux enfants de choses véritablement importantes plus tôt qu'on ne le fait. (p. 255)”

Marguerite Yourcenar (1903–1987) écrivaine française

Les Yeux ouverts : Entretiens avec Matthieu Galey

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“Je n'étais même pas libre de pleurer. Qui est jamais libre de pleurer? Il y a toujours des gens autour, des gens capables de regarder sans le voir un homme sur son chemin de croix, avec sa carrière dans des cartons, mais incapables de supporter le festin visuel d'un homme en pleurs, oui, en pleurs, emporté par l'hiver de son déplaisir.

Mais eux non plus, ils n'étaient pas libres d'ingérer le spectacle et de retourner à leurs affaires pour pleurer, de peur que leurs collègues ne les voient en larmes devant leur écran d'ordinateur. Le dernier qui pleurera aura gagné. Nous savons tous ça. Les enfants le tiennent pour un article de foi. Les adultes, eux, ne sont plus en position de le formuler comme tel, mais ils le savent d'instinct. En conclusion, personne n'est libre de pleurer. Personne excepté Tanya.

Devant le gare, il m'est apparu que personne n'est réellement libre, pas seulement en matière de larmes, mais en toute chose. Si un évènement ou une situation détermine ou en cause une autre, en quel sens peut-on prétendre que nous sommes libres d'agir ou non? Si notre comportement est déterminé par toute une série de facteurs, notre structure génétique, la manière dont nous avons été mis au monde, notre perception de l'amour, l'attention et le confort matériel que nous avons connus enfant, jusqu'à notre taux de sucre dans le sang et notre exposition immédiate aux conditions climatiques dominantes, en quoi sommes-nous libres?

Et même si nous pouvions calculer l'effet de tous ces facteurs et prédire notre comportement, nous ne serions toujours pas libres. Car être capable de prédire les évènements futurs ne permet pas pour autant de les influencer si les variables qui les déterminent échappent à notre contrôle.”

Three Dollars

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“Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai compris qu'en toutes circonstances,
J’étais à la bonne place, au bon moment.
Et alors, j'ai pu me relaxer.
Aujourd'hui je sais que cela s'appelle…
l'Estime de soi.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle
N’étaient rien d'autre qu'un signal
Lorsque je vais à l'encontre de mes convictions.
Aujourd'hui je sais que cela s'appelle… l'Authenticité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J'ai cessé de vouloir une vie différente
Et j'ai commencé à voir que tout ce qui m'arrive
Contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle… la Maturité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai commencé à percevoir l'abus
Dans le fait de forcer une situation ou une personne,
Dans le seul but d'obtenir ce que je veux,
Sachant très bien que ni la personne ni moi-même
Ne sommes prêts et que ce n'est pas le moment…
Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle… le Respect.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai commencé à me libérer de tout ce qui n'était pas salutaire, personnes,
situations, tout ce qui baissait mon énergie.
Au début, ma raison appelait cela de l'égoïsme.
Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle… l'Amour propre.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai cessé d'avoir peur du temps libre
Et j'ai arrêté de faire de grands plans,
J’ai abandonné les méga-projets du futur.
Aujourd'hui, je fais ce qui est correct, ce que j'aime
Quand cela me plait et à mon rythme.
Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle… la Simplicité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai cessé de chercher à avoir toujours raison,
Et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.

Aujourd'hui, j'ai découvert… l'Humilité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai cessé de revivre le passé
Et de me préoccuper de l'avenir.

Aujourd'hui, je vis au présent,
Là où toute la vie se passe.
Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois.
Et cela s'appelle… la Plénitude.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.
Mais si je la mets au service de mon coeur,
Elle devient une alliée très précieuse!
Tout ceci, c'est… le Savoir vivre.

Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter.

Du chaos naissent les étoiles.”

Charlie Chaplin (1889–1977) acteur britannique
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“Je suis un demi-dieu, une divinité mineure, un archange… Choisis le terme que tu préfères. Tu peux t’adresser à moi en m’appelant « maître », car tu n’as pas le droit de connaître mon nom. (Il se laissa tomber en position assise.) J’ai choisi cette forme parce qu’elle m’amuse et ne t’effraie pas. Wallie ne fut pas impressionné. — Pourquoi jouer avec moi ? J’aurais pu croire en toi beaucoup plus tôt si tu t’étais présenté sous un aspect plus divin – ou même avec un simple halo… Il avait dépassé les bornes. Les joues de l’enfant se gonflèrent sous le coup de la colère. — Très bien, puisque c’est ton souhait. Voici un petit aperçu. Wallie cria et se couvrit les yeux, mais trop tard. La caverne était déjà brillante, mais elle s’enflamma soudain d’un éclat magnificent aussi aveuglant que celui d’un soleil. L’enfant était demeuré un enfant, mais une infime partie de sa divinité flamboya un bref instant – et ce fut assez pour plonger un simple mortel dans une terreur sans nom. Dans ce fragment de majesté, Wallie vit que l’âge de cet être dépassait l’imagination – il existait bien avant la formation des galaxies et perdurerait bien après la disparition de feux d’artifice aussi éphémères ; son quotient intellectuel se mesurait en trillions et il était capable de connaître chaque pensée de chaque créature dans l’univers ; sa puissance aurait pu détruire une planète aussi facilement qu’on se cure les ongles ; comparés à sa noblesse et à sa pureté, les êtres humains ressemblaient à des bêtes infâmes et inutiles ; rien n’était capable de résister à ses objectifs froids et inébranlables ; sa compassion dépassait l’entendement humain et connaissait la souffrance des mortels ainsi que leurs raisons d’être, mais il ne pouvait pas la supprimer sans supprimer l’essence mortelle à la base de cette douleur. Wallie sentit aussi quelque chose de plus profond et de plus terrible encore, une présence que nul mot ne pouvait décrire, mais qu’un mortel aurait apparentée à l’ennui ou à la résignation. Il y avait des côtés négatifs à l’immortalité : le fardeau de l’omniscience et l’absence de futur limité, plus la moindre surprise, plus de fin même après la fin des temps, à jamais et à jamais… Wallie réalisa qu’il était à plat”

Le Guerrier de la déesse

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“[…] Pourtant, s’il n’existe pas de moyen infaillible pour permettre au futur disciple d’identifier un Maître authentique par une procédure mentale uniquement, il existe néanmoins cette maxime ésotérique universelle (127) que tout aspirant trouvera un guide authentique s’il le mérite. De même que cette autre maxime qu’en réalité, et en dépit des apparences, ce n’est pas celui qui cherche qui choisit la voie, mais la voie qui le choisit. En d’autres termes, puisque le Maître incarne la voie, il a, mystérieusement et providentiellement, une fonction active à l’égard de celui qui cherche, avant même que l’initiation établisse la relation maître-disciple. Ce qui permet de comprendre l’anecdote suivante, racontée par le Shaykh marocain al-’Arabî ad-Darqâwî (mort en 1823), l’un des plus grands Maîtres soufis de ces derniers siècles. Au moment en question, il était un jeune homme, mais qui représentait déjà son propre Shaykh, ’Alî al-Jamal, à qui il se plaignit un jour de devoir aller dans tel endroit où il craignait de ne trouver aucune compagnie spirituelle. Son Shaykh lui coupa la parole : « Engendre celui qu’il te faut! » Et un peu plus tard, il lui réitéra le même ordre, au pluriel : « Engendre-les! »(128) Nous avons vu que le premier pas dans la voie spirituelle est de « renaître »; et toutes ces considérations laissent entendre que nul ne « mérite » un Maître sans avoir éprouvé une certaine conscience d’« inexistence » ou de vide, avant-goût de la pauvreté spirituelle (faqr) d’où le faqîr tire son nom. La porte ouverte est une image de cet état, et le Shaykh ad-Darqâwî déclare que l’un des moyens les plus puissants pour obtenir la solution à un problème spirituel est de tenir ouverte « la porte de la nécessité »(129) et de prendre garde qu’elle ne se referme. On peut ainsi en déduire que ce « mérite » se mesurera au degré d’acuité du sens de la nécessité chez celui qui cherche un Maître, ou au degré de vacuité de son âme, qui doit être en effet suffisamment vide pour précipiter l’avènement de ce qui lui est nécessaire. Et soulignons pour terminer que cette « passivité » n’est pas incompatible avec l’attitude plus active prescrite par le Christ : « Cherchez et vous trouverez; frappez et l’on vous ouvrira », puisque la manière la plus efficace de « frapper » est de prier, et que supplier est la preuve d’un vide et l’aveu d’un dénuement, d’une « nécessité » justement. En un mot, le futur disciple a, aussi bien que le Maître, des qualifications à actualiser.

127. Voir, dans le Treasury of Traditional Wisdom de Whitall Perry, à la section réservée au Maître spirituel, pp. 288-95, les citations sur ce point particulier, de même que sur d’autres en rapport avec cet appendice.
128. Lettres d'un Maître soufi, pp. 27-28.
129. Ibid., p. 20. - Le texte dit : « porte de la droiture », erreur de traduction corrigée par l’auteur, le terme arabe ayant bien le sens de « nécessité », et même de « besoin urgent ». (NdT)”

Martin Lings (1909–2005) savant anglais du soufisme

The Eleventh Hour: The Spiritual Crisis of the Modern World in the Light of Tradition and Prophecy

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