Citations sur le coeur
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“Jadis, si je me souviens bien, ma vie était un festin où s'ouvraient tous les cœurs, où tous les vins coulaient.

Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux. - Et je l'ai trouvée amère.”

Arthur Rimbaud (1854–1891) poète français

Poèmes, Une saison en Enfer, 1873
Variante: Jadis, si je me souviens bien, ma vie était un festin où s'ouvraient tous les coeurs, où tous les vins coulaient.

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“Savais-tu qu'un cactus avait une fleur? Au milieu des pics se cache un cœur.”

Oxmo Puccino (1974) rappeur franco-malien

Le Cactus de Sibérie

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“Le principe que "la circulation du sang est provoquée par le cœur qui agit comme une pompe" continue d'être dominante dans la physiologie moderne (Evans, 1952). Cependant, certains doutes apparaissent quand la puissance du cœur en tant que muscle est vue comme la source exclusive ou principale de l'énergie pour l'intégralité du système cardiovasculaire. La question peut alors être posée: n'y a-t-il pas une autre force motrice dans le système circulatoire plus importante que le muscle cardiaque?”

Leon Manteuffel-Szoege (1904–1973)

The principle that "the movement of the blood is maintained by the heart which acts as a pump" continues to be binding in modern physiology (Evans, 1952). Certain doubts, however, appear when the power of the heart muscle is regarded as the exclusive or even the main source of energy for the whole cardiovascular system. The question may be asked. Is there no other motive force in the circulatory system, besides the heart muscle that might be significant?
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“Faire tout ce qu'il faut pour anéantir l'adversaire. Mais un fois qu'il a montré que c'était lui qui tenait le bon bout, s'allier de même cœur avec lui.”

Henry de Montherlant (1895–1972) romancier, essayiste, auteur dramatique et académicien français

Le Solstice de juin, 1941

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“Profonde est la haine qui brûle contre la beauté dans les cœurs abjects.”

Orages d'acier, 1920, Sur les falaises de marbre, 1939

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“Le monde, quels que puissent être ses contenus permanents ou transitoires, ne se détache jamais de Dieu; il est toujours cette substance céleste tombée dans un néant et durcie dans le froid de l’éloignement; les limites des choses et les calamités qui en résultent en témoignent. Le sage voit dans les choses et à travers elles l’origine divine devenue lointaine, et aussi — en considérant les limitations et les misères — le point de chute qui est inéluctable, et où s’écrasera finalement le monde; il discerne dans les phénomènes le flux et le reflux, l’expansion et le retour, le miracle existentiel et la limite ontologique.

Mais, surtout, le soufi perçoit par l’« œil du cœur » que « toute chose est Lui »; le monde, tout en n’étant point Dieu sous le rapport de son existence particulière, n’en est pas moins « l’Extérieur » sous le rapport de sa possibilité profonde ou du miracle permanent auquel il est accroché à tout moment et sans lequel il s’effondrerait dans le néant; en un sens, il n’est pas Dieu, mais en un autre sens, il « n’est autre que Lui » en vertu de sa causalité divine. Il se peut que les mots ne sauront jamais rendre compte d’une manière satisfaisante de ce mystère; mais, en un certain point, le monde « est Dieu », ou il n’est pas. Dieu n’est pas le monde, et c’est pour cela, précisément, qu’il est impossible de parler de « l’Extérieur » sans parler aussi de « l’Intérieur »; le premier n’est vrai que par le second.”

Frithjof Schuon (1907–1998) métaphysicien, théologien et philosophe suisse

Form and Substance in the Religions

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“La plume à droite.
Le cœur à gauche.
Et toi partout.”

El mejor lugar del mundo es aquí mismo

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“Les caractères chinois s’étalent verticalement, de haut en bas; ils imitent le mouvement d’une théogonie descendant du ciel sur terre. L’écriture arabe, elle progresse horizontalement, sur le plan du devenir, mais elle va de la droite, champ de l’action, vers la gauche, région du cœur. Elle décrit donc un mouvement allant de l’extérieur vers l’intérieur.
Les lignes successives d’un texte sont comparables à la trame d’un tissu. En fait, le symbolisme de l’écriture s’apparente à celui du tissage et se réfère comme lui à la croix des axes cosmiques. Pour comprendre ce à quoi nous faisons allusion, il faut se représenter le métier à tisser primitif : les fils de la chaîne sont tendus verticalement et la trame les unit horizontalement par le va-et-vient de la navette, mouvement qui rappelle l’écoulement des cycles tels que jours, mois ou années, tandis que l’immobilité de la chaîne correspond à celle de l’axe polaire. Cet axe est en réalité unique mais son image de répète dans tous les fils de la chaîne, de même que l’instant présent, qui reste toujours un, semble se répéter à travers le temps.
Comme dans le tissage, le mouvement horizontal de l’écriture, mouvement qui est en fait ondulé, correspond à la dimension du devenir et du changement, tandis que le vertical représente la dimension de l’Essence ou des essences immuables.”

Titus Burckhardt (1908–1984)

Art Of Islam: Language And Meaning

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“… ces bouquets de fleurs qui partent à la recherche d'un cœur et ne trouvent qu'un vase.”

Romain Gary (1914–1980) écrivain et diplomate français

زندگی در پیش رو

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“Rien n'est plus courageux qu'un cœur patient.”

Alexandre Dumas (1802–1870) écrivain et dramaturge français, père de l'écrivain et dramaturge homonyme

The Vicomte de Bragelonne

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“Le cœur d’un homme d’État doit être dans sa tête. ”

Napoléon Bonaparte (1769–1821) général, premier consul et empereur des Français
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