Citations sur péril

Une collection de citations sur le thème de péril, tout, pluie, bien-être.

Citations sur péril

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“La peste sait-elle le péril qu'elle représente?”

L'Homme démoli, 1952

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“C'est dans le sommeil que réside le plus grand des périls.”

Eric Frank Russell (1905–1978) écrivain britannique

Guerre aux invisibles ('), 1939

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“Sans doute, quand la France ne court pas de grand péril extérieur, quand il n’y a pas au dedans de factions qui la déchirent, elle se gouverne aisément. Elle a tout ce qu’il faut pour être heureuse.”

Jacques Bainville (1879–1936) critique littéraire, publiciste, journaliste, chroniqueur de politique étrangère, historien et académicien …

Histoire de France

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“Il ne faut pas confondre s'amuser et déconner. S'amuser, c'est éviter de se prendre au sérieux. Déconner, c'est mettre en péril ce qui est sérieux…”

Laurent Fignon (1960–2010) coureur cycliste et commentateur sportif français

Nous étions jeunes et insouciants, 2009

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“Chaque fois que je vais dans un super-market, ce qui du reste m'arrive rarement, je me crois en Russie. C'est la même nourriture imposée d'en haut, pareille où qu'on aille, imposée par des trusts au lieu de l'être par des organismes d’État. Les États-Unis, en un sens, sont aussi totalitaires que l'URSS, et dans l'un comme dans l'autre pays, et comme partout d'ailleurs, le progrès (c'est-à-dire l'accroissement de l'immédiat bien-être humain) ou même le maintien du présent état de choses dépend de structures de plus en plus complexes et de plus en plus fragiles. Comme l'humanisme un peu béat du bourgeois de 1900, le progrès à jet continu est un rêve d'hier. Il faut réapprendre à aimer la condition humaine telle qu'elle est, accepter ses limitations et ses dangers, se remettre de plain-pied avec les choses, renoncer à nos dogmes de partis, de pays, de classes, de religions, tous intransigeants et donc tous mortels. Quand je pétris la pâte, je pense aux gens qui ont fait pousser le blé, je pense aux profiteurs qui en font monter artificiellement le prix, aux technocrates qui en ont ruiné la qualité - non que les techniques récentes soient nécessairement un mal, mais parce qu'elles se sont mises au service de l'avidité qui en est un, et parce que la plupart ne peuvent s'exercer qu'à l'aide de grandes concentrations de forces, toujours pleines de potentiels périls. Je pense aux gens qui n'ont pas de pain, et à ceux qui en ont trop, je pense à la terre et au soleil qui font pousser les plantes. Je me sens à la fois idéaliste et matérialiste. Le prétendu idéaliste ne voit pas le pain, ni le prix du pain, et le matérialiste, par un curieux paradoxe, ignore ce que signifie cette chose immense et divine que nous appelons "la matière". (p. 242)”

Marguerite Yourcenar (1903–1987) écrivaine française

Les Yeux ouverts : Entretiens avec Matthieu Galey

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“À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire.”

Le Cid (1636)

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