Citations sur bâton

Une collection de citations sur le thème de bâton, tout, pluie, hommes.

Citations sur bâton

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“La société n'a pas voulu de nous? Qu'elle se rassure! On n'veut pas d'elle! On lui fout la paix. C'est pas nous qui allons lui mettre des bâtons dans les trous.”

Coluche (1944–1986) humoriste et comédien français

Music-hall, L'ancien combattant, Le clochard analphabète

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“Je connais l'endroit idéal pour les logements sociaux. J'ai la solution à ce problème. Je sais où nous pouvons construire des logements pour les sans-abris : les terrains de golf! C'est parfait! Juste ce qui nous faut. Des terrains abondants, dans des beaux quartiers, des terrains qui sont actuellement gâchés par une activité débile, dépourvue de sens, et principalement pratiquée par des homme d'affaire blancs et de bonne société, qui utilisent ce jeu pour se réunir et se découper des tranches de plus en plus fines de ce pays. J'en ai marre, vraiment marre, de ces salauds de golfeurs. Avec leurs pantalons verts, et leurs pantalons jaunes, et leurs pantalons oranges, et leurs adorables petits chapeaux et leurs petites voiturettes mignonnes! Il est temps de récupérer les terrains de golf des riches et de les donner aux pauvres! Le golf est un jeu arrogant, élitiste, prenant beaucoup trop de place dans ce pays. Beaucoup trop de place dans ce pays! C'est un jeu arrogant par le principe même, la simple conception du jeu est toute arrogance. Pensez à la taille d'un terrain de golf — la balle a cette putain de taille! Pour quoi tout ces connards débiles ont-ils besoin de tant de terrain?! Il y a plus de dix-sept mille terrains de golf en Amérique, d'en moyenne plus de cent cinquante acres pièce — c'est plus de trois millions d'acres, quatre mille huit cent vingt miles carrés — on pourrait construire deux Rhode Islands et un Delaware pour les sans-abris sur ces terres actuellement gâchées par ce jeu débile, sans aucun sens, arrogant, élitiste — raciste, en voila une autre chose ; les seuls noirs aperçus au country club servent les plats. Et un jeu chiant, un jeu chiant pour des gens chiants. Vous avez déjà vu le golf à la télé? C'est comme regarder des mouches s'enculer! Et débile, complétement débile. Imaginez l’intellect nécessaire pour tirer plaisir de cette activité : taper dans une balle — avec un bâton tordu — et puis … marcher pour la retrouver! Et après, la taper de nouveau! Je dis, t'as qu'a la ramasser connard, t'as bien eu la chance de la retrouver! Mets-la dans ta poche et rentre chez toi, t'as gagné, tu l'as retrouvée! Mais non! Ducon avec sa culotte écossaise va la taper de nouveau et marcher encore! Ces salauds de riches n'ont qu'a jouer au golf miniature! Laissez les s'emmerder avec un moulin à vent pendant une bonne heure et demie! Voyons s'il y a vraiment du talent parmi ces gens. Bon, je sais qu'il y a des gens qui jouent au golf et qui ne se considèrent pas riches. Je les emmerde! Et ils devraient avoir honte de pratiquer un passe-temps aussi élitiste et arrogant.”

George Carlin (1937–2008) humoriste américain

Jammin' in New York (Improvisation à New York), 1992

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“Nos jeûnes furent terribles et bien épouvantables, car le premier jour nous jeunâmes à bâtons rompus, le second à épées rabatues, le troisième à fer émoulu, le quatrième à feu et à sang.”

François Rabelais (1494–1553) auteur français du 16e siècle

fr
Nos jeunes furent terribles et bien espouventables, car le premier jour nous jeunasmes à battons rompus, le second à espées rabattues, le tiers à fer esmoulu, le quart à feu et à sang.
La critique du jeûne apparait plusieurs fois dans l'œuvre de Rabelais. Voir également la désapprobation du carême au chapitre XXVIII du Cinquième Livre.
Œuvre, Cinquième Livre

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“Nous ne nous battons pas pour mourir, mais pour la vie, tu comprends?”

Les enfants de la liberté, Marc Lévy, Pocket, 2007, 29
Les enfants de la liberté, 2007
Variante: Nous ne nous battons pas pour mourrir, mais pour la vie.

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“Je ne sais pas comment on fera la Troisième Guerre mondiale, mais je sais comment on fera la quatrième : avec des bâtons et des pierres.”

Albert Einstein (1879–1955) physicien allemand

I do not know how the Third World War will be fought, but I can tell you what they will use in the Fourth — rocks !
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“Ce n'est point aujourd'hui le temps de la violence mais celui de la conscience de la violence. Que l'histoire ait toujours été le fruit de la violence, qu'il y ait toujours eu contradiction entre un impératif moral et la réalité de la violence, nous le savons bien et nous n'avons rien changé. […] Dans cette « prise de conscience », trois aspects me paraissent importants. (Tout d'abord), on comprend mieux le ridicule de la contradiction entre les efforts démesurés pour sauver un homme et la facilité des violences. D'un côté, on met tout en œuvre pour sauver un alpiniste en danger, de l'autre on torture, on bâtonne, on ne cesse d'user de violence contre [des quantités de gens]. […] Le second aspect, c'est la découverte de la généralisation de la violence : économique et psychologique, elle vient doubler la violence matérielle […] : matraquage publicitaire, propagande, guerre des (multinationales), violence des (automobilistes), terrorisme du professeur ou du prêtre envers leurs auditeurs… la violence est [multiforme]. [Enfin], on peut se justifier dans toute action par l'existence d'une violence précédente. Je jette un cocktail molotov, mais c'est parce que j'ai été victime de la violence du professeur, du père, du patron. […] Ainsi toute violence se trouve légitimée parce qu'elle n'est jamais qu'une contre-violence. […] Nous éprouvons ainsi, en réalité, la tentation, devant l'universalisation de la violence, d'entrer à notre tour dans le jeu. […] Mais alors, immanquablement, le chrétien se demandera : « comment pourrais-je être non-violent? » Et tout aussi immanquablement : « comment pourrais-je être violent? » Où serait donc enfin une attitude morale et spirituelle à la fois juste, pure et vraie?”

Jacques Ellul (1912–1994) professeur d'histoire du droit, sociologue et théologien protestant français

Contre les violents, 1972

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“Mais oui, maîtresse… Tenez ! juste au-dessus de nous, voilà le Chemin de saint Jacques (la Voie lactée). Il va de France droit sur l’Espagne. C’est saint Jacques de Galice qui l’a tracé pour montrer sa route au brave Charlemagne lorsqu’il faisait la guerre aux Sarrasins. Plus loin, vous avez le Char des Ames (la Grande Ourse) avec ses quatre essieux resplendissants. Les trois étoiles qui vont devant sont les Trois Bêtes, et cette toute petite contre la troisième c’est le Charretier. Voyez-vous tout autour cette pluie d’étoiles qui tombent ? Ce sont les âmes dont le bon Dieu ne veut pas chez lui… Un peu plus bas, voici le Râteau ou les Trois Rois (Orion). C’est ce qui nous sert d’horloge, à nous autres. Rien qu’en les regardant, je sais maintenant qu’il est minuit passé. Un peu plus bas, toujours vers le midi, brille Jean de Milan, le flambeau des astres (Sirius). Sur cette étoile-là, voici ce que les bergers racontent. Il paraît qu’une nuit Jean de Milan, avec les Trois Rois et la Poussinière (la Pléiade), furent invités à la noce d’une étoile de leurs amies. Poussinière, plus pressée, partit, dit-on, la première, et prit le chemin haut. Regardez-la, là-haut, tout au fond du ciel. Les Trois Rois coupèrent plus bas et la rattrapèrent ; mais ce paresseux de Jean de Milan, qui avait dormi trop tard, resta tout à fait derrière, et furieux, pour les arrêter, leur jeta son bâton. C’est pourquoi les Trois Rois s’appellent aussi le Bâton de Jean de Milan… Mais la plus belle de toutes les étoiles, maîtresse, c’est la nôtre, c’est l’Etoile du Berger, qui nous éclaire à l’aube quand nous sortons le troupeau, et aussi le soir quand nous le rentrons. Nous la nommons encore Maguelonne, la belle Maguelonne qui court après Pierre de Provence (Saturne) et se marie avec lui tous les sept ans”

Lettres de mon moulin

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