Pourquoi la Grèce ?, 1992
Citations sur patrie
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Discours, Commentaire sur la nomination le 15 mars 1792 du général Dumouriez au ministère des affaires étrangères, invité au club des Jacobins, [19, mars, 1792]

Discours à la Convention nationale sur les principes de morale politique qui doivent guider la Convention nationale dans l'administration intérieure de la République le [5, février, 1794]
Discours, Discours à la Convention nationale sur les principes de morale politique qui doivent guider la Convention nationale dans l'administration intérieure de la République, [5, février, 1794] (17 pluviôse an II)

“Oui, j'ai une patrie : la langue française.”
Autres citations

“[…] celui-là seul a des droits dans notre patrie, qui a coopéré à l'affranchir.”
Discours, Rapport au nom du Comité de salut public et du Comité de sûreté générale sur les personnes incarcérées, présenté à la Convention nationale le 8 ventôse an II (26 février 1794)

Discours, Sur le jugement de Louis XVI, [3, décembre, 1792]

Discours à l'Assemblée, 2 septembre 1792 (rapporté dans Le Moniteur du 4 septembre 1792)
Discours

Intervention à l' Assemblée constituante sur le droit de vote des Juifs le [23, décembre, 1789]
Discours, Intervention à l'Assemblée constituante sur le droit de vote des Juifs, [23, décembre, 1789]

sur la situation des apatrides
Mémoires d'un révolutionnaire, 1943

Dernières nouvelles de l'homme, 1978

Variante: Le bon historien n'est d'aucun temps ni d'aucun pays: quoiqu'il aime sa patrie, il ne la flatte jamais en rien.

I made it to protect the motherland. And then they spread the weapon [around the world] - not because I wanted them to. Not at my choice. Then it was like a genie out of the bottle and it began to walk all on its own and in directions I did not want.
en
À propos de l'AK-47

Jacques Bonhomme - Entretiens de politique primaire, 1870
Le Cheval rouge

Il convient d'avoir à l'esprit que l'emblème national de la Pologne est un aigle blanc.
Le chemin de ma croix

Iron Curtain: The Crushing of Eastern Europe, 1944-1956

The Transfiguration of Man
Variante: [... ] Dans cette question des limites de fait ou de droit du sentiment patriotique, il convient de rappeler tout d’abord qu’il y a patrie et patrie : il y a celle de la terre et celle du Ciel; la seconde est prototype et mesure de la première, elle lui donne son sens et sa légitimité. C’est ainsi que dans l’enseignement évangélique l’amour de Dieu prime, et peut par conséquent contredire, l’amour des proches parents, sans qu’il y ait là aucune offense à la charité; la créature doit d’ailleurs être aimée « en Dieu », c’est à dire que l’amour ne lui appartient jamais en entier. Le Christ ne s’est soucié que de la Patrie céleste, qui « n’est pas de ce monde »; c’est suffisant, non pour renier le fait naturel d’une patrie terrestre, mais pour s’abstenir de tout culte abusif – et avant tout illogique – du pays d’origine. Si le Christ a désavoué les attachements temporels, il n’en a pas moins admis les droits de la nature, dans le domaine qui est le leur, droits éminemment relatifs qu’il ne s’agit pas d’ériger en idoles; c’est ce que saint Augustin a magistralement traité, sous un certain rapport tout au moins, dans Civitas Dei. Le patriotisme normal est à la fois déterminé et limité par les valeurs éternelles; « il ne s’enfle point » et ne pervertit pas l’esprit; il n’est pas, comme le chauvinisme, l’oubli officiel de l’humilité et de la charité en même temps que l’anesthésie de toute une partie de l’intelligence; restant dans ses limites, il est capable de susciter les plus belles vertus, sans être un parasite de la religion.
Il faut se garder des interprétations abusives du passé historique; l’œuvre de Jeanne d’Arc n’a rien à voir avec le nationalisme moderne, d’autant que la sainte à suivi l’impulsion, non point d’un nationalisme naturel – ce qui eût été légitime – mais celle d’une volonté céleste, qui voyait loin. La France fut pendant des siècles le pivot du Catholicisme; une France anglaise eût signifié en fin de compte une Europe protestante et la fin de l’Eglise catholique; c’est ce que voulurent prévenir les « voix ». L’absence de toute passion, chez Jeanne, ses paroles sereines à l’égard des Anglais, corroborent pleinement ce que nous venons de dire et devrait suffire pour mettre la sainte à l’abri de toute imposture rétrospective (1). [... ]
1 – De même, l’étendard de Jeanne fut tout autre chose qu’un drapeau révolutionnaire unissant, dans un même culte profane, croyants et incroyants.
"Usurpations du sentiment religieux", Études Traditionnelles, décembre 1965.

“De l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace et la Patrie sera sauvée!”

La Marseillaise (1792)
Les Deux Patries, 1998

Hommage du Président de la République

“Une patrie qui a trahi ses soldats, est-ce vraiment la Patrie?”
L’Archipel du Goulag
“Ma patrie était Chalcédoine et ma profession le savoir.”
Épitaphe
Le Cœur Rebelle, 1994