Citations sur merci

Une collection de citations sur le thème de merci, tout, pluie, bien-être.

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“[Il imagine une société où le meurtre serait légal] Les enfants se comporteraient très différemment, parce que la plupart des parents assassineraient leur propre enfant. […] Tu serai obligé d'enjamber des tas d'enfants morts, et ça deviendrait un nouveau problème. « Merci de nettoyer après avoir tué votre enfant, parce que c'est dégueulasse. Ce n'est pas bon pour l'environnement. Si vous assassinez votre enfant dans un lieu public, merci d'utiliser un des sacs rouges disponible dans les distributeurs situés tous les mètres en Amérique. Mettez votre enfant mort dans le sac rouge avec le logo qui représente un enfant mort, à côté du logo qui vous préviens de ne pas laisser votre enfant vivant jouer avec le sac puisqu'il pourrait suffoquer, auquel cas, vous pouvez juste le laisser dans le sac. »”

Louis C.K. (1967) acteur et humoriste américain

Children would behave very differently. Because most parent would be murdering their own kids. [...] You'd be steping over dead kids, that would be like a new problem. « You have to clean up your kids when you kill them, because it's gross. It's bad for the environment. If you murder your child in a public place, please use one of the red bags that are in the dispensers every three feet in America. Put your murdered child in the red bag with the logo of a murdered kid on it, next to the other logo that tells you not to let your alive kid play with the plastic bag, because they might suffocate, in wich case, you can just leave him in the bag. »
en
Oh My God (2013)

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“Pour un peu je serais tombé au beau milieu des assassins, si la Providence n’eût voulu, Dieu merci, me conserver pour faire de moi un meilleur usage.”

Ludwig Tieck (1773–1853) Nouvelliste, romancier, dramaturge et critiques théâtrales, auteur de contes et traducteur allemand

Vie de l’illustre empereur Abraham Tonelli

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“À Dieu merci pour les gais, parce que sans les gais, je ne parlerais pas aux hommes du tout.”

Margaret Cho (1968) actrice américaine

Thank God for gay men. Thank God for gay men, because if it were not for gay men, I would not talk to men at all.
en
I'm the One that I Want

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“Merci au Venezuela d’appuyer le peuple de la Palestine dans sa longue lutte, de nous aider à briser le monopole d’Israël sur notre économie.”

Mahmoud Abbas (1935) chef de l’État Palestinien

Gracias a Venezuela por apoyar a Palestina, por ayudar a romper el monopolio de Israel a nuestra economía; por respaldar al pueblo de Palestina en su larga lucha.
es
Thierry Deronne

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“Voici quelques types de réactions anormales : mourir de faim face à l'abondance; rester exposé au froid, à la pluie et à la neige, en présence de charbon, de matériel de construction et de place pour bâtir; croire qu'une puissance divine à longue barbe blanche régit toutes choses et que l'on est à la merci de cette puissance pour le bien comme pour le mal; massacrer d'innocentes personnes avec enthousiasme, et croire que l'on doit conquérir une région dont on n'avait jamais entendu parler auparavant; marcher en haillons et se considérer en même temps comme le représentant de la "grandeur de la nation"; oublier ce qu'un politicien avait promis avant de devenir chef de l'Etat; déléguer à quelque individu que ce soit, fussent-ils hommes d'Etat, un pouvoir quasi absolu sur sa propre vie et son propre destin; être incapable de comprendre que les soi-disant grands timoniers de l'Etat doivent eux aussi dormir, manger, répondre à l'appel de la nature, qu'eux aussi sont gouvernés par des pulsions affectives inconscientes et incontrôlables, et souffrent de dérangements sexuels comme tout autre mortel; considérer comme évident qu'il faut battre les enfants dans l'intérêt de la "culture"; refuser aux adolescents, qui sont dans la fleur de l'âge, le bonheur de l'union sexuelle; et l'on peut multiplier les exemples à l'infini. (p. 29-30, Préface de la deuxième édition)”

The Sexual Revolution: Toward a Self-governing Character Structure

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“« Si pour un instant Dieu oubliait que je suis une marionnette de chiffon et m'offrait un morceau de vie, je profiterais de ce temps du mieux que je pourrais.

Sans doute je ne dirais pas tout ce que je pense, mais je penserais tout ce que je dirais.

Je donnerais du prix aux choses, non pour ce qu'elles valent, mais pour ce qu'elles représentent.

Je dormirais peu, je rêverais plus, sachant qu'en fermant les yeux, à chaque minute nous perdons 60 secondes de lumière.

Je marcherais quand les autres s'arrêteraient, je me réveillerais quand les autres dormiraient.

Si Dieu me faisait cadeau d'un morceau de vie, je m'habillerai simplement, je me coucherais à plat ventre au soleil, laissant à découvert pas seulement mon corps, mais aussi mon âme.

Aux hommes, je montrerais comment ils se trompent, quand ils pensent qu'ils cessent d'être amoureux parce qu'ils vieillissent, sans savoir qu'ils vieillissent quand ils cessent d'être amoureux! A l'enfant je donnerais des ailes mais je le laisserais apprendre à voler tout seul.

Au vieillard je dirais que la mort ne vient pas avec la vieillesse mais seulement avec l'oubli.

J'ai appris tant de choses de vous les hommes… J'ai appris que tout le monde veut vivre en haut de la montagne, sans savoir que le vrai bonheur se trouve dans la manière d'y arriver.

J'ai appris que lorsqu'un nouveau-né serre pour la première fois, le doigt de son père, avec son petit poing, il le tient pour toujours.

J'ai appris qu'un homme doit uniquement baisser le regard pour aider un de ses semblables à se relever.

J'ai appris tant de choses de vous, mais à la vérité cela ne me servira pas à grand chose, si cela devait rester en moi, c'est que malheureusement je serais en train de mourir.

Dis toujours ce que tu ressens et fais toujours ce que tu penses.

Si je savais que c'est peut être aujourd'hui la dernière fois que je te vois dormir, je t'embrasserais très fort et je prierais pour pouvoir être le gardien de ton âme.

Si je savais que ce sont les derniers moments où je te vois, je te dirais 'je t'aime' sans stupidement penser que tu le sais déjà.

Il y a toujours un lendemain et la vie nous donne souvent une autre possibilité pour faire les choses bien, mais au cas où elle se tromperait et c'est, si c'est tout ce qui nous reste, je voudrais te dire combien je t'aime, que jamais je ne t'oublierais.

Le lendemain n'est sûr pour personne, ni pour les jeunes ni pour les vieux.

C'est peut être aujourd'hui que tu vois pour la dernière fois ceux que tu aimes. Pour cela, n'attends pas, ne perds pas de temps, fais-le aujourd'hui, car peut être demain ne viendra jamais, tu regretteras toujours de n'avoir pas pris le temps pour un sourire, une embrassade, un baiser parce que tu étais trop occupé pour accéder à un de leur dernier désir.

Garde ceux que tu aimes près de toi, dis-leur à l'oreille combien tu as besoin d'eux, aime les et traite les bien, prends le temps pour leur dire 'je regrette' 'pardonne-moi' 's'il te plait' 'merci' et tous les mots d'amour que tu connais.

Personne ne se souviendra de toi pour tes pensées secrètes. Demande la force et la sagesse pour les exprimer.

Dis à tes amis et à ceux que tu aimes combien ils sont importants pour toi.

Monsieur Márquez a terminé, disant : Envoie cette lettre à tous ceux que tu aimes, si tu ne le fais pas, demain sera comme aujourd'hui. Et si tu ne le fais pas cela n'a pas d'importance. Le moment sera passé.

Je vous dis au revoir avec beaucoup de tendresse »”

Gabriel García Márquez (1927–2014) écrivain colombien
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“Ne sachant quoi lire ni dans quel ordre, j'ai suivi l'alphabet. Dieu merci, elle s'appelait Austen…”

Jeanette Winterson (1959) skieuse alpine autrichienne

Why Be Happy When You Could Be Normal?

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“Merci pour tout les aides.”

James Patterson (1947) écrivain américain

Fang

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“Si rien n'a changé dans mon musée d'autrefois, tout également est resté pareil dans ces quartiers de ma ville de plus en plus désuète, d'où la vie maritime peu à peu se retire: les mêmes pans de murs, garnis des mêmes jasmins et mêmes lierres, les mêmes toits en tuiles romaines jaunis par la rouille du temps, les mêmes cheminées dont je reconnais si bien les profils sur le ciel de cette fin d'une journée d'automne. Les arbres des jardins, qui étaient déjà vieux quand je commençais la vie, n'ont pas sensiblement vieilli depuis. Les grands ormeaux des remparts, qui étaient déjà séculaires, sont là toujours formant une aussi magnifique ceinture avec leurs mêmes cimes vertes. Et quand tout s'est conservé immuable dans les entours, comment imaginer, admettre que l'on est soi-même non loin de finir, tout simplement parce que l'on atteindra bientôt le nombre d'années compté sans merci à la moyenne des existences! Mon Dieu, finir, quand on ne sent rien en soi qui ait changé, et que le même élan vous emporterait vers l'aventure, vers l'inconnu s'il en restait quelque part! Est-ce possible, hélas! devant cet humble mais immuable décor qui devrait pourtant, à ce qu'il semble, vous envelopper d'une protection, vous imprégner un peu de sa faculté de durer, devant tout cela qui si aisément s'éternise, avoir été un enfant pour qui le monde va s'ouvrir, avoir été celui qui vivra, et ne plus être que celui qui a vécu!….”

Pierre Loti (1850–1923) écrivain et officier de marine français

Angkor

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“Logiquement, la démocratie s'oppose à la tyrannie, mais en fait, elle y mène; c'est-à-dire : comme sa réaction est sentimentale — sans quoi elle serait centripète et tendrait vers la théocratie, seule garantie d'une liberté réaliste — elle n'est qu'un extrême qui, par sa négation irréaliste de l'autorité et de la compétence, appelle fatalement un autre extrême et une nouvelle réaction autoritaire, autoritaire celle-ci et tyrannique par son principe même. L'illusion démocratique apparaît surtout dans les traits suivants : en démocratie, est vrai ce que croit la majorité; c'est elle qui « crée » pratiquement la vérité; la démocratie elle-même n'est vraie que dans la mesure où — et aussi longtemps que — la majorité y croit, elle porte donc en son sein les germes de son suicide. L'autorité, qu'on est bien obligé de tolérer sous peine d'anarchie, vit à la merci des électeurs, d'où l'impossibilité de gouverner réellement; l'idéal de « liberté » fait du gouvernement un prisonnier qui doit suivre constamment les pressions des divers groupes d'intérêt; les campagnes électorales elles-mêmes prouvent que les aspirants à l'autorité doivent duper les électeurs, et les moyens de cette duperie sont si grossiers et stupides, et constituent un tel avilissement du peuple, que cela devrait suffire pour réduire à néant le mythe de la démocratie moderne. Ce n'est pas à dire qu'aucun genre de démocratie ne soit possible : mais alors il s'agit d'abord de collectivités restreintes — nomades surtout — et ensuite d'une démocratie intérieurement aristocratique et théocratique, non d'un égalitarisme laïc imposé à de grands peuples sédentaires.

"La Transfiguration de l'homme" (1995)”

The Transfiguration of Man

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“[Correspondance entre Massignon et Paul Claudel]
Si je vais là-bas, je pense prendre comme sujet "La langue arabe considérée comme moyen d'expression (traduisez pour nous : le témoignage de l'arabe en faveur du Verbe) et comme instrument d'action intellectuelle et sociale" (ou quelque chose d'approchant) - - Cela me permettrait de faire une révision exacte des auteurs et des tendances dominantes et d'en faire une critique "constructrice". Le difficile sera de tâcher de dégager (ce que nul philologue n'a fait jusqu'ici, hélas) de cette admirable langue sa logique fondamentale, l'ordre des idées dans le jeu normal et sain de sa syntaxe, logique qui doit nécessairement démolir le Coran et la Tradition comme des construction de guingois, destinées à remplir chez les Arabes l'ineffable rôle du Verbe et de l'Eglise. Je vous indique là, bien entendu la basse continue, la pédale harmonique de mes conférences, non pas leurs sujets effectifs précis que je tâcherai de cristalliser en un "Selectae" des textes arabes remarquables pour l'enchaînement solide des preuves et la loyauté des matériaux employés? Il y en a, dans tout les domaines de la pensée, Dieu merci!
J'aimerais que vous me parliez de la langue française à ce point de vue là, pour que mon travail puisse se guider sur une transposition de ce que vous trouvez, à ce point de vue, dans la langue française, d'"édifiant", de catholique. Hélas, pourquoi Dieu ne me permet-il pas de l'aller prier dans un pauvre coin, et se sert-il de ma lâcheté rivée au monde, pour saboter des tâches si peu à ma taille.
[Paul Claudel : Louis Massignon, Correspondance 1908-1953, « Braises ardentes, semences de feu », nouvelle édition renouvelée (1908-1914) et augmentée 1915-1953)
p230 (Lettre du samedi 10 août 1912)]”

Louis Massignon (1883–1962) islamologue français
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“L’anthropologie moderne nous a appris, par l’investigation des soi-disant cultures primitives, que le comportement social des êtres humains peut présenter de grandes différences, étant donné qu’il dépend des modèles de culture dominants et des types d’organisation qui prédominent dans la société. C’est là-dessus que doivent fonder leurs espérances tous ceux qui s’efforcent d’améliorer le sort de l’homme : les êtres humains ne sont pas, par suite de leur constitution biologique, condamnés à se détruire mutuellement ou à être à la merci d’un sort cruel qu’ils s’infligent eux-mêmes.”

Albert Einstein (1879–1955) physicien allemand

Modern anthropology has taught us, through comparative investigation of so-called primitive cultures, that the social behavior of human beings may differ greatly, depending upon prevailing cultural patterns and the types of organisation which predominate in society. It is on this that those who are striving to improve the lot of man may ground their hopes: human beings are not condemned, because of their biological constitution, to annihilate each other or to be at the mercy of a cruel, self-inflicted fate.
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