Citations sur cou
Une collection de citations sur le thème de cou, bien-être, tout, yeux.
Citations sur cou
La Promesse de l'aube, 1960
Guerillas 1808
“Il y a des gens comme ça qui tendent le cou pour se grandir.”
Cotton Point, 1988

“Crête-cri de l'aube qui flambe. Premier œuf, premier coup de bec, cou coupé, allégresse!”
Poésie, Liberté sur parole, 1929

Cinema is the most totalitarian of the arts. All energy and sensation is sucked up into the skull, a cerebral erection, skull bloated with blood.
Caligula wished a single neck for all his subjects that he could behead a kingdom with one blow. Cinema is this transforming agent. The body exists for the sake of the eyes; it becomes a dry stalk to support these two soft insatiable jewels.
en
Les Seigneurs : Notes sur la vision (The Lords : Notes on Vision), 1969
Prose, Les Gisants satisfaits, 1958

Le Parfum des îles Borromées

Recueil de nouvelles, Sortilèges, 1951, L’Odeur du sapin
Les Épées
Infiniment... sur le gazon, Joyce Mansour, La Brèche, 4, Février 1963, 62
Prose, Infiniment... sur le gazon, 1963

“Sur le cou d'oiseau de la nuit, tu es un collier de soleil.”
Poésie, Liberté sur parole, 1929
Recueil de nouvelles, Le Musée noir, 1924, Le sang de l'agneau
La Décomposition, 1999

Anne Calife sous le nom de Anne Colmerauer, La déferlante, 2003, Anne Calife, Paul et le chat, 2004
Recueil de nouvelles, Le Musée noir, 1924, Le sang de l'agneau
Nelly Arcan, Folle, Éditions du Seuil, 2004, 144
Folle ()

“Le cou n'est-il pas l'endroit où finit la tête et où le corps commence? (p.148)”
The Shaking Woman, or A History of My Nerves

Carnets, Carnets des Cévennes – Les clochers de tourmente, Point d’Appui 1, 2012
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998

vous avez réussi, par un seul de vos gestes, à mettre dans la pleine lumière de mon âme la créature qui s’y trouvait encore gisante et enveloppée ; et puis, sans vous douter de cette nativité subite, vous êtes rentrée dans l’intime obscurité de votre Érèbe. Ah ! j’étais sûr d’entendre vos sanglots ; et cependant il courait en moi un torrent de joie indomptable. Jamais, je crois, je ne vous ai raconté ces choses. J’aurais dû vous consacrer mon œuvre comme à une Lucine idéale.
Romans, Le Feu, 1900