Citations sur parc
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“Ne les choisit pas trop grandes parce qu'on est petit (…) deux filles par personne (…) puis on se les prête… la chatte doit tourner!”

Silvio Berlusconi (1936) politicien italien

français
relevé d'écoutes téléphoniques de Silvio Berlusconi à propos de prostituées

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“Avec la grâce de Dieu, tu dois entreprendre et réaliser l'impossible…, parce que ce qui est possible, tout le monde le fait.”

Josemaría Escrivá de Balaguer (1902–1975) prêtre, fondateur de l'Opus Dei et saint catholique

#216
Forge, 1987

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“Messieurs, il faut aimer son aigle, l'aimer pour qu'il devienne beau; car c'est parce qu'il sera beau que vous devez aimer votre aigle…”

André Gide (1869–1951) homme de lettres et romancier français

Prometheus Illbound

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“Et je redoute l'hiver parce que c'est la saison du comfort!”

Arthur Rimbaud (1854–1891) poète français

Rimbaud, Oeuvres poetiques

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“Les gouvernements suspectent la littérature parce qu’elle est une force qui leur échappe.”

Émile Zola (1840–1902) romancier, auteur dramatique, critique artistique et littéraire et journaliste français
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“Ne détruisons point les instruments du bonheur parce que les méchants s'en servent quelquefois à nuire.”

Jean-Jacques Rousseau (1712–1778) philosophe, compositeur et critique musical genevois

Emile or On Education

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“Parce que c'était lui, parce que c'était moi.”

Michel de Montaigne (1533–1592) écrivain français, philosophe, humaniste, qui fut maire de Bordeaux
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“Mais j'ai pu alors entendre la parole d'Allah : personne ne doit avoir peur de l'inconnu, parce que tout homme est capable de conquérir ce qu'il veut et qui lui est nécessaire.”

The Alchemist
Variante: Personne ne doit avoir peur de l'inconnu, parce que tout homme est capable de conquérir ce qu'il veut et qui lui est nécessaire.

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“[La musique] L'enseigner aux enfants est une épreuve pénible, parce que la technique les détourne de l'âme. (p. 80)”

Marguerite Yourcenar (1903–1987) écrivaine française

Alexis ou le Traité du vain combat / Le Coup de grâce

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“S’il n’y avait pas de combat parce que le commandant local avait réussi à pacifier sa région, tant pis pour lui – pas de médaille. Il”

David Galula (1919–1967) théoricien de la contre-insurrection

Pacification en Algérie: 1956-1958

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“[…] Nous ne reprochons pas à la science moderne d'être une science fragmentaire, analytique, privée d’éléments spéculatifs, métaphysiques et cosmologiques, ou de provenir des résidus ou des déchets des sciences anciennes; nous lui reprochons d'être subjectivement et objectivement une transgression et de mener subjectivement et objectivement au déséquilibre et partant au désastre"
[…] Nous sommes fort loin de contester que la médecine traditionnelle avait, et a, l'immense avantage d'une perspective qui englobe l'homme total; qu'elle était, et est, efficace dans des cas ou la médecine moderne est impuissante; que la médecine moderne contribue à la dégénérescence du genre humain et à la surpopulation; qu'une médecine absolue n'est ni possible ni souhaitable, et cela pour d'évidentes raisons.
Mais qu'on ne vienne pas nous dire que la médecine traditionnelle est supérieure du seul fait de ses spéculations cosmologique et en l'absence de tels remèdes efficaces, et que la médecine moderne, qui possède ces remèdes, n'est qu'un pitoyable résidu parce qu'elle ignore les dites spéculations; ou que les médecins de la Renaissance, tel Paracelse, avaient tort de découvrir les erreurs anatomiques et autres de la médecine gréco-arabe; ou d'une manière toute générale, que les sciences traditionnelles sont merveilleuses à tous les égards et que les sciences modernes, la chimie par exemple, ne sont que des fragments et des déchets.”

Frithjof Schuon (1907–1998) métaphysicien, théologien et philosophe suisse

Esoterism as Principle and as Way

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“Je suis un demi-dieu, une divinité mineure, un archange… Choisis le terme que tu préfères. Tu peux t’adresser à moi en m’appelant « maître », car tu n’as pas le droit de connaître mon nom. (Il se laissa tomber en position assise.) J’ai choisi cette forme parce qu’elle m’amuse et ne t’effraie pas. Wallie ne fut pas impressionné. — Pourquoi jouer avec moi ? J’aurais pu croire en toi beaucoup plus tôt si tu t’étais présenté sous un aspect plus divin – ou même avec un simple halo… Il avait dépassé les bornes. Les joues de l’enfant se gonflèrent sous le coup de la colère. — Très bien, puisque c’est ton souhait. Voici un petit aperçu. Wallie cria et se couvrit les yeux, mais trop tard. La caverne était déjà brillante, mais elle s’enflamma soudain d’un éclat magnificent aussi aveuglant que celui d’un soleil. L’enfant était demeuré un enfant, mais une infime partie de sa divinité flamboya un bref instant – et ce fut assez pour plonger un simple mortel dans une terreur sans nom. Dans ce fragment de majesté, Wallie vit que l’âge de cet être dépassait l’imagination – il existait bien avant la formation des galaxies et perdurerait bien après la disparition de feux d’artifice aussi éphémères ; son quotient intellectuel se mesurait en trillions et il était capable de connaître chaque pensée de chaque créature dans l’univers ; sa puissance aurait pu détruire une planète aussi facilement qu’on se cure les ongles ; comparés à sa noblesse et à sa pureté, les êtres humains ressemblaient à des bêtes infâmes et inutiles ; rien n’était capable de résister à ses objectifs froids et inébranlables ; sa compassion dépassait l’entendement humain et connaissait la souffrance des mortels ainsi que leurs raisons d’être, mais il ne pouvait pas la supprimer sans supprimer l’essence mortelle à la base de cette douleur. Wallie sentit aussi quelque chose de plus profond et de plus terrible encore, une présence que nul mot ne pouvait décrire, mais qu’un mortel aurait apparentée à l’ennui ou à la résignation. Il y avait des côtés négatifs à l’immortalité : le fardeau de l’omniscience et l’absence de futur limité, plus la moindre surprise, plus de fin même après la fin des temps, à jamais et à jamais… Wallie réalisa qu’il était à plat”

Le Guerrier de la déesse

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