Citations sur finale
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“Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille. Enfin, le plus tard possible, mais on peut. Ah c'est super. Quel pied, ah quel pied! Oh putain! Olalala!”

Thierry Roland (1937–2012) journaliste sportif français, commentateur de matchs de football

Cette phrase fut prononcée lors de la finale de la coupe du monde 1998 qui a vu la France devenir championne du monde pour la première fois.
Commentaires de matches de football télévisés, Sur TF1

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“Hrubesch, c'est pas Alain Delon…”

Thierry Roland (1937–2012) journaliste sportif français, commentateur de matchs de football

Allusion au physique disgracieux de Horst Hrubesch, attaquant de l'équipe allemande lors de la demi-finale France - RFA de la Coupe du Monde 1982 à Séville, au cours de laquelle les Français se sont inclinés aux tirs au but après avoir mené 3-1 au cours de la prolongation.
Commentaires de matches de football télévisés, Sur Antenne 2

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“La solution finale au problème indien.”

William Tecumseh Sherman (1820–1891) militaire, homme d'affaires, enseignant et écrivain américain

The final solution to the Indian problem.
en
Dans une lettre adressée au général Ulysses Simpson Grant

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“Est ce que vous croyez pas Jean-Michel honnêtement, que dans un monde grand comme il est, il y a autre chose qu'un arbitre tunisien pour diriger un quart de finale de la Coupe du Monde?”

Thierry Roland (1937–2012) journaliste sportif français, commentateur de matchs de football

Cette phrase prononcée en 1986 lors de la coupe du Monde au Mexique juste après le but marqué de la main par Maradona, que le joueur qualifiera plus tard de « la mano de Dios » a valu à la France un incident diplomatique et des excuses officielles auprès du gouvernement tunisien. Thierry Roland n'en démord pas : l'arbitre en question Ali Bennaceur, loin de l'action, incapable de voir une faute flagrante aurait faussé ce match et la compétition.
Commentaires de matches de football télévisés, Sur TF1

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“Quand on s'apprête à entrer sur le court, pour jouer une finale, on a toujours les papillons dans l'estomac. Il n'y a rien à faire contre ça, ils sont toujours là. On est humain, on ressent des émotions, c'est normal. […] Les papillons, parfois ça part tout de suite, parfois ça ne part jamais, et parfois ça part et ça revient. Et quand ça revient au moment de conclure, ouh là là! C'est encore plus d'émotion!”

Mary Pierce (1975) joueuse de tennis française

Commentaire de Mary Pierce à propos de ce qu'on ressent pour une première finale en Grand Chelem, à l'occasion de la finale entre Francesca Schiavone et Samantha Stosur à Roland-Garros en 2010. Franco-américaine, Mary Pierce traduit littéralement en français une expression de langue anglaise, « to have butterflies in one's stomach » (« avoir des papillons dans l'estomac »), expression qui signifie « être nerveux » mais qui n'existe pas telle quelle en français.

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“La psychanalyse, c'est la solution finale de l'art.”

Marc-Édouard Nabe (1958) écrivain et pamphlétaire français

Chacun mes goûts, 1986

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“Mais les révolutionnaires qui ne savent pas allier aux formes illégales de lutte toutes les formes légales sont de bien mauvais révolutionnaires. Il n'est pas difficile d'être un révolutionnaire quand la révolution a éclaté déjà et bat son plein; quand tout un chacun s'y rallie par simple engouement, pour suivre la mode, parfois même pour faire carrière. Sa "libération" de ces piètres révolutionnaires, le prolétariat doit la payer plus tard, après sa victoire, par des efforts inouïs, par un martyre douloureux, pourrait-on dire. Il est beaucoup plus difficile - et beaucoup plus précieux - de se montrer révolutionnaire quand la situation ne permet pas encore la lutte directe, déclarée, véritablement massive, véritablement révolutionnaire, de savoir défendre les intérêts de la révolution (par la propagande, par l'agitation, par l'organisation) dans des institutions non révolutionnaires, voire nettement réactionnaires, dans une ambiance non révolutionnaire, parmi des masses incapables de comprendre tout de suite la nécessité d'une méthode d'action révolutionnaire. Savoir trouver, pressentir, déterminer exactement la voie concrète ou le tour spécial des événements, qui conduira les masses vers la grande lutte révolutionnaire véritable, décisive et finale : tel est le principal objet du communisme actuel en Europe occidentale et en Amérique.”

La Maladie infantile du communisme (le « gauchisme »), 1920

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“Le monde, quels que puissent être ses contenus permanents ou transitoires, ne se détache jamais de Dieu; il est toujours cette substance céleste tombée dans un néant et durcie dans le froid de l’éloignement; les limites des choses et les calamités qui en résultent en témoignent. Le sage voit dans les choses et à travers elles l’origine divine devenue lointaine, et aussi — en considérant les limitations et les misères — le point de chute qui est inéluctable, et où s’écrasera finalement le monde; il discerne dans les phénomènes le flux et le reflux, l’expansion et le retour, le miracle existentiel et la limite ontologique.

Mais, surtout, le soufi perçoit par l’« œil du cœur » que « toute chose est Lui »; le monde, tout en n’étant point Dieu sous le rapport de son existence particulière, n’en est pas moins « l’Extérieur » sous le rapport de sa possibilité profonde ou du miracle permanent auquel il est accroché à tout moment et sans lequel il s’effondrerait dans le néant; en un sens, il n’est pas Dieu, mais en un autre sens, il « n’est autre que Lui » en vertu de sa causalité divine. Il se peut que les mots ne sauront jamais rendre compte d’une manière satisfaisante de ce mystère; mais, en un certain point, le monde « est Dieu », ou il n’est pas. Dieu n’est pas le monde, et c’est pour cela, précisément, qu’il est impossible de parler de « l’Extérieur » sans parler aussi de « l’Intérieur »; le premier n’est vrai que par le second.”

Frithjof Schuon (1907–1998) métaphysicien, théologien et philosophe suisse

Form and Substance in the Religions

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“L'homme ne vit pas seulement sa vie personnelle comme individu, mais consciemment ou inconsciemment il participe aussi à celle de son époque et de ses contemporains, et même s'il devait considérer les bases générales et impersonnelles de son existence comme des données immédiates, les tenir pour naturelles et être aussi éloigné de l'idée d'exercer contre elles une critique que le bon Hans Castorp l'était réellement, il est néanmoins possible qu'il sente son bien-être moral vaguement affecté par leurs défauts. L'individu peut envisager toute sorte de buts personnels, de fins, d'espérances, de perspectives où il puise une impulsion à de grands efforts et à son activité, mais lorsque l'impersonnel autour de lui, l'époque elle-même, en dépit de son agitation, manque de buts et d'espérances, lorsqu'elle se révèle en secret désespérée, désorientée et sans issue, lorsqu'à la question, posée consciemment ou inconsciemment, mais finalement posée en quelque manière, sur le sens suprême, plus que personnel et inconditionné, de tout effort et de toute activité, elle oppose le silence du vide, cet état de choses paralysera justement les efforts d'un caractère droit, et cette influence, par-delà l'âme et la morale, s'étendra jusqu'à la partie physique et organique de l'individu. Pour être disposé à fournir un effort considérable qui dépasse la mesure de ce qui est communément pratiqué, sans que l'époque puisse donner une réponse satisfaisante à la question " à quoi bon? ", il faut une solitude et une pureté morales qui sont rares et d'une nature héroïque, ou une vitalité particulièrement robuste. Hans Castorp ne possédait ni l'une ni l'autre, et il n'était ainsi donc qu'un homme malgré tout moyen, encore que dans un sens des plus honorables.
(ch. II)”

The Magic Mountain

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“C'est la lutte finale
Groupons-nous, et demain
L'Internationale
Sera le genre humain”

Eugène Pottier (1816–1887) goguettier, poète et révolutionnaire français, auteur des paroles de L'Internationale

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