Citations sur coulée
Une collection de citations sur le thème de coulée, tout, sang, pluie.
Citations sur coulée

L'Anti-Œdipe, 1972 (avec )

I’ve learned love is like a brick, you can build a house or sink a dead body.
en

“La Bouteille éclate, — le Vin coule; — le Crime naît, et l'Amour vient.”
Encore un an de Sans titre (1840)

“Quelle sainte au tablier de roses a fait couler cet extrait divin dans les veines de la pierre?”
Poisson soluble, 1924
Portrait de dos, 2013
fr

L'Année des chapeaux rouges partie I Pour mieux sauter, André Breton, Littérature Nouvelle Série, 3, Mai 1922, 11
L'Année des chapeaux rouges, 1922

Contre la proposition de vote à la majorité des 2/3 dans le procès du roi, formulée par les girondins Lanjuinais et Le Hardy,16 janvier 1793.
Discours

Discours, Second discours sur le jugement de Louis XVI, prononcé à la Convention nationale le 26 décembre 1792
Cosa Nostra — La mafia sicilienne de 1860 à nos jours, 2004

“Touche à ma famille et je ferai couler le sang.”
Effet miroir (3ème album)

“LE SOURIRE!
Veine qui coule heureuse
ouverte dans un bain.”
Encore un an de Sans titre (1840)

Léviathan, Julien Green, Fayard, Le Livre de Poche, 1993, 1929, 156, XIII, 978-2-253-09940-6
Léviathan, 1929
Scènes de la vie d'un jeune garçon , 1997

27 mai 1978.
Ouvrages, L’Abeille et l’Architecte
L'Anti-Œdipe, 1972 (avec )
Le [11, septembre, 1943] , à 23 heures, Antoine Desvrières attend l'arrivée du lieutenant Werner qu'il est chargé d'abattre.
L'Ironie du sort, 1961

Makine a signé ce roman sous le nom de Gabriel Osmonde
Le voyage d'une femme qui n'avait plus peur de vieillir, 2001

Makine a signé ce roman sous le nom de Gabriel Osmonde
Le voyage d'une femme qui n'avait plus peur de vieillir, 2001

Paul Barril, ancien commandant du GIGN, ancien responsable de la cellule antiterroriste de l'Élysée et ancien conseiller auprès du gouvernement rwandais.
Paul Barril
Liberté grande, 1946

Alcools
Variante: Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

Il est avantageux d'avoir où aller

Krew elfów
Variante: Toi et ta grande cause... (Ignorant le troubadour, le sorceleur avança en titubant.) Ta grande cause, Filippa, et ton choix, c'est un blessé, poignardé de sang-froid, quand il a eu fini d'avouer ce que tu voulais savoir et qu'il m'était interdit de connaître. Ta grande cause, ce sont tous ces cadavres qui n'auraient pas dû être... Pardon, je me suis mal exprimé... Ce ne sont pas des cadavres... mais des causes de moindre importance!
- Je savais que tu ne comprendrais pas.
- Non, en effet. Et je ne le comprendrai jamais. Mais je sais ce qu'il en est. Vos grandes affaires, vos guerres, votre combat pour sauver le monde... Votre fin qui justifie vos moyens... Tends l'oreille, Filippa. Tu entends ces voix, ces cris? Ce sont de gros chats qui luttent pour une grande cause. Un règne absolu sur un tas d'ordures. Ce n'est pas rien, là-bas, on fait couler du sang et on s'étripe. Là-bas, c'est la guerre. Mais ces deux guerres, celle des chats et la tienne, m'importent incroyablement peu!
“Le sang qui doit couler ne passe pas la nuit dans les veines.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998

vous avez réussi, par un seul de vos gestes, à mettre dans la pleine lumière de mon âme la créature qui s’y trouvait encore gisante et enveloppée ; et puis, sans vous douter de cette nativité subite, vous êtes rentrée dans l’intime obscurité de votre Érèbe. Ah ! j’étais sûr d’entendre vos sanglots ; et cependant il courait en moi un torrent de joie indomptable. Jamais, je crois, je ne vous ai raconté ces choses. J’aurais dû vous consacrer mon œuvre comme à une Lucine idéale.
Romans, Le Feu, 1900

fr
Aux uns écrabouillait la cervelle, aux autres rompait bras et jambes, aux autres démettait les vertèbres du cou, aux autres disloquait les reins, tranchait le nez, pochait les yeux, fendait les mandibules, enfonçait les dents dans la gueule, défonçait les omoplates, gangrenait les jambes, déboîtait les hanches, mettait en pièce jambes et avant-bras.
Frère Jean commet ce massacre contre l'armée de Picrochole, qui envahit la vigne de l'abbaye.
Œuvre, Gargantua