Citations de la nuit
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“Chaque nuit est une paupière que les épines n'arrivent pas à traverser.”
Poésie, Liberté sur parole, 1929

À propos d'un ancêtre de Byron, duquel il héritera l'abbaye de Newstead.
Don Juan ou la vie de Byron, 1952
Les Bas-fonds de l'Antiquité, 1982

Mai 1835
Portraits de Femmes, 1844, Concernant Germaine de Staël
Les sentinelles du soir

Mai 1835
D'autres auteurs la concernant

Le Pont de la mort, 1926
Charge d'âme, 1977

L'Année des chapeaux rouges partie II Coutumière du fait, André Breton, Littérature Nouvelle Série, 3, Mai 1922, 14
L'Année des chapeaux rouges, 1922
Liberté grande, 1946

“Toutes les couleurs disparaissent dans la nuit, et le désespoir ne tient pas de journal.”
Annie Le Brun reprend ici les propos de Charles Robert Maturin.

Don Juan ou la vie de Byron, 1952

L'Année des chapeaux rouges partie II Coutumière du fait, André Breton, Littérature Nouvelle Série, 3, Mai 1922, 11
L'Année des chapeaux rouges, 1922

grc
La déesse Athéna instaure le tribunal de l'Aréopage à Athènes afin de trancher le conflit entre Apollon et les Erinyes au sujet de la culpabilité ou de l'innocence d'Oreste (la mère d'Oreste, Clytemnestre, ayant tué son époux Agamemnon, Oreste a tué Clytemnestre, commettant ainsi un matricide pour venger son père).
L'Orestie, Les Euménides

René ou la vie de Chateaubriand, 1938

Romans, Dieu, sa vie, son œuvre

La Peste Noire à Florence (Première Journée, Introduction)

“C'est ici le combat du jour et de la nuit… Je vois de la lumière noire.”

Le Bateau Ivre http://www.mag4.net/Rimbaud/poesies/Boat.html (The Drunken Boat) (1871)

“Ne pas aller doucement dans cette bonne nuit.
Rage, rage contre la mort de la lumière.”

Après l’orage.) Chez moi, voilà comme on désorganise les éléments.
Orphée aux Enfers, 1858

Carnets, Carnets de la Côte d’Opale – L’infini arrive pieds nus sur cette terre, Point d’Appui 4, 2016

“J’en veux alors à la nuit de kidnapper le paysage.
Comme si la nuit se réservait la vraie vie.”

“Souvent je me demande qui je suis. Je suis à moi-même ma propre nuit.”
“Le sang qui doit couler ne passe pas la nuit dans les veines.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“Sept nuits successives constituent une semaine. Trente nuits successives une lune.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998

Arrière, bougre de nom de dieu ! D'autres dans des coquilles de noix, avec un bout de voile comme un mouchoir de poche, dansant comme des bouchons sur l'eau, quand les vents soufflent en tempête. Et mariés qui plus est. Quelquefois pendant des années on ne sait pas où, à l'autre bout du monde.
Ulysse, 1922

Mémoires de sept vies. Tome 2 : Croire et Oser, 1997

Mémoires de sept vies. Tome 2 : Croire et Oser, 1997

Mémoires de sept vies. Tome 1 : Les temps aventureux, 1994

“JOURNAL : — Quel papier que la Terre; — quels caractères que le Jour; — quelle encre que la Nuit!”
Tout le monde imprime, tout le monde lit ; — personne ne comprend. —
Encore un an de Sans titre (1840)

A quelque amant néronien caché sous le felze, Venise offrira dans une heure le spectacle d’une ville délirante qui s’incendie.
Stelio sourit en remarquant à quel point ses familiers s’étaient imprégnés de son essence et combien profondément le sceau de son style s’était imprimé sur leurs esprits. Subitement s’offrit à son désir l’image de la Foscarina empoisonnée par l’art, chargée d’expérience voluptueuse, ayant le goût de la maturité et de la corruption dans sa bouche éloquente, ayant l’aridité de la vaine fièvre dans ses mains qui avaient exprimé le suc des fruits fallacieux, gardant les vestiges de cent masques sur ce visage qui avait simulé la fureur des passions mortelles. C’était ainsi que se la représentait son désir ; et il palpitait à la pensée que, tout à l’heure, il la verrait émerger de la foule comme de l’élément dont elle était l’esclave, et qu’il puiserait dans le regard de cette femme l’ivresse nécessaire.
Romans, Le Feu, 1900

vous avez réussi, par un seul de vos gestes, à mettre dans la pleine lumière de mon âme la créature qui s’y trouvait encore gisante et enveloppée ; et puis, sans vous douter de cette nativité subite, vous êtes rentrée dans l’intime obscurité de votre Érèbe. Ah ! j’étais sûr d’entendre vos sanglots ; et cependant il courait en moi un torrent de joie indomptable. Jamais, je crois, je ne vous ai raconté ces choses. J’aurais dû vous consacrer mon œuvre comme à une Lucine idéale.
Romans, Le Feu, 1900
Oro, 1985
Oro, 1985
Oro, 1985

“La nuit est un moment plus calme pour travailler. Cela aide la pensée.”