Citations sur merveille

Une collection de citations sur le thème de merveille, tout, pluie, bien-être.

Citations sur merveille

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“Ô merveille profonde!”

À propos de Rome.
Les Antiquités de Rome

“L'envoûtement vient du temps brisé et non des merveilles qui se révèlent à nous.”

Joseph-Marie Lo Duca (1910–2004) écrivain et critique de cinéma franco-italien

Le Huitième Sceau, 1968

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“De l'ombre d'un petit bouquet d'arbres à une centaine de mètres s'envolaient encore dans la direction du soleil quelques-uns de ces pantalons de dentelle qui font merveille au théâtre mais j'avais en vue autre chose qu'un lâcher de pigeons-voyageurs.”

André Breton (1896–1966) poète et écrivain français

L'Année des chapeaux rouges partie I Pour mieux sauter, André Breton, Littérature Nouvelle Série, 3, Mai 1922, 9
L'Année des chapeaux rouges, 1922

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“Mais la merveille de la vie était l'amour. Tout le reste était prescrit et prévu : l'amour était la seule liberté des hommes. Comment avait-on pu en médire?”

Abel Bonnard (1883–1968) homme politique, écrivain, essayiste et poète français

Ouvrages, Le Palais Palmacamini (1914)

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“Les plus célèbres merveilles de Mars étaient tellement gigantesques qu'on ne pouvait les admirer vraiment que de l'espace.”

Arthur C. Clarke (1917–2008) écrivain de science-fiction, écrivain scientifique, futurologue, présentateur télé, explorateur sous-marin …

Citations de ses romans, Le Marteau de Dieu (1993)

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“[…] quand les vieilles paroles expirent sur la langue, de nouvelles mélodies jaillissent du cœur; et là où les vieilles pistes sont perdues, une nouvelle contrée se découvre avec ses merveilles.”

[…] when old words die out on the tongue, new melodies break forth from the heart ; and where the old tracks are lost, new country is revealed with its wonders.
en
L’Offrande lyrique (Gitanjali: Song Offerings), 1912

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“Dans le roman, ô merveille, tout est permis. On peut tuer.”

Amélie Nothomb (1967) écrivaine belge, d'expression française

Réponse à la remarque de la journaliste et Première dame de France Valérie Trierweiler « La mort violente revient souvent dans vos livres… ».

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“Les longues nuits semblaient ne s'écarter qu'à regret de la ville, pour quelques heures. Une grise lumière d'aube ou de crépuscule filtrant à travers le plafond de nuées d'un blanc sale se répandait alors sur les choses comme le reflet appauvri d'un lointain glacier. La neige même, qui continuait à tomber, était sans lumière. Cet ensevelissement blanc, léger et silencieux s'étendait à l'infini dans l'espace et le temps. Il fallait déjà allumer les veilleuses vers trois heures. Le soir épaississait sur la neige des tons de cendre, des bleus opaques, des gris tenaces de vieilles pierres. La nuit s'imposait, inexorable et calmante : irréelle. Le delta reprenait dans ces ténèbres sa configuration géographique. De noires falaises de pierre, cassées en angles droits, bordaient les canaux figés. Une sorte de phosphorescence sombre émanait du large fleuve de glace.

Parfois les vents du nord, venus du Spitzberg et de plus loin encore, du Groenland peut-être, peut-être du pôle par l'Océan arctique, la Norvège, la mer Blanche, poussaient leurs rafales sur l'estuaire morne de la Neva. Le froid mordait
tout à coup le granit, les lourdes brumes venues du sud par la Baltique s'évanouissaient tout à coup et les pierres, la terre, les arbres dénudés se couvraient instantanément de cristaux de givre dont chacun était une merveille à peine visible, faite de nombres, de lignes de force et de blancheur. La nuit changeait de face, dépouillant ses voiles d'irréalité. L'étoile polaire apparaissait, les constellations ouvraient l'immensité du monde. Le lendemain, les cavaliers de bronze sur leurs socles de pierre, couverts d'une poudre d'argent, semblaient sortir d'une étrange fête; les hautes colonnes de granit de la cathédrale Saint-Isaac, son fronton peuplé de saints et jusqu'à sa massive coupole dorée, tout était givré. Les façades et les quais de granit rouge prenaient, sous ce revêtement magnifique, des teintes de cendre rose et blanche. Les jardins, avec les filigranes purs de leurs ■ branchages, paraissaient enchantés. Cette fantasmagorie ravissait les yeux des gens sortis de leurs demeures étouffantes ainsi qu'il y a des millénaires, les hommes vêtus de fourrures sortaient peureusement l'hiver des chaudes cavernes pleines d'une bonne puanteur animale.

Pas une lumière dans des quartiers entiers. Des ténèbres préhistoriques.”

Victor Serge (1890–1947) anarchiste, écrivain révolutionnaire, journaliste, essayiste, poète et traducteur russe
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Cette traduction est en attente de révision. Est-ce correct?
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“Les doigts sont inégaux, mais réunis ils font merveille.”

Jean Pliya (1931–2015) écrivain béninois

Kondo, le requin, 1966