Citations sur bouche
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“La mort et la destruction sont jamais plus loin que la bouche qu'on veut embrasser.”
Rude journée pour l'homme léopard, 1991

« La Grève des électeurs », Le Figaro, 28 novembre 1888
Combats politiques, 1990

Propos de Castellion
Conscience contre violence ou Castellion contre Calvin, 1936

Ouvrages, La Rose au poing
Recueil de nouvelles, Le Musée noir, 1924, Le sang de l'agneau
Recueil de nouvelles, Soleil des loups, 1951, L’Étudiante

Les Champs Magnétiques , 1919 (avec André Breton)
“Mais il y a encore pas mal d'endroits où l'homme sage fait mieux de garder bouche close.”
Le Testament de Corlay, 1982

Il est ici question du Club des Buveurs de Sperme.
La Liberté ou l'Amour !, 1927

L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Fénelon

Une histoire d'amour et de ténèbres , 2002

La Culotte en jersey de soi, Renée Dunan, Le Cercle Poche, 2011, 1923, 19, 978-2-84714-152-8
La Culotte en jersey de soi, 1923

“Moins j'ouvrirai la bouche, moins je ferai figure odieuse et cynique.”
Un Homme heureux

“Les femmes parlent plus vrai, plus juste : elles ont la bouche près du coeur.”
L'évangile selon Pilate

“Avant d'ouvrir la bouche, assure-toi que ce que tu vas dire est plus beau que le silence.”

“C'est ça la gloire. Un bon cigare dans la bouche par le côté du feu et de la cendre.”

Examens particuliers sur divers sujets [Examination of Conscience upon Special Subjects] (1690)
“Allah dans sa bonté ne laisse jamais vide une bouche qu’il a créée.”
Allah n’est pas obligé , 2000
Une hyène à jeun , 1988

La Hache des steppes, 1974

A quelque amant néronien caché sous le felze, Venise offrira dans une heure le spectacle d’une ville délirante qui s’incendie.
Stelio sourit en remarquant à quel point ses familiers s’étaient imprégnés de son essence et combien profondément le sceau de son style s’était imprimé sur leurs esprits. Subitement s’offrit à son désir l’image de la Foscarina empoisonnée par l’art, chargée d’expérience voluptueuse, ayant le goût de la maturité et de la corruption dans sa bouche éloquente, ayant l’aridité de la vaine fièvre dans ses mains qui avaient exprimé le suc des fruits fallacieux, gardant les vestiges de cent masques sur ce visage qui avait simulé la fureur des passions mortelles. C’était ainsi que se la représentait son désir ; et il palpitait à la pensée que, tout à l’heure, il la verrait émerger de la foule comme de l’élément dont elle était l’esclave, et qu’il puiserait dans le regard de cette femme l’ivresse nécessaire.
Romans, Le Feu, 1900
Le monde des merveilles (Trilogie de Deptford, III)
