Citations sur acheteur

Une collection de citations sur le thème de acheteur, bien-être, être, chose.

Citations sur acheteur

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“Et puis, tu sais, si on ne pouvait pas acheter de l'amour avec de l'argent, l'amour perdrait beaucoup de sa valeur et l'argent aussi.”

Gros-Câlin
Gros-Câlin, 1974
Variante: Si on ne pouvait pas acheter de l'amour avec de l'argent, l'amour perdrait beaucoup de sa valeur et l'argent aussi.

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“La joie de vivre ne s'achète ni au supermarché ni même dans les magasins de luxe.”

Pierre Rabhi (1938) essayiste, agriculteur biologiste, romancier et poète français

Graines de possibles, regards croisés sur l'écologie

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“J'ai un tee-shirt qui dit « Awesome Possum » et il y a une photo d'un opossum. Je sais que c'est débile, mais un ami me l'a offert… Vous savez quoi, allez vous faire foutre, je l'ai acheté, je l'ai trouvé cool.”

Louis C.K. (1967) acteur et humoriste américain

I have this tee-shirt and it says « Awesome Possum » on it, it's got a picture of a possum. I know it's stupid, but a friend of mine gave it to me... Fuck you I bought it, I thought it was cool.
en
Shameless (2005)

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“Je ne sais pas pourquoi personne ne t'a expliqué comment exprimer ton amour. J'ignore comment quelqu'un a pu te contrôler/On t'a achetée puis revendue. Je regarde le monde et je remarque qu'il tourne/Pendant que ma guitare pleure doucement/Chaque erreur nous enseigne sûrement quelque chose/Et ma guitare continue de pleurer doucement.”

George Harrison (1943–2001) musicien britannique

I don't know why nobody told you how to unfold your love/I don't know how someone controlled you/They bought and sold you. I look at the world and I notice it’s turning/While my guitar gently weeps. With every mistake we must surely be learning/Still my guitar gently weeps.
en

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“Observez avec quel plaisir, quelle délectation, quel bonheur même, les journalistes révèlent le vrai nom de Joey Starr – décidément, toujours lui – à la première occasion venue (concours du plus joli pit-bull de Saint-Denis, discussion informelle avec une hôtesse de l’air, concert caritatif au profit des orphelins de la police, échange métaphysique avec un chimpanzé…), comme pour dire : bien sûr, il est connu, lui, il (se) tape plein de gonzesses, lui, il parle vraiment aux gens, de façon peut-être contestable, mais infiniment moins servile que moi (c’est le journaliste qui s’exprime, évidemment), et pourtant, ce n’est pas un extra-terrestre, la preuve, lui aussi, il a un vrai nom, comme moi, et, toujours par le même glissement riemannien de la vérité, il en déduit, rasséréné : il est comme moi, puis, l’alcool bon marché aidant (essayez d’acheter du Haut-Brion avec une paye de pigiste), il est moi, je suis Joey Starr. Alors, le journaliste aviné sort dans la rue, prend sa voiture, fonce à Saint-Denis, et là, existant enfin comme un homme pour la première fois de sa vie, hurle dans la nuit, ivre de joie : « Qu’est-ce qu’on attend pour foutre le feu? », avant de croiser quelques skinheads ou quelques branleurs de banlieue, moins blancs mais tout aussi accorts, qui finalement, lui mettent la fièvre, pendant des heures.”

Je gagne toujours à la fin, 2003

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“Le point fondamental est le suivant : le travail, la terre et l'argent sont des éléments essentiels de l'industrie; ils doivent eux aussi être organisés en marchés; ces marchés forment en fait une partie absolument essentielle du système économique. Mais il est évident que travail, terre et monnaie ne sont pas des marchandises; en ce qui les concerne, le postulat selon lequel tout ce qui est acheté et vendu doit avoir été produit pour la vente est carrément faux. En d'autres termes, si l'on s'en tient à la définition empirique de la marchandise, ce ne sont pas des marchandises. Le travail n'est que l'autre nom de l'activité économique qui accompagne la vie elle-même -- laquelle, de son côté, n'est pas produite pour la vente mais pour des raisons entièrement différentes --, et cette activité ne peut pas non plus être détachée du reste de la vie, être entreposée ou mobilisée; la terre n'est que l'autre nom de la nature, qui n'est pas produite par l'homme; enfin, la monnaie réelle est simplement un signe de pouvoir d'achat qui, en règle générale, n'est pas le moins du monde produit, mais est une création du mécanisme de la banque ou de la finance d'État. Aucun de ces trois éléments -- travail, terre, monnaie -- n'est produit pour la vente; lorsqu'on les décrit comme des marchandises, c'est entièrement fictif.”

La Grande Transformation (1944), Deuxième partie : Grandeur et décadence de l'économie de marché, Chapitre 6 : Le marché autorégulateur et les marchandises fictives : travail, terre et monnaie

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“J'ai jamais vu un fumier pareil.”

Thierry Roland (1937–2012) journaliste sportif français, commentateur de matchs de football

Phrase prononcée pendant le quart de finale de Coupe du monde 1986 France - Brésil à propos de Ioan Igna, arbitre roumain du match, coupable à ses yeux de ne pas siffler les fautes en faveur des français. Au cours du même match et concernant le même arbitre, il a également dit que Michel Hidalgo, ancien sélectionneur des Bleus, lui avait confié la veille que « les Roumains étaient les plus faciles à acheter ».
Commentaires de matches de football télévisés, Sur TF1

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“Ce n'est pas vanité, c'est besoin; aujourd'hui la publicité aussi bien que le temps est de l'argent. Je suppose qu'à l'ordinaire vous vendiez un tableau quinze cents francs; ayez trois pages bien signées dans trois journaux notables, joignez y quelque petite manœuvre à l'hôtel des ventes, vous vendrez le tableau suivant, tout pareil, quatre mille francs. Un objet commercial quelconque, toiture en zinc ou clysopompe, cheminée fumivore ou râtelier en hippopotame, gagne tant d'acheteurs par tant de lignes d'annonce; la proportion est connue. Forcément, fatalement, telle denrée, tel remède, qu'on rencontre tous les jours, partout, en grosses lettres, en petites lettres, sur les murs, dans les gazettes, dans les chemins de fer, aux cafés, chez soi, chez les autres, imprime son nom dans la mémoire. On n'a pas voulu le lire et on l'a lu; on a évité de le retenir et on le sait par cœur; on s'en est moqué tout haut, ce qui a accru sa publicité. Que le besoin de la chose en question survienne :on n'a pas de conseil sous la main, on n'a pas d'autre nom en tête, on est pressé, on se dit par lassitude que, puisque celui-là est public, il en vaut un autre; on va à l'adresse connue, on avale et on recommence. L'an dernier, j'ai trouvé en province des gens qui traitaient leurs enfants par la médecine Leroy, comme en 1820; les noms s'encroûtent dans la mémoire humaine; il est aussi difficile d'en sortir que d'y entrer.”

Hippolyte Taine (1828–1893) philosophe et historien français

Notes sur Paris: vie et opinions de Frédéric-Thomas Graindorge

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“Si vous avez déjà acheté de la drogue, vous savez que pour quelque raison bizarre il faut simuler une relation avec son vendeur, comme si on n'y va pas vraiment pour acheter de la drogue mais pour une visite sociale. La drogue est la surprise qui s'y produit par hasard. « Oh, du pot, je n'avais aucune idée! » Il vous parle et vous essayez de faire semblant d'être intéressé : « Ah, oui, vraiment, j'adore Foghat. Sans blague. » Et à l'intérieur, vous pensez, « Mais donne-le-moi, merde! Je te déteste, ta maison sent la pisse de chat! » Pourquoi toutes les maisons de vendeurs de drogue sentent la pisse de chat?”

Margaret Cho (1968) actrice américaine

If you've ever bought drugs before, you understand that for some bizarre reason you have to feign this relationship with your dealer. It's like you're not really going to him to buy drugs. You're going for a social visit. Drugs are the surprise that just happens when you get there. "Oh, hash! I didn't know!" And he's talkin' to you and you're tryin' to be interested, you know, "Oh yeah? No, really ... I love Foghat. No, seriously." And inside you're like, "Just fuckin' give it! I hate you. Your house smells like cat pee!" Why do all drug dealers' houses smell like cat pee?
en
Notorious C.H.O.

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“Si le pape veut me voir, il peut acheter un billet comme tout le monde.”

Madonna (1958) chanteuse américaine

If the pope wants to see me, he can buy a ticket like anyone else.
en

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“J'achète un Cinnabon… à l'aéroport où j'ai atterri… Vous comprenez à quel point c'est encore plus écœurant, pas vrai? Parce que quand vous êtes dans l'aéroport d'où vous décollez, tu peux dire « bon, je dois bien manger quelque chose, parce que j'ai quand même une chance d'être coincé dans le ciel pour toujours, donc je dois manger maintenant. » Mais moi, j'avais atterri. Le voyage est terminé. Je suis à 20 minutes de chez moi, où j'ai des bananes et des pommes. Et j'était assis sur ma valise en train de manger ce putain de Cinnabon avec des couverts!”

Louis C.K. (1967) acteur et humoriste américain

I'm buying a Cinnabon … at the airport … I arrived at. You understand why that's extra disgusting, right? Because when you're at the airport you're leaving from, you can say, "Oh, I gotta eat. I need some food, because I might be trapped in the sky forever, so I should eat right now." But I've landed. The trip is over. I'm 20 minutes from my house, where I got bananas and apples and shit. And I'm sitting on my luggage just fucking eating a Cinnabon with a fork and knife.
en
Chewed Up (2008)

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“Je donne volontiers mon portrait à mes amis s'ils le désirent, quant à mes ennemis, s'ils le veulent, ils peuvent l'acheter!”

Giuseppe Verdi (1813–1901) compositeur italien

Cité par sa femme dans une lettre de celle-ci. Juin 1867
Correspondance

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“Il est des gens qui crient très haut qu'ils n'ont jamais voulu se vendre; c'est peut-être qu'on ne se serait jamais soucié de les acheter.”

Gérard de Nerval (1808–1855) poète, conteur, auteur dramatique, librettiste et journaliste français

Les Faux Saulniers, 1868

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“La vraie grandeur pour une nation, la vraie gloire selon les économistes, c'est de vendre aux empires voisins plus de culottes qu'on n'en achète d'eux.”

Charles Fourier (1772–1837) philosophe et économiste français

Théorie des quatre mouvements et des destinées générales, 1808

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“Et les entrepreneurs à succès qui viennent de laversano, une terre malade de camorra, répondent sans vergogne à ceux qui les interrogent: "j'ai acheté à dix et revendu à trois cents."”

Roberto Saviano (1979) écrivain et journaliste italien

fr
Gomorra : Dans l'empire de la Camorra, 2006, Seconde partie, Béton armé

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“Tout ce qu’on achète, c’est de la location, même si c’est acheté. Parce qu’on n’emporte rien avec soi.”

Rohff (1977) rappeur français

Source: Regretté, Au-delà de mes limites, 2005