Citations sur navire

Une collection de citations sur le thème de navire, pluie, tout, homme.

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“J'étais à bord d'un navire avec huit cents lesbiennes. On ne peut pas débarquer. Tellement de drame. « La regardais-tu, elle? Ou elle, ou elle, ou elle, ou elle? ALORS?! » Nos règles se sont synchronisées.”

Margaret Cho (1968) actrice américaine

So I was on the ship, with 800 lesbians. We can't get off. So much drama. "Were you looking at her or her or her or her or her or her or her or her or her or her or her or her? WELL, WERE YOU?!" We all got on the same cycle.
en
I'm the One that I Want

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“Nous retournans à nos navires, je vis derriere je ne scay quel buysson, je ne scay quelles gens, faisant je ne scay quoy, et je ne scay comment, aiguisans je ne scay quel ferremens, qu'ils avoient je ne scay où, et ne scay en quelle maniere.”

François Rabelais (1494–1553) auteur français du 16e siècle

fr
Retournant dans nos navires, je vis derrière je ne sais quel buisson, je ne sais quels gens, faisant je ne sais quoi, et je ne sais comment, aiguisant je ne sais quels objets de fers, qu'ils avaient je ne sais d'où, et je ne sais de quelle manière.
Les voyageurs sont sur une île où les objets de fers poussent sur des arbres.
Œuvre, Cinquième Livre

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“Or si jamais un rêve avait été impraticable et insensé, c’était celui-ci : sauver la machine échouée sur les Douvres. Envoyer travailler sur ces roches un navire et un équipage serait absurde; il n’y fallait pas songer. C’était la saison des coups de mer; à la première bourrasque les chaînes des ancres seraient sciées par les crêtes sous-marines des brisants, et le navire se fracasserait à l’écueil. Ce serait envoyer un deuxième naufrage au secours du premier. Dans l’espèce de trou du plateau supérieur où s’était abrité le naufragé légendaire mort de faim, il y avait à peine place pour un homme. Il faudrait donc que, pour sauver cette machine, un homme allât aux rochers Douvres, et qu’il y allât seul, seul dans cette mer, seul dans ce désert, seul à cinq lieues de la côte, seul dans cette épouvante, seul des semaines entières, seul devant le prévu et l’imprévu, sans ravitaillement dans les angoisses du dénûment, sans secours dans les incidents de la détresse, sans autre trace humaine que celle de l’ancien naufragé expiré de misère là, sans autre compagnon que ce mort. Et comment s’y prendrait-il d’ailleurs pour sauver cette machine? Il faudrait qu’il fût non seulement matelot, mais forgeron. Et à travers quelles épreuves! L’homme qui tenterait cela serait plus qu’un héros. Ce serait un fou.”

Roman, Les Travailleurs de la mer, 1866

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“Regardons en face notre plus grande peur : la crainte d'avoir été, tous tant que nous sommes, appelés dans ce monde depuis un ordre d'existence différent (que nous avons maintenant oublié) par un magicien inconnu de nous, à la façon dont j'ai, selon vous, évoqué votre fille et sa compagne (ce que je n'ai pas fait). Je pose alors cependant cette question : Avons-nous pour autant perdu notre liberté? En êtes-vous, en particulier, moins maîtresse de votre vie? Devenons-nous nécessairement les marionnettes d'une histoire dotée d'une fin que nous ne pouvons voir et vers laquelle on nous traîne comme des criminels condamnés? Nous savons, chacun à notre manière, à quel point l'écriture est une occupation divagante; et il en est sûrement de même pour la magie. Assis à notre table, nous regardons par la fenêtre, et voici que passe un nuage ressemblant à un chameau; à peine avons-nous le temps de nous en apercevoir, que notre fantaisie nous a déjà transportés jusqu'aux sables de l'Afrique, et que notre héros (qui n'est personne sinon nous-même sous un déguisement) croise le cimeterre avec un brigand maure. Un autre nuage, en forme de navire, vogue devant nous; en un clin d'œil, nous voilà abandonné sur une île déserte et plongés dans le désespoir. Avons-nous des raisons de croire que les vies qu'il nous est donné de vivre se déroulent suivant un dessein plus arrêté que ces aventures fantasques?”

J. M. Coetzee (1940) romancier et professeur en littérature sud-africain

Foe , 1986

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