Charles Baudelaire Citations
Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Fusées (1867)
“On ne peut oublier le temps qu'en s'en servant.”
Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Mon cœur mis à nu (1864)
Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Mon cœur mis à nu (1864)
Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Mon cœur mis à nu (1864)
L'art romantique (1869)
Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Mon cœur mis à nu (1864)
Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Mon cœur mis à nu (1864)
“Fourmillante cité, cité pleine de rêves,
Où le spectre en plein jour raccroche le passant!”
Les fleurs du mal (Flowers of Evil) (1857)
L'art romantique (1869)
“La femme ne sait pas séparer l'âme du corps.”
Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Mon cœur mis à nu (1864)
“Il serait peut-être doux d'être alternativement victime et bourreau.”
Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Mon cœur mis à nu (1864)
Les fleurs du mal (Flowers of Evil) (1857)
“Tous les grands poètes deviennent naturellement, fatalement, critiques.”
L'art romantique (1869)
Salon de 1859 (1859)
“Le progrès, cette grande hérésie de la décrépitude.”
L'art romantique (1869)
“C'était l'heure où l'essaim des rêves malfaisants
Tord sur leurs oreillers les bruns adolescents.”
Les fleurs du mal (Flowers of Evil) (1857)
Les fleurs du mal (Flowers of Evil) (1857)
Salon de 1859 (1859)
Les fleurs du mal (Flowers of Evil) (1857)
Le peintre de la vie moderne (1863)
Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Fusées (1867)
Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Fusées (1867)
Le spleen de Paris (1862)
“Je suis un cimetière abhorré de la lune.”
Les fleurs du mal (Flowers of Evil) (1857)
Source: Paris Spleen
“Ne pouvant supprimer l'amour, l'Église a voulu au moins le désinfecter, et elle a fait le mariage.”
Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Mon cœur mis à nu (1864)
“Le mal se fait sans effort, naturellement, par fatalité; le bien est toujours le produit d'un art.”
Le peintre de la vie moderne (1863)
Le peintre de la vie moderne (1863)
“Glorifier le culte des images (ma grande, mon unique, ma primitive passion).”
Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Mon cœur mis à nu (1864)
“Ô douleur! ô douleur! Le Temps mange la vie.”
Les fleurs du mal (Flowers of Evil) (1857)
“L’amour ressemblait fort à une torture ou à une opération chirurgicale.”
Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Fusées (1867)
“Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres;
Adieu, vive clarté de nos étés trop courts!”
Les fleurs du mal (Flowers of Evil) (1857)