Charles Baudelaire citations
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Charles Baudelaire est un poète français. Né à Paris le 9 avril 1821, il meurt dans la même ville le 31 août 1867.

« Dante d’une époque déchue » selon le mot de Barbey d’Aurevilly, « tourné vers le classicisme, nourri de romantisme », à la croisée entre le Parnasse et le symbolisme, chantre de la « modernité », il occupe une place considérable parmi les poètes français pour un recueil certes bref au regard de l’œuvre de son contemporain Victor Hugo , mais qu’il aura façonné sa vie durant : Les Fleurs du mal.

Au cœur des débats sur la fonction de la littérature de son époque, Baudelaire détache la poésie de la morale, la proclame tout entière destinée au Beau et non à la Vérité. Comme le suggère le titre de son recueil, il a tenté de tisser des liens entre le mal et la beauté, le bonheur fugitif et l’idéal inaccessible , la violence et la volupté , mais aussi entre le poète et son lecteur et même entre les artistes à travers les âges . Outre des poèmes graves ou scandaleux , il a exprimé la mélancolie , l’horreur et l’envie d’ailleurs à travers l’exotisme. Wikipedia  

✵ 9. avril 1821 – 31. août 1867   •   Autres noms Charles Pierre Baudelaire
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Charles Baudelaire Citations

“La modernité, c'est le transitoire, le fugitif, le contingent, la moitié de l'art, dont l'autre moitié est l'éternel et l'immuable.”

Le Peintre de la vie moderne, 1863
Variante: La modernité, c’est le transitoire, le fugitif, le contingent, la moitié de l’art, dont l’autre moitié est l’éternel et l’immuable.

“Cette vie est un hôpital où chaque malade est possédé du désir de changer de lit.”

Le Spleen de Paris
Le spleen de Paris (1862)
Source: On Wine and Hashish

“Sois toujours poète, même en prose”

Variante: Sois toujours poète, même en prose.

“Une oasis d'horreur dans un désert d'ennui!”

Les Fleurs du Mal

“Plus l'homme cultive les arts, moins il bande.”

Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Mon cœur mis à nu (1864)

“Faire son devoir tous les jours et se fier à Dieu, pour le lendemain.”

Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Mon cœur mis à nu (1864)