Citations sur impôt

Une collection de citations sur le thème de impôt, pluie, bien-être, tout.

Citations sur impôt

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“Les seules certitudes sont la mort, les impôts et le rhume des foins au mois d'août.”

Andrew Coburn (1932–2018) écrivain américain

Des voix dans les ténèbres, 1994

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“Deuxième maxime. - La taxe ou portion d'impôt que chaque individu est tenu de payer doit être certaine, et non arbitraire.”

Adam Smith (1723–1790) philosophe et économiste écossais (1723-1790)

The Wealth of Nations

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“Troisième maxime. - Tout impôt doit être perçu à l'époque et selon le mode que l'on peut présumer les moins gênants pour le contribuable.”

Adam Smith (1723–1790) philosophe et économiste écossais (1723-1790)

The Wealth of Nations

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“Les femmes sont l´impôt que nous payons pour le plaisir.”

Adolfo Bioy Casares (1914–1999) écrivain argentin

Las mujeres son el impuesto que pagamos por el placer.
es

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“L'impôt plutôt que la réduction des déficits et des dépenses : ce choix a trop duré. Nous devons baisser notre dépense publique. Il en va de l'avenir de notre pays. […] La France vit au-dessus de ses moyens depuis quarante ans.”

Manuel Valls (1962) homme politique français

Manuel Valls à l'ouverture de l'université d'été du Medef à Jouy-en-Josas
Ouverture économique opérée par le deuxième gouvernement Valls

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“Je pense que les Grecs devraient se venir en aide mutuellement […] en payant tous leurs impôts.”

Christine Lagarde (1956) femme politique française

Citation rapportée par Olivier Berruyer http://www.les-crises.fr/lagarde-aux-grecs/ d'un article paru dans The Guardian le 27 mai.

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“Notre problème, ce n'est pas les étrangers, c'est qu'il y a overdose. C'est peut-être vrai qu'il n'y a pas plus d'étrangers qu'avant la guerre, mais ce n'est pas les mêmes et ça fait une différence. Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans et des Noirs […] Comment voulez-vous que le travailleur français qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15 000 francs, et qui voit sur le palier à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses, et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50 000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler! [applaudissements nourris] si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur [rires nourris], eh bien le travailleur français sur le palier devient fou. Et il faut le comprendre, si vous y étiez, vous auriez la même réaction. Et ce n'est pas être raciste que de dire cela. Nous n'avons plus les moyens d'honorer le regroupement familial, et il faut enfin ouvrir le grand débat qui s'impose dans notre pays, qui est un vrai débat moral, pour savoir s'il est naturel que les étrangers puissent bénéficier, au même titre que les Français, d'une solidarité nationale à laquelle ils ne participent pas puisqu'ils ne paient pas d'impôt! […] Il faut que ceux qui nous gouvernent prennent conscience qu'il y a un problème de l'immigration, et que si l'on ne le traite pas ­ et, les socialistes étant ce qu'ils sont, ils ne le traiteront que sous la pression de l'opinion publique ­ les choses empireront au profit de ceux qui sont les plus extrémistes.”

Le bruit et l'odeur

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“Augmentez la dose de sports pour chacun, développez l'esprit d'équipe, de compétition, et le besoin de penser est éliminé, non? Organiser, organisez, super-organisez des super-super-sports. Multipliez les bandes dessinées, les films; l'esprit a de moins en moins d'appétits. L'impatience, les autos-trades sillonnées de foules qui sont ici, là, partout, nulle part. Les réfugiés du volant. Les villes se transforment en auberges routières; les hommes se déplacent comme des nomades suivant les phases de la lune, couchant ce soir dans la chambre où tu dormais à midi et moi la veille. (1re partie)

On vit dans l'immédiat. Seul compte le boulot et après le travail l'embarras du choix en fait de distractions. Pourquoi apprendre quoi que ce soit sinon à presser les boutons, brancher des commutateurs, serrer des vis et des écrous?

Nous n'avons pas besoin qu'on nous laisse tranquilles. Nous avons besoin d'être sérieusement tracassés de temps à autre. Il y a combien de temps que tu n'as pas été tracassée sérieusement? Pour une raison importante je veux dire, une raison valable?

- Tu dois bien comprendre que notre civilisation est si vaste que nous ne pouvons nous permettre d'inquiéter ou de déranger nos minorités. Pose-toi la question toi-même. Que recherchons-nous, par-dessus tout, dans ce pays? Les gens veulent être heureux, d'accord? Ne l'as-tu pas entendu répéter toute la vie? Je veux être heureux, déclare chacun. Eh bien, sont-ils heureux? Ne veillons-nous pas à ce qu'ils soient toujours en mouvement, toujours distraits? Nous ne vivons que pour ça, c'est bien ton avis? Pour le plaisir, pour l'excitation. Et tu dois admettre que notre civilisation fournit l'un et l'autre à satiété.

Si le gouvernement est inefficace, tyrannique, vous écrase d'impôts, peu importe tant que les gens n'en savent rien. La paix, Montag. Instituer des concours dont les prix supposent la mémoire des paroles de chansons à la mode, des noms de capitales d'État ou du nombre de quintaux de maïs récoltés dans l'Iowa l'année précédente. Gavez les hommes de données inoffensives, incombustibles, qu'ils se sentent bourrés de "faits" à éclater, renseignés sur tout. Ensuite, ils s'imagineront qu'ils pensent, ils auront le sentiment du mouvement, tout en piétinant. Et ils seront heureux, parce que les connaissances de ce genre sont immuables. Ne les engagez pas sur des terrains glissants comme la philosophie ou la sociologie à quoi confronter leur expérience. C'est la source de tous les tourments. Tout homme capable de démonter un écran mural de télévision et de le remonter et, de nos jours ils le sont à peu près tous, est bien plus heureux que celui qui essais de mesurer, d'étalonner, de mettre en équations l'univers ce qui ne peut se faire sans que l'homme prenne conscience de son infériorité et de sa solitude.

Nous sommes les joyeux drilles, les boute-en-train, toi, moi et les autres. Nous faisons front contre la marée de ceux qui veulent plonger le monde dans la désolation en suscitant le conflit entre la théorie et la pensée. Nous avons les doigts accrochés au parapet. Tenons bon. Ne laissons pas le torrent de la mélancolie et de la triste philosophie noyer notre monde. Nous comptons sur toi. Je ne crois pas que tu te rendes compte de ton importance, de notre importance pour protéger l'optimisme de notre monde actuel.”

Fahrenheit 451

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“La liberté politique, la tranquillité d'une nation, la science même, sont des présents pour lesquels le destin prélève des impôts de sang!”

Honoré de Balzac (1799–1850) romancier, critique littéraire, essayiste, journaliste et écrivain français

About Catherine de' Medici (1842), Part III: The Two Dreams

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“Tout ça me paraît très mal organisé. Je veux déposer une réclamation. Je paye mes impôts, après tout.”

Je suis la Mort, pas les impôts. Moi, je n'arrive qu'une seule fois.
Les Annales du Disque-monde, Pieds d'argile, 1996

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