Citations sur fièvre
Une collection de citations sur le thème de fièvre, pluie, tout, bien-être.
Citations sur fièvre

Le lion, 1958

Car elle est obsédée par la célébrité et nous aussi nous sommes obsédés par sa célébrité : nous mourrons d'envie qu'elle devienne célèbre et qu'elle finisse par fiche le camp avec sa musique ou plutôt sa voix — car elle prétend qu'elle n'a pas besoin de musique pour chanter puisqu'elle la porte en elle — avec sa voix ailleurs.
Roman, Trois tristes tigres , 1967

Il est ici question de l'opinion du quotidien de Suzanne Necker.
L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Madame Necker

“La jeunesse est une fièvre trop forte pour être supportée si longtemps.”
, 1939

Recueil de nouvelles, Sortilèges, 1951, Le Diable à Londres
L'Islam, 2001

Il est ici question de sa mère, Suzanne Necker, et de son influence toute littéraire sur sa jeune fille.
D'autres auteurs la concernant

La Peste Noire à Florence (Première Journée, Introduction)

Les plus anciennes occurrences de la citation ne donnent pas d'attribution. Par exemple, dans la Revue spirite, en 1887 https://books.google.fr/books?id=wb4aAQAAMAAJ&q=%22On+en+meurt+ou+on+reste+idiot%22 : « On connaît ce dit mémorable ». Puis dans La Médecine nouvelle du 12 mars 1892 http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5521343v/f2.image.r=%22La%20fi%C3%A8vre%20typho%C3%AFde%20est%20une%20maladie%20terrible%22, ce commentaire : « Cette phrase attribuée à bien des personnages, n'est pas aussi grotesque qu'on pourrait le croire. Sauf le dernier membre que les farceurs y ont ajouté, le premier est malheureusement trop souvent vrai. » Le Journal du 25 juillet 1923 http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7608581h/f1.item.r=%22ou%20on%20en%20reste%20idiot%22.zoom l'attribue à Mac Mahon mais indique entre parenthèses et en italique : « apocryphes ». Dans La Revue de Paris de septembre 1936 http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k176862/f581.image.r=%22ou%20on%20en%20reste%20idiot%22 (ce texte sera repris l'année suivante dans La République des Ducs publié chez Grasset), l'historien Daniel Halévy donne ce commentaire : « On lui prêtait des mots simples qui faisaient rire. [...] Tout cela, indéfiniment répété, mettait en joie un peuple irrespectueux. »
Apocryphes
Toute une vie
Les plantes des femmes

D'autres auteurs la concernant

Les Yeux ouverts : Entretiens avec Matthieu Galey
“La fièvre fit plus d'animaux que les ovaires n'en firent jamais.”
Plume précédé de Lointain intérieur

“Je n'ai guère de souci de beauté ni de perfection… Je n'ai souci que de vie, de lutte, de fièvre.”

“Je veux que la fièvre s’empare de moi éternellement
Je veux que tu sois
Ma fièvre.”

Carnets, Carnets des Cévennes – Les clochers de tourmente, Point d’Appui 1, 2012