Citations sur visage
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“Les traits de notre visage ne sont guère que des gestes devenus, par l'habitude, définitifs.”

http://books.google.com/books?id=aYAHAQAAIAAJ&q=%22Les+traits+de+notre+visage+ne+sont+gu%C3%A8re+que+des+gestes+devenus+par+l'habitude+d%C3%A9finitifs%22&pg=PA175#v=onepage
In Search of Lost Time, Remembrance of Things Past (1913-1927), Vol II: Within a Budding Grove (1919)

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“Visage de l’aube du monde, ne t’ouvre pas comme un col tendre pour émouvoir ma chair.”

Léopold Sédar Senghor (1906–2001) personnalité politique franco-sénégalaise

Chants d’ombre suivi de Hosties noires, 1945

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“Au fond du puits de ma mémoire, je touche ton visage où je puise l’eau qui rafraîchit mon long regret.”

Léopold Sédar Senghor (1906–2001) personnalité politique franco-sénégalaise

Chants d’ombre suivi de Hosties noires, 1945

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“Mon visage commence à se dessiner sur l’écran du temps.”

Marguerite Yourcenar (1903–1987) écrivaine française

Le Labyrinthe du monde, Souvenirs pieux, 1974

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“Vous souvient-il de la scène où Perséphone est sur le point de s’abîmer dans l’Érèbe, tandis que gémit le chœur des Océanides? Son visage est pareil au vôtre, quand le vôtre s’obscurcit. Rigide dans son peplum couleur de safran, elle penche en arrière sa tête couronnée; et il semble que la nuit coule en sa chair devenue exsangue et s’amasse au-dessous du menton, dans la cavité des yeux, autour des narines, lui donnant l’aspect d’un sombre masque tragique. C’est votre masque, Perdita. Quand je composais mon Mystère, la mémoire que j’avais de vous m’a aidé à évoquer la personne divine. Ce petit ruban de velours safrané que vous portez habituellement au cou m’a indiqué la couleur convenable pour le peplum de Perséphone. Et un soir, dans votre maison, comme je prenais congé de vous sur le seuil d’une pièce où les lampes n’étaient pas encore allumées, —; un soir agité du dernier automne, vous en souvient-il?”

vous avez réussi, par un seul de vos gestes, à mettre dans la pleine lumière de mon âme la créature qui s’y trouvait encore gisante et enveloppée ; et puis, sans vous douter de cette nativité subite, vous êtes rentrée dans l’intime obscurité de votre Érèbe. Ah ! j’étais sûr d’entendre vos sanglots ; et cependant il courait en moi un torrent de joie indomptable. Jamais, je crois, je ne vous ai raconté ces choses. J’aurais dû vous consacrer mon œuvre comme à une Lucine idéale.
Romans, Le Feu, 1900

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