Citations sur renseignement

Une collection de citations sur le thème de renseignement, pluie, tout, fait.

Citations sur renseignement

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“Il n'y a pas de vraie façon pour les femmes de vraiment en apprendre au sujet du sexe dans notre culture. …Il y a des articles au sujet du sexe dans les magazines pour femmes, mais ce n'est pas le genre de renseignements que je cherche. Il y avait un article dans Cosmopolitan au sujet de comment paraître son mieux au lit avec son amant. C'était des astuces comme si tu mets ton bras sous les seins, ils sont plus hauts… ou si tu te couches sur le dos, tu auras le ventre plat, ou si vous faites du sexe anal, il ne voit pas ta cellulite. C'est con! Parce que je deviens si laide quand je baise, et je m'en fous, et si ça t'importe de quoi j'ai l'air quand tu me baises, tu devrais pas être en train de me baiser de toute façon!”

Margaret Cho (1968) actrice américaine

There's no real way for women to really learn about sex in our culture... There are articles about sex in women's magazines, but that's not the kind of information I'm after. There was this article in Cosmopolitan about How To Look Good In Bed with your lover. It was these tips like, if you put your arm under your breasts they're higher... or if you're laying on your back, your stomach is flat, or if you're having anal sex, he can't see your cellulite! That is wrong, because I get so ugly when I fuck and I don't care. And if you care what I look like when you're fucking me, you shouldn't be fucking me in the first place!!
en
Notorious C.H.O.

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“Parfois une minijupe ça aide à avoir des renseignements.”

Amanda Sthers (1978) auteur dramatique, scénariste, parolière

Les Érections américaines (2013)

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“Un des premiers résultats de mes observations fut que les Esprits, n’étant autres que les âmes des hommes, n’avaient ni la souveraine sagesse ni la souveraine science; que leur savoir était borné au degré de leur avancement, et que leur opinion n’avait que la valeur d’une opinion personnelle. Cette vérité, reconnue dès le principe, me préserva du grave écueil de croire à leur infaillibilité, et m’empêcha de formuler des théories prématurées sur le dire d’un seul ou de quelques-uns. Le seul fait de la communication avec les Esprits, quoi qu’ils puissent dire, prouvait l’existence d’un monde invisible ambiant; C’était déjà un point capital, un champ immense ouvert à nos explorations, la clef d’une foule de phénomènes inexpliqués; le second point, non moins important, était de connaître l’état de ce monde, ses mœurs, si l’on peut s’exprimer ainsi; je vis bientôt que chaque Esprit, en raison de sa position personnelle et de ses connaissances, m’en dévoilait une phase, absolument comme on arrive à connaître l’état d’un pays en interrogeant les habitants de toutes les classes et de toutes les conditions, chacun pouvant nous apprendre quelque chose, et aucun, individuellement, ne pouvant nous apprendre tout; c’est à l’observateur de former l’ensemble à l’aide des documents recueillis de différents côtés, collationnés, coordonnés et contrôlés les uns par les autres. J’agis donc avec les Esprits, comme je l’aurais fait avec des hommes; ils furent pour moi, depuis le plus petit jusqu’au plus grand, des moyens de me renseigner et non des révélateurs prédestinés.”

Allan Kardec (1804–1869) pédagogue français et fondateur de la philosophie spirite
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“Les cartes commandées à Londres me parviennent : simples compilations sur plans de renseignements décousus.”

François Balsan (1902–1972) explorateur français

Récits de voyages, Parmi les autres, choses vues 1935

“Quand on travaille pour les renseignements, on fait des choses qui ne sont pas légales dans le pays dans lequel on travaille. On vit dans l’illégalité.”

When you work in intelligence, you do things in the country in which you work that are not legal. It's a life of illegality.
en

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“[Paul Kagamé] était le chef des services de renseignements de l’Ouganda, il était militaire ougandais, il percevait un salaire ougandais […] il a été en Amérique faire des stages dans les unités spéciales […] avec un passeport ougandais. C’était un rebelle et un terroriste avéré. […] En 1990, l’Ouganda, avec trois mille rebelles tutsis, attaque le Rwanda […] je dis bien l’Ouganda de Museveni, qui est complice de Kagamé. La France a des accords de coopération de défense avec le Rwanda depuis 1975, signés par le président Giscard d’Estaing. Le président Mittérand apporte le soutien et l’aide au Rwanda, et on combat les rebelles de l’Ouganda et les gens du FPR. Nous sommes en 1990. Il y a quatre ans de guerre jusqu’à ce que l’avion soit détruit par un attentat terroriste. Dans cet avion, il y a deux chefs d’État en fonction, plus l’ensemble du gouvernement du Rwanda. C’est le déclencheur […] pour laisser massacrer les tutsis de l’intérieur, c’est à dire ceux qui sont restés au Rwanda, qui sont considérés par Paul Kagamé comme des collaborateurs […] En 1994, le sang coule encore à Kigali au mois de juillet; Kagamé décore ses amis américains de la CIA […] Il les décore et les remercie de leur aide et de leur soutien […] Ils sont impliqués dans le plan global de chasser les francophones de la zone des grands lacs, pas seulement du Rwanda, mais également des autres pays voisins […] Je suis le dernier survivant de l’équipe qui accuse Paul Kagamé.”

Paul Kagamé (1957) personnalité politique rwandaise

Paul Barril, ancien commandant du GIGN, ancien responsable de la cellule antiterroriste de l'Élysée et ancien conseiller auprès du gouvernement rwandais.
Paul Barril

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“Augmentez la dose de sports pour chacun, développez l'esprit d'équipe, de compétition, et le besoin de penser est éliminé, non? Organiser, organisez, super-organisez des super-super-sports. Multipliez les bandes dessinées, les films; l'esprit a de moins en moins d'appétits. L'impatience, les autos-trades sillonnées de foules qui sont ici, là, partout, nulle part. Les réfugiés du volant. Les villes se transforment en auberges routières; les hommes se déplacent comme des nomades suivant les phases de la lune, couchant ce soir dans la chambre où tu dormais à midi et moi la veille. (1re partie)

On vit dans l'immédiat. Seul compte le boulot et après le travail l'embarras du choix en fait de distractions. Pourquoi apprendre quoi que ce soit sinon à presser les boutons, brancher des commutateurs, serrer des vis et des écrous?

Nous n'avons pas besoin qu'on nous laisse tranquilles. Nous avons besoin d'être sérieusement tracassés de temps à autre. Il y a combien de temps que tu n'as pas été tracassée sérieusement? Pour une raison importante je veux dire, une raison valable?

- Tu dois bien comprendre que notre civilisation est si vaste que nous ne pouvons nous permettre d'inquiéter ou de déranger nos minorités. Pose-toi la question toi-même. Que recherchons-nous, par-dessus tout, dans ce pays? Les gens veulent être heureux, d'accord? Ne l'as-tu pas entendu répéter toute la vie? Je veux être heureux, déclare chacun. Eh bien, sont-ils heureux? Ne veillons-nous pas à ce qu'ils soient toujours en mouvement, toujours distraits? Nous ne vivons que pour ça, c'est bien ton avis? Pour le plaisir, pour l'excitation. Et tu dois admettre que notre civilisation fournit l'un et l'autre à satiété.

Si le gouvernement est inefficace, tyrannique, vous écrase d'impôts, peu importe tant que les gens n'en savent rien. La paix, Montag. Instituer des concours dont les prix supposent la mémoire des paroles de chansons à la mode, des noms de capitales d'État ou du nombre de quintaux de maïs récoltés dans l'Iowa l'année précédente. Gavez les hommes de données inoffensives, incombustibles, qu'ils se sentent bourrés de "faits" à éclater, renseignés sur tout. Ensuite, ils s'imagineront qu'ils pensent, ils auront le sentiment du mouvement, tout en piétinant. Et ils seront heureux, parce que les connaissances de ce genre sont immuables. Ne les engagez pas sur des terrains glissants comme la philosophie ou la sociologie à quoi confronter leur expérience. C'est la source de tous les tourments. Tout homme capable de démonter un écran mural de télévision et de le remonter et, de nos jours ils le sont à peu près tous, est bien plus heureux que celui qui essais de mesurer, d'étalonner, de mettre en équations l'univers ce qui ne peut se faire sans que l'homme prenne conscience de son infériorité et de sa solitude.

Nous sommes les joyeux drilles, les boute-en-train, toi, moi et les autres. Nous faisons front contre la marée de ceux qui veulent plonger le monde dans la désolation en suscitant le conflit entre la théorie et la pensée. Nous avons les doigts accrochés au parapet. Tenons bon. Ne laissons pas le torrent de la mélancolie et de la triste philosophie noyer notre monde. Nous comptons sur toi. Je ne crois pas que tu te rendes compte de ton importance, de notre importance pour protéger l'optimisme de notre monde actuel.”

Fahrenheit 451

Catherine Dufour photo