Citations sur les putes

Une collection de citations sur le thème de putain, pluie, tout, bien-être.

Meilleures citations sur les putes

“Putain mais quelle fichue imagination je peux avoir…”

Stand on Zanzibar

Citations sur les putes

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“J'ai un ami qui a un téléphone qui fait messagerie instantanée, et j'ai vraiment envie qu'il crève. Parce que j'en ai marre de ses putains de messages genre : « je suis dans un magasin de chaussures. » C'est tout! On est pas des agents secrets, j'ai pas besoin de savoir où tu es.”

Louis C.K. (1967) acteur et humoriste américain

I have this friend, he has a phone like an IM [Instant Message], and I really want him to die. Because I'm sick of getting this fucking messages from him: « I'm in a shoe store. » That's the all message. We're not secret agents, I don't need to know where you are.
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Shameless (2005)

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“J'achète un Cinnabon… à l'aéroport où j'ai atterri… Vous comprenez à quel point c'est encore plus écœurant, pas vrai? Parce que quand vous êtes dans l'aéroport d'où vous décollez, tu peux dire « bon, je dois bien manger quelque chose, parce que j'ai quand même une chance d'être coincé dans le ciel pour toujours, donc je dois manger maintenant. » Mais moi, j'avais atterri. Le voyage est terminé. Je suis à 20 minutes de chez moi, où j'ai des bananes et des pommes. Et j'était assis sur ma valise en train de manger ce putain de Cinnabon avec des couverts!”

Louis C.K. (1967) acteur et humoriste américain

I'm buying a Cinnabon … at the airport … I arrived at. You understand why that's extra disgusting, right? Because when you're at the airport you're leaving from, you can say, "Oh, I gotta eat. I need some food, because I might be trapped in the sky forever, so I should eat right now." But I've landed. The trip is over. I'm 20 minutes from my house, where I got bananas and apples and shit. And I'm sitting on my luggage just fucking eating a Cinnabon with a fork and knife.
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Chewed Up (2008)

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“Est-ce que la caresse des putains excuse la paresse des culs teints?”

Robert Desnos (1900–1945) poète français

Rrose Sélavy, 1922

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“Je connais l'endroit idéal pour les logements sociaux. J'ai la solution à ce problème. Je sais où nous pouvons construire des logements pour les sans-abris : les terrains de golf! C'est parfait! Juste ce qui nous faut. Des terrains abondants, dans des beaux quartiers, des terrains qui sont actuellement gâchés par une activité débile, dépourvue de sens, et principalement pratiquée par des homme d'affaire blancs et de bonne société, qui utilisent ce jeu pour se réunir et se découper des tranches de plus en plus fines de ce pays. J'en ai marre, vraiment marre, de ces salauds de golfeurs. Avec leurs pantalons verts, et leurs pantalons jaunes, et leurs pantalons oranges, et leurs adorables petits chapeaux et leurs petites voiturettes mignonnes! Il est temps de récupérer les terrains de golf des riches et de les donner aux pauvres! Le golf est un jeu arrogant, élitiste, prenant beaucoup trop de place dans ce pays. Beaucoup trop de place dans ce pays! C'est un jeu arrogant par le principe même, la simple conception du jeu est toute arrogance. Pensez à la taille d'un terrain de golf — la balle a cette putain de taille! Pour quoi tout ces connards débiles ont-ils besoin de tant de terrain?! Il y a plus de dix-sept mille terrains de golf en Amérique, d'en moyenne plus de cent cinquante acres pièce — c'est plus de trois millions d'acres, quatre mille huit cent vingt miles carrés — on pourrait construire deux Rhode Islands et un Delaware pour les sans-abris sur ces terres actuellement gâchées par ce jeu débile, sans aucun sens, arrogant, élitiste — raciste, en voila une autre chose ; les seuls noirs aperçus au country club servent les plats. Et un jeu chiant, un jeu chiant pour des gens chiants. Vous avez déjà vu le golf à la télé? C'est comme regarder des mouches s'enculer! Et débile, complétement débile. Imaginez l’intellect nécessaire pour tirer plaisir de cette activité : taper dans une balle — avec un bâton tordu — et puis … marcher pour la retrouver! Et après, la taper de nouveau! Je dis, t'as qu'a la ramasser connard, t'as bien eu la chance de la retrouver! Mets-la dans ta poche et rentre chez toi, t'as gagné, tu l'as retrouvée! Mais non! Ducon avec sa culotte écossaise va la taper de nouveau et marcher encore! Ces salauds de riches n'ont qu'a jouer au golf miniature! Laissez les s'emmerder avec un moulin à vent pendant une bonne heure et demie! Voyons s'il y a vraiment du talent parmi ces gens. Bon, je sais qu'il y a des gens qui jouent au golf et qui ne se considèrent pas riches. Je les emmerde! Et ils devraient avoir honte de pratiquer un passe-temps aussi élitiste et arrogant.”

George Carlin (1937–2008) humoriste américain

Jammin' in New York (Improvisation à New York), 1992

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“Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille. Enfin, le plus tard possible, mais on peut. Ah c'est super. Quel pied, ah quel pied! Oh putain! Olalala!”

Thierry Roland (1937–2012) journaliste sportif français, commentateur de matchs de football

Cette phrase fut prononcée lors de la finale de la coupe du monde 1998 qui a vu la France devenir championne du monde pour la première fois.
Commentaires de matches de football télévisés, Sur TF1

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“L'unique différence entre une épouse et une putain, c'est que la première grâce à des conditions de vie plus agréables, est capable d'extorquer à l'homme un contrat pour la vie.”

François de Closets (1933) journaliste et auteur français

Propos prêtés à Albert Einstein dans une lettre à Mileva Maric sa première épouse en 1901.
Ne dites pas à Dieu ce qu'il doit faire, 2004

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“Personnellement, je ne crois pas qu'il y ait un paradis. Je pense qu'il y a peut-être un Dieu, mais pas de Paradis. […] Tu meurs, et tu te retrouve devant Dieu et tu dis « Hé Dieu, c'est où le Paradis? », et il répond un truc du genre : « Putain, je sais pas qui c'est qui fait croire ça aux gens! Qu'est-ce que je suis supposé faire, moi? Je vous ai créé un univers et je devrait en plus vous faire un endroit génial pour après? Vous êtes vraiment des connards avides là-bas en bas! » « Bon, ben je vais où alors? » « Reste là, debout dans cette pièce avec moi. » « Mais c'est nul ici. » « M'en parle pas! Je suis coincé ici depuis 1983. » Ou un autre moment. Je sais pas quand Dieu a commencé…”

Louis C.K. (1967) acteur et humoriste américain

Personally, I don’t think there’s a Heaven. I think maybe there’s a God, but there’s no Heaven. I think that’s the best news you’re gonna get. You die, and you’re like, “Hey God!” And he’s like, “Yep?” And you’re like, “Where’s Heaven?” And he’s like, “I don’t know who’s telling people that! I’m supposed to make a universe and then another whole amazing place for afterwards?! You guys are greedy dicks down there!” “Well, where do I go?” “Just stand in this room with me now.” “I don’t like it.” “Tell me about it! I’ve been here since 1983.” Or whenever. I don’t know when God started…
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Saturday Night Live (2014)

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“Les putains sont des fontaines dans lesquelles les hommes jettent des pièces de monnaie en faisant un vœu.”

Andrew Coburn (1932–2018) écrivain américain

Des voix dans les ténèbres, 1994

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“L'économie est devenue le succube de l'homme. Toute notre vie est déterminée par l'économie. Je pense que la grande bataille de notre avenir sera la bataille contre l'économie qui domine nos vies, la bataille pour le retour à une forme de spiritualité - qu'on peut appeler religiosité, si l'on veut - à laquelle on puisse s'adresser. Car c'est une constante dans l'histoire de l'humanité, ce désir de savoir ce qu'on est venu faire sur Terre.
Il nous faut de nouveaux modèles de développement. Pas seulement la croissance, mais également la parcimonie. Tu vois, Folco, je dis, moi, qu'il faut se libérer des désirs. Mais, précisément à cause du système pervers de notre société de consommation, notre vie est entièrement axée autour des jeux, du sport, de la nourriture, des plaisirs. La question est de savoir comment sortir de ce cercle vicieux : petit à petit, l'oiseau fait son nid. Mais, putain, ce système nous impose des comportements qui sont complètement absurdes. On ne veut pas certaines choses, mais le système de la société de consommation nous séduit et nous convainc de désirer ces choses-là. Toute notre vie dépend de ce mécanisme. Il suffit pourtant de décider de ne pas participer à ce système en résistant, en jeûnant; alors, c'est comme si on utilisait la non-violence contre la violence. Finalement, à quoi bon toute cette violence? Ils ne vont tout de même pas nous les enfourner dans la gueule, leurs trucs!
Ce qu'il faut, c'est un effort spirituel profond, une réflexion profonde, un réveil profond. Ce qui, du reste, a quelque chose à voir avec la vérité, dont plus personne ne se soucie. Et là, une fois de plus, Gandhi était extraordinaire. Il cherchait la vérité, ce qui est derrière tout. "Avant, je croyais que Dieu était la vérité. Maintenant, je dirais que la vérité est Dieu." (p. 459-460)”

La fine è il mio inizio

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Cette traduction est en attente de révision. Est-ce correct?
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