
Les Enjeux de la liberté, 1991
Une collection de citations sur le thème de nationalisme, bien-être, tout, hommes.
Les Enjeux de la liberté, 1991
“Le nationalisme social s’ancre dangereusement dans notre pays…”
De surprises en subprimes, 2008
Qu'est-ce que le fascisme ?, 1962
“La réalité historique de l'apogée du nationalisme français, c'est la guerre de 14.”
Discours, Politique européenne
Sur la propagande politique
Déclaration de Louis Aragon à « La Clarté » en juillet 1925 en réaction à la guerre du Maroc
“Le patriotisme, c'est l'amour des siens. Le nationalisme, c'est la haine des autres.”
Éducation européenne, 1945
Fausse présence au monde moderne, 1963
Manuel de survie en territoire zéro. Le Théâtre des opérations 1, 1999
La France parlementaire, 1864
Romans, La Nuit des temps, 1968
“Tout nationalisme est, sur le plan métaphysique, un anthropologiste et comme tel un subjectivisme.”
, 1946
The Transfiguration of Man
Variante: [... ] Dans cette question des limites de fait ou de droit du sentiment patriotique, il convient de rappeler tout d’abord qu’il y a patrie et patrie : il y a celle de la terre et celle du Ciel; la seconde est prototype et mesure de la première, elle lui donne son sens et sa légitimité. C’est ainsi que dans l’enseignement évangélique l’amour de Dieu prime, et peut par conséquent contredire, l’amour des proches parents, sans qu’il y ait là aucune offense à la charité; la créature doit d’ailleurs être aimée « en Dieu », c’est à dire que l’amour ne lui appartient jamais en entier. Le Christ ne s’est soucié que de la Patrie céleste, qui « n’est pas de ce monde »; c’est suffisant, non pour renier le fait naturel d’une patrie terrestre, mais pour s’abstenir de tout culte abusif – et avant tout illogique – du pays d’origine. Si le Christ a désavoué les attachements temporels, il n’en a pas moins admis les droits de la nature, dans le domaine qui est le leur, droits éminemment relatifs qu’il ne s’agit pas d’ériger en idoles; c’est ce que saint Augustin a magistralement traité, sous un certain rapport tout au moins, dans Civitas Dei. Le patriotisme normal est à la fois déterminé et limité par les valeurs éternelles; « il ne s’enfle point » et ne pervertit pas l’esprit; il n’est pas, comme le chauvinisme, l’oubli officiel de l’humilité et de la charité en même temps que l’anesthésie de toute une partie de l’intelligence; restant dans ses limites, il est capable de susciter les plus belles vertus, sans être un parasite de la religion.
Il faut se garder des interprétations abusives du passé historique; l’œuvre de Jeanne d’Arc n’a rien à voir avec le nationalisme moderne, d’autant que la sainte à suivi l’impulsion, non point d’un nationalisme naturel – ce qui eût été légitime – mais celle d’une volonté céleste, qui voyait loin. La France fut pendant des siècles le pivot du Catholicisme; une France anglaise eût signifié en fin de compte une Europe protestante et la fin de l’Eglise catholique; c’est ce que voulurent prévenir les « voix ». L’absence de toute passion, chez Jeanne, ses paroles sereines à l’égard des Anglais, corroborent pleinement ce que nous venons de dire et devrait suffire pour mettre la sainte à l’abri de toute imposture rétrospective (1). [... ]
1 – De même, l’étendard de Jeanne fut tout autre chose qu’un drapeau révolutionnaire unissant, dans un même culte profane, croyants et incroyants.
"Usurpations du sentiment religieux", Études Traditionnelles, décembre 1965.
“N'est-ce pas la vertu première du nationalisme que de trouver un coupable plutôt qu'une solution?”
In the Name of Identity: Violence and the Need to Belong
“Le nationalisme c'est la guerre. Je viens d'une région qui est pleine de ses cimetières.”
Ouvrages, Nationalism and Social Communication: An Inquiry into the Foundations of Nationality, 1953