Citations sur encontre

Une collection de citations sur le thème de encontre, tout, faire, bien-être.

Citations sur encontre

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“La vie ne pardonne aucune faiblesse. Éprouver de la pitié pour les faibles va à l'encontre de la loi de la nature!”

Adolf Hitler (1889–1945) homme d'État allemand né en Autriche

Propos rapporté à 1h 13min
La chute, 2004

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“Les sondages d'opinion suggèrent que seule une petite minorité (13 pourcents) des américains sont favorables à la proposition suivante : [en tant que seule superpuissance restante, les USA devraient continuer à être des leaders mondiaux prééminents dans la résolution des problèmes internationaux]. […] L'Amérique devenant une société de plus en plus multiculturelle, il risque d'être plus difficile de façonner un consensus en terme de politique internationale, sauf dans le cas de la perception d'une menace extérieure directe et massive. […] Plus généralement, le changement culturel en Amérique peut être aussi réticent à un exercice soutenu à l'étranger d'un pouvoir authentiquement impérial. Cet exercice requière un haut degré de motivation doctrinale, d'engagement intellectuel, et de gratification patriotique. […] Les communications de masse ou joué un rôle particulièrement important à cet égard, générant une forte révulsion à l'encontre de toute utilisation sélective de la force qui entraine même un niveau faible de pertes humaines. […] En bref, les buts des politiques américaines doivent être sans scrupules et doubles : perpétuer la position dominante américaine pour au moins une génération et si possible plus longtemps.”

Zbigniew Brzezinski (1928–2017) politologue américain

Public opinion polls suggest that only a small minority (13 percent) of Americans favor the proposition that 'as the sole remaining superpower, the US should continue to be the preeminent world leader in solving international problems'. [...] As America becomes an increasingly multicultural society, it may find it more difficult to fashion a consensus on foreign policy issues, except in the circumstance of a truly massive and widely perceived direct external threat. [...] More generally, cultural change in America may also be uncongenial to the sustained exercise abroad of genuinely imperial power. That exercise requires a high degree of doctrinal motivation, intellectual commitment, and patriotic gratification. [...] Mass communications have been playing a particularly important role in that regard, generating a strong revulsion against any selective use of force that entails even low levels of casualties [...] In brief, the U.S. Policy goals must be un-apologetically twofold: to perpetuate America's own dominant position for at least a generation and preferably longer
en
Le Grand Echiquier - 1997

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“Maintes histoires koraniques nous proposent, avec plus d'insistance encore que la Bible, le schéma suivant : les prophètes prêchent et les peuples rejettent le message; Dieu les punit pour ce rejet; et Il récompense les hommes qui croient.

L'objection des agnostique et autres sceptique est des plus faciles : les peuples sont psychologiquement excusables de ne pas accepter les Messages; les païens arabes avaient humainement et traditionnellement le droit de croire à la réalité de leurs divinités et à l'efficacité de leurs idoles; ils n'avaient pas de motif de croire le prophète à l'encontre de leurs traditions et de leurs moeurs. […] l'excuse des moderne, - facile de la part de gens qui ne croient à rien et à qui la nature plénière de l'homme échappe, - cette excuse disons-nous, ne tient pas compte du facteur suivant : si les Mecquois et les Bédouins dans leur majorité tenaient obstinément à leur coutumes, ce fut, non a priori pour des raison sincères et logiques, mais fondamentalement parce que leur soi-disant religion, qui ne leur enseignait même pas les vérités eschatologiques indispensables, au contraire flattait leur attachement passioné à l'ici bas et leur amour désordonné et même exclusif des biens terrestres(*).

* "Quand Nos versets (le Koran) sont récitées devant lui (le païen arabe), il dit : conte des anciens!" (Sourate du Calame, 15) Cette information, que le Koran fournit à plusieurs reprises, prouve que la religion des Arabe païens fut une hérésie à l'égard de leur propres traditions, que les païens rejetaient, précisément, comme étant des "conte des anciens" (el-awwalîn = "des primordiaux"). De nombreux passage du Koran indiquent également que ces Arabes ne croyaient ni à l'immortalité de l'âme ni à la résurrection, alors que leurs ancêtre y croyaient.”

Frithjof Schuon (1907–1998) métaphysicien, théologien et philosophe suisse

From the Divine to the Human: A New Translation with Selected Letters

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“Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai compris qu'en toutes circonstances,
J’étais à la bonne place, au bon moment.
Et alors, j'ai pu me relaxer.
Aujourd'hui je sais que cela s'appelle…
l'Estime de soi.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle
N’étaient rien d'autre qu'un signal
Lorsque je vais à l'encontre de mes convictions.
Aujourd'hui je sais que cela s'appelle… l'Authenticité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J'ai cessé de vouloir une vie différente
Et j'ai commencé à voir que tout ce qui m'arrive
Contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle… la Maturité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai commencé à percevoir l'abus
Dans le fait de forcer une situation ou une personne,
Dans le seul but d'obtenir ce que je veux,
Sachant très bien que ni la personne ni moi-même
Ne sommes prêts et que ce n'est pas le moment…
Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle… le Respect.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai commencé à me libérer de tout ce qui n'était pas salutaire, personnes,
situations, tout ce qui baissait mon énergie.
Au début, ma raison appelait cela de l'égoïsme.
Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle… l'Amour propre.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai cessé d'avoir peur du temps libre
Et j'ai arrêté de faire de grands plans,
J’ai abandonné les méga-projets du futur.
Aujourd'hui, je fais ce qui est correct, ce que j'aime
Quand cela me plait et à mon rythme.
Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle… la Simplicité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai cessé de chercher à avoir toujours raison,
Et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.

Aujourd'hui, j'ai découvert… l'Humilité.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai cessé de revivre le passé
Et de me préoccuper de l'avenir.

Aujourd'hui, je vis au présent,
Là où toute la vie se passe.
Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois.
Et cela s'appelle… la Plénitude.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.
Mais si je la mets au service de mon coeur,
Elle devient une alliée très précieuse!
Tout ceci, c'est… le Savoir vivre.

Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter.

Du chaos naissent les étoiles.”

Charlie Chaplin (1889–1977) acteur britannique
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“L’état humain — ou tout autre état « central » analogue — est comme entouré d’un cercle de feu : il n’y a là qu’un choix, ou bien échapper au « courant des formes » par le haut, en direction de Dieu, ou bien sortir de l’humanité par le bas, à travers le feu, lequel est comme la sanction de la trahison de ceux qui n’ont pas réalisé le sens divin de la condition humaine; si « la condition humaine est difficile à atteindre», comme l’estiment les Asiates « transmigrationnistes », elle est également difficile à quitter, pour la même raison de position centrale et de majesté théomorphe. Les hommes vont au feu parce qu’ils sont des dieux, et ils en sortent parce qu’ils ne sont que des créatures; Dieu seul pourrait aller éternellement en enfer s’il pouvait pécher. Ou encore : l’état humain est tout près du Soleil divin, s’il est possible de parler ici de « proximité »; le feu est la rançon éventuelle — à rebours — de cette situation privilégiée; on peut mesurer celle-ci à l’intensité et à l’inextin-guibilité du feu. Il faut conclure de la gravité de l’enfer à la grandeur de l’homme, et non pas, inversement, de l’apparente innocence de l’homme à l’injustice supposée de l’enfer.

[…] Bien des hommes de notre temps tiennent en somme le langage suivant : « Dieu existe ou il n ’existe pas; s’il existe et s’il est ce qu’on dit, il reconnaîtra que nous sommes bons et que nous ne méritons aucun châtiment »; c’est-a-dire qu’ils veulent bien croire à son existence s’il est conforme à ce qu’ils s’imaginent et s’il reconnaît la valeur qu’ils s’attribuent à eux-mêmes. C’est oublier, d’une part, que nous ne pouvons connaître les mesures avec lesquelles l’Absolu nous juge, et d’autre part, que le « feu » d’outre-tombe n’est rien d ’autre, en définitive, que notre propre intellect qui s’actualise à l'encontre de notre fausseté, ou en d’autres termes, qu’il est la vérité immanente qui éclate au grand jour. A la mort, l’homme est confronté avec l’espace inouï d’une réalité, non plus fragmentaire, mais totale, puis avec la norme de ce qu’il a prétendu être, puisque cette norme fait partie du Réel; l’homme se condamne donc lui-même, ce sont — d’après le Koran — ses membres mêmes qui l’accusent; ses violations, une fois le mensonge dépassé, le transforment en flammes; la nature déséquilibrée et faussée, avec toute sa vaine assurance, est une tunique de Nessus. L’homme ne brûle pas que pour ses péchés; il brûle pour sa majesté d’image de Dieu. C’est le parti pris d’ériger la déchéance en norme et l’ignorance en gage d’impunité que le Koran stigmatise avec véhémence — on pourrait presque dire : par anticipation — en confrontant l’assurance de ses contradicteur avec les affres de la fin du monde (1).
En résumé, tout le problème de la culpabilité se réduit au rapport de la cause à l’effet. Que l’homme soit loin d'être bon, l’histoire ancienne et récente le prouve surabondamment, l’homme n’a pas l’innocence de l’animal, il a conscience de son imperfection, puisqu’il en possède la notion; donc il est responsable. Ce qu’on appelle en terminologie morale la faute de l’homme et le châtiment de Dieu, n’est rien d ’autre, en soi, que le heurt du déséquilibre humain avec l’Equilibre immanent; cette notion est capitale. […]

(1) C'est la même un des thèmes les plus instamment répétés de ce livre sacré, qui marque parfois son caractère d'ultime message par une éloquence presque désespérée.”

Understanding Islam

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