Citations sur majeure

Une collection de citations sur le thème de majeure, partie, part, deux.

Citations sur majeure

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“J'ai été profondément choquée. Ma phrase a été manipulée. Quand j'entends Nicolas Sarkozy dire 'La France n'est pas une race', je n'ai jamais dit ça, ça me choque. Lui qui avait pourtant une liberté d'expression… Je crois qu'il fait une faute politique majeure que de dire ça et de ne pas laisser vivre le débat.”

Nadine Morano (1963) personnalité politique française

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La France, «pays judéo-chrétien de race blanche» septembre 2015, Commentaires et réactions de Nadine Morano pour ses propos sur "la France de race blanche"

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“On n'a pas le moindre contact avec la majeure partie de l'étendue du temps.”

Raphaël Aloysius Lafferty (1914–2002) écrivain américain

Annales de Klepsis ,1983

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“Le fondement du « subjectivisme logique » des croyants est dans ce que nous pourrions appeler le « solipsisme religieux »; et celui-ci est inévitable pour deux raisons majeures. Premièrement, tout Message religieux est un Message d'Absolu; ce caractère d’Absolu pénètre tout le Message et lui confère sa qualité d’unicité. Dieu parle pour l'Intérieur et ne se préoccupe pas de l’extérieur en tant que tel; Il proclame « la Religion » sous une forme adaptée à telles possibilités humaines; Il ne fait pas de « religion comparée ». Deuxièmement, l'homme moyen n’est pas disposé à saisir ce caractère d'Absolu si on ne le lui suggère pas par l'unicité de l'expression; et Dieu n'entend pas compromettre cette compréhension par des précisions soulignant l'aspect extérieur de rela­tivité, donc étrangères à ce qui est la raison d'être du Message. Mais ceci ne saurait lier l'ésotérisme : d’une part parce qu'il n'est pas un Message religieux et qu’il relève de l’Intellect plutôt que de la Révélation, et d’autre part parce qu’il s'adresse à des hommes qui n'ont pas besoin d'une suggestion d'unicité et d'exclusivité, sur le plan de l'expression, pour saisir le caractère d’Absolu dans les énonciations sacrées.

Tout ceci est propre à faire comprendre que nous sommes aussi loin que possible d'approuver un « œcumé­nisme » gratuit et sentimentaliste, qui ne distingue pas entre la vérité et l'erreur et dont le résultat est l’indiffé­rence religieuse et le culte de l'homme. Ce qu'il s’agit d’entendre en réalité, c’est que la présence indéniable de la vérité transcendante, du sacré et du surnaturel sous des formes autres que celle de notre religion d’ori­gine, devrait nous amener, non le moins du monde à mettre en doute le caractère d’Absolu propre à notre religion, mais simplement à admettre l'inhérence de l’Absolu à un symbolisme doctrinal et sacramentel qui par définition le manifeste et le communique, mais qui également par définition — puisqu’il est d’ordre formel — est relatif et limité malgré son allure d’unicité. Allure nécessaire, nous l’avons dit, en tant que témoignage de l’Absolu, mais simplement indicative au point de vue de l’Absolu en soi, lequel se manifeste nécessairement par l’unicité et tout aussi nécessairement — en vertu de son Infinitude — par la diversité des formes. […]

Les divergences religieuses nous font penser aux contradictions entre les visions des mystiques, bien qu’il n’y ait là aucune commune mesure, sauf qu’il y a dans les deux cas une vérité intrinsèque sous-jacente : tel mystique brosse du purgatoire un tableau plutôt désespérant, tel autre insiste sur une joie d’espérance qui y règne, chaque perspective se trouvant appuyée par une imagerie qui la concrétise; le symbolisme se combine avec un frag-mentarisme isolant et un sentimentalisme biaisant. Comme dans le cas des religions, les contradictions formelles des imageries mystiques n’infirment pas la vérité intégrale dont elles rehaussent des aspects en fonction de telle perspective de crainte ou d’amour; mais nous n’avons pas besoin ici de recourir à l’ésotérisme pour dégager la vérité; la théologie y pourvoit en distinguant d’emblée entre les contenus de la croyance, suivant qu’ils sont nécessaires ou recommandés, ou simplement possibles.”

Frithjof Schuon (1907–1998) métaphysicien, théologien et philosophe suisse

From The Divine To The Human: Survey Of Metaphysics And Epistemology

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“Chacun mène sa guerre sainte comme il l’entend. Si Faten est quelque part, inutile d’essayer de la rattraper. Elle est majeure et parfaitement libre de faire ce qu’elle veut de sa vie. Et de sa mort. Il n’y a pas deux poids et deux mesures, docteur.”

Yasmina Khadra (1955) écrivain algérien

Quand on accepte de prendre les armes, on doit accepter que les autres en fassent autant. Chacun a droit à sa part de gloire. On ne choisit pas son destin, mais c’est bien de choisir sa fin. C’est une façon démocratique de dire merde à la fatalité.
L’Attentat, 2005

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“Ceci est le premier degré de la sagesse sociologique : reconnaître que les avancées majeures de la civilisation sont des processus qui engloutissent presque les sociétés dans lesquelles ils se produisent — comme une flèche dans la main d’un enfant.”

Alfred North Whitehead (1861–1947) mathématicien, logicien et philosophe britannique

It is the first step in sociological wisdom, to recognize that the major advances in civilization are processes which all but wreck the societies in which they occur:— like unto an arrow in the hand of a child.
en
Symbolism: its meaning and effect, 1927