Works
Les Fleurs du mal
Charles BaudelaireLe Spleen de Paris
Charles BaudelaireLe Peintre de la vie moderne
Charles BaudelaireLa Fanfarlo
Charles BaudelaireLes Paradis artificiels
Charles BaudelaireLe Gouffre
Charles BaudelaireThéophile Gautier
Charles BaudelaireLa Géante
Charles BaudelaireRichard Wagner and Tannhäuser in Paris
Charles BaudelaireFamous Charles Baudelaire Quotes
“Do not look for my heart any more; the beasts have eaten it.”
Ne cherchez plus mon cœur; des monstres l’ont mangé.
"Causerie" [Conversation] http://fr.wikisource.org/wiki/Les_Fleurs_du_mal/1857/Causerie
Les fleurs du mal (Flowers of Evil) (1857)
Source: Les Fleurs du Mal
Charles Baudelaire Quotes about beauty
“I can barely conceive of a type of beauty in which there is no Melancholy.”
Variant: I can barely conceive a type of beauty in which there is no melancholy.
“The study of beauty is a duel in which the artist cries out in terror before being defeated.”
L'étude du beau est un duel où l'artiste crie de frayeur avant d'être vaincu.
III: "Le Confiteor de l'artiste" http://fr.wikisource.org/wiki/Petits_Po%C3%A8mes_en_prose_-_III._Le_Confiteor_de_l%27artiste
Le Spleen de Paris (1862)
Source: Twenty Prose Poems
Charles Baudelaire Quotes about love
“the Devil's hand directs our every move - / the things we loathed become the things we love”
Source: Les Fleurs du Mal
Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l’archer ;
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l’empêchent de marcher.
"L’Albatros" [The Albatross] (translated by James McGowan, Oxford University Press, 1993) http://fr.wikisource.org/wiki/L%E2%80%99Albatros
Les fleurs du mal (Flowers of Evil) (1857)
Source: Les Fleurs Du Mal
“Unable to do away with love, the Church found a way to decontaminate it by creating marriage.”
Ne pouvant supprimer l'amour, l'Église a voulu au moins le désinfecter, et elle a fait le mariage.
Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Mon cœur mis à nu (1864)
“The act of love strongly resembles torture or surgery.”
L’amour ressemblait fort à une torture ou à une opération chirurgicale.
III http://fr.wikisource.org/wiki/Fus%C3%A9es#III
Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Fusées (1867)
Charles Baudelaire: Trending quotes
“Ant-swarming city, city abounding in dreams,
Where ghosts in broad daylight accost the passerby!”
Fourmillante cité, cité pleine de rêves,
Où le spectre en plein jour raccroche le passant!
"Les Sept Vieillards" [The Seven Old Men] http://fr.wikisource.org/wiki/Les_sept_vieillards
Les fleurs du mal (Flowers of Evil) (1857)
Il y a dans le mot, dans le verbe, quelque chose de sacré qui nous défend d'en faire un jeu de hasard. Manier savamment une langue, c'est pratiquer une espèce de sorcellerie évocatoire.
XIV: "Théophile Gautier" http://fr.wikisource.org/wiki/Th%C3%A9ophile_Gautier_%28L%E2%80%99Art_romantique%29, as translated in The Idea of Poetry in France : From Houdar de La Motte to Baudelaire (1958) by Margaret Gilman, p. 263
Variant translations:
There exists in the word, in the verb, something sacred which prohibits us from viewing it as a mere game of chance. To manipulate language with wisdom is to practice a kind of evocative sorcery.
As quoted in Poetry of Grammar and Grammar of Poetry (1981) by Walter de Gruyter
There is in a word, in a verb, something sacred which forbids us from using it recklessly. To handle a language skillfully is to practice a kind of evocative sorcery.
There is in a word, in a verb, something sacred which forbids us from using it recklessly. To handle a language cunningly is to practice a kind of evocative sorcery.
L'art romantique (1869)
Charles Baudelaire Quotes
Il faut travailler, sinon par goût, au moins par désespoir, puisque, tout bien vérifié, travailler est moins ennuyeux que s'amuser.
Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Mon cœur mis à nu (1864)
“Genius is nothing more nor less than childhood recaptured at will.”
Le peintre de la vie moderne (1863), III: “L’artiste, homme du monde, homme des foules et enfant”
Variant: Genius is nothing but youth recaptured.
Source: The Painter of Modern Life and Other Essays
“I am a cemetery loathed by the moon.”
Je suis un cimetière abhorré de la lune.
"Spleen (II)" http://fr.wikisource.org/wiki/Spleen_%282%29
Les fleurs du mal (Flowers of Evil) (1857)
Source: Paris Spleen
IX: "Le Mauvais Vitrier" http://fr.wikisource.org/wiki/Petits_Po%C3%A8mes_en_prose_-_IX._Le_Mauvais_Vitrier
(fr) Mais qu'importe l'éternité de la damnation à qui a trouvé dans une seconde l'infini de la jouissance?
Le spleen de Paris (1862)
Variant: What matters an eternity of damnation to someone who has found in one second the infinity of joy?
Source: Paris Spleen
“Evil happens without effort, naturally, inevitably; good is always the product of skill.”
Le mal se fait sans effort, naturellement, par fatalité; le bien est toujours le produit d'un art.
XI: "Éloge du maquillage" http://fr.wikisource.org/wiki/%C3%89loge_du_maquillage
Le peintre de la vie moderne (1863)
Source: The Painter Of Modern Life And Other Essays
“Hypocrite reader — my likeness — my brother!”
Hypocrite lecteur, — mon semblable, — mon frère!
"Au Lecteur" [To the Reader] http://fr.wikisource.org/wiki/Au_lecteur_%28Les_Fleurs_du_mal%29
Les fleurs du mal (Flowers of Evil) (1857)
“This life is a hospital where each patient is possessed by the desire to change his bed.”
Cette vie est un hôpital où chaque malade est possédé du désir de changer de lit.
XLVIII: "Anywhere out of the world" http://fr.wikisource.org/wiki/Anywhere_out_of_the_world
Le Spleen de Paris (1862)
Source: On Wine and Hashish
Source: Paris Spleen
L'observateur est un prince qui jouit partout de son incognito. L'amateur de la vie fait du monde sa famille, comme l'amateur du beau sexe compose sa famille de toutes les beautés trouvées, trouvables et introuvables; comme l'amateur de tableaux vit dans une société enchantée de rêves peints sur toile.
III: "L'artiste, homme du monde, homme des foules et enfant"
Le peintre de la vie moderne (1863)
Il y a dans tout homme, à toute heure, deux postulations simultanées, l'une vers Dieu, l'autre vers Satan.
Journaux intimes (1864–1867; published 1887), Mon cœur mis à nu (1864)