Citations sur cadeau

Une collection de citations sur le thème de cadeau, bien-être, pluie, tout.

Citations sur cadeau

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“Il est absurde de parler de cadeaux faits aux patrons, ce langage n'a aucun sens. Une mesure favorable aux entreprises est favorable au pays tout entier.”

Manuel Valls (1962) homme politique français

Manuel Valls à l'ouverture de l'université d'été du Medef à Jouy-en-Josas
Ouverture économique opérée par le deuxième gouvernement Valls

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“« Si pour un instant Dieu oubliait que je suis une marionnette de chiffon et m'offrait un morceau de vie, je profiterais de ce temps du mieux que je pourrais.

Sans doute je ne dirais pas tout ce que je pense, mais je penserais tout ce que je dirais.

Je donnerais du prix aux choses, non pour ce qu'elles valent, mais pour ce qu'elles représentent.

Je dormirais peu, je rêverais plus, sachant qu'en fermant les yeux, à chaque minute nous perdons 60 secondes de lumière.

Je marcherais quand les autres s'arrêteraient, je me réveillerais quand les autres dormiraient.

Si Dieu me faisait cadeau d'un morceau de vie, je m'habillerai simplement, je me coucherais à plat ventre au soleil, laissant à découvert pas seulement mon corps, mais aussi mon âme.

Aux hommes, je montrerais comment ils se trompent, quand ils pensent qu'ils cessent d'être amoureux parce qu'ils vieillissent, sans savoir qu'ils vieillissent quand ils cessent d'être amoureux! A l'enfant je donnerais des ailes mais je le laisserais apprendre à voler tout seul.

Au vieillard je dirais que la mort ne vient pas avec la vieillesse mais seulement avec l'oubli.

J'ai appris tant de choses de vous les hommes… J'ai appris que tout le monde veut vivre en haut de la montagne, sans savoir que le vrai bonheur se trouve dans la manière d'y arriver.

J'ai appris que lorsqu'un nouveau-né serre pour la première fois, le doigt de son père, avec son petit poing, il le tient pour toujours.

J'ai appris qu'un homme doit uniquement baisser le regard pour aider un de ses semblables à se relever.

J'ai appris tant de choses de vous, mais à la vérité cela ne me servira pas à grand chose, si cela devait rester en moi, c'est que malheureusement je serais en train de mourir.

Dis toujours ce que tu ressens et fais toujours ce que tu penses.

Si je savais que c'est peut être aujourd'hui la dernière fois que je te vois dormir, je t'embrasserais très fort et je prierais pour pouvoir être le gardien de ton âme.

Si je savais que ce sont les derniers moments où je te vois, je te dirais 'je t'aime' sans stupidement penser que tu le sais déjà.

Il y a toujours un lendemain et la vie nous donne souvent une autre possibilité pour faire les choses bien, mais au cas où elle se tromperait et c'est, si c'est tout ce qui nous reste, je voudrais te dire combien je t'aime, que jamais je ne t'oublierais.

Le lendemain n'est sûr pour personne, ni pour les jeunes ni pour les vieux.

C'est peut être aujourd'hui que tu vois pour la dernière fois ceux que tu aimes. Pour cela, n'attends pas, ne perds pas de temps, fais-le aujourd'hui, car peut être demain ne viendra jamais, tu regretteras toujours de n'avoir pas pris le temps pour un sourire, une embrassade, un baiser parce que tu étais trop occupé pour accéder à un de leur dernier désir.

Garde ceux que tu aimes près de toi, dis-leur à l'oreille combien tu as besoin d'eux, aime les et traite les bien, prends le temps pour leur dire 'je regrette' 'pardonne-moi' 's'il te plait' 'merci' et tous les mots d'amour que tu connais.

Personne ne se souviendra de toi pour tes pensées secrètes. Demande la force et la sagesse pour les exprimer.

Dis à tes amis et à ceux que tu aimes combien ils sont importants pour toi.

Monsieur Márquez a terminé, disant : Envoie cette lettre à tous ceux que tu aimes, si tu ne le fais pas, demain sera comme aujourd'hui. Et si tu ne le fais pas cela n'a pas d'importance. Le moment sera passé.

Je vous dis au revoir avec beaucoup de tendresse »”

Gabriel García Márquez (1927–2014) écrivain colombien
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“Quand deux religions doivent se côtoyer, comme dans l'Inde, ou comme en Palestine au temps des croisades, il se produit deux choses : d'une part un raidissement du côté de la religion formelle, et d'autre part un assouplissement et une certaine interpénétration du côté de la spiritualité; il est vrai que les religions se côtoyent partout, mais nous avons en vue des cas où l'antagonisme est virulent, et non émoussé par l'habitude et l'indifférence.

Une vérité cruciale qui se dégage de ces côtoiements et de ces réciprocités est la suivante : dès lors que l'homme a saisi la validité d'une religion autre que la sienne -- et cette compréhension est fonction de l'expérience concrète autant que de l'intuition intellectuelle -- Dieu ne peut pas ne pas tenir compte de l'élargissement de la perspective spirituelle de cet homme, ni de la conscience qu'aura cet homme de la relativité des formes en tant que telles; Dieu n'aura donc absolument pas les mêmes exigences qu'il a vis-à-vis des croyants totalement enfermés dans le système formel de leur religion, mais il aura en même temps de nouvelles exigences. La connaissance n'est pas un cadeau qui n'engage à rien, car toute science a son prix, le "moins" du côté de la religion formelle doit être compensé par un "plus" du côté de la religion informelle, laquelle coïncide avec la sophia perennis.”

Frithjof Schuon (1907–1998) métaphysicien, théologien et philosophe suisse

Approches du phénomène religieux

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