Citations sur reporter

Une collection de citations sur le thème de reporter, pluie, tout, bien-être.

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“Je ne me vois absolument pas comme un journaliste. Je suis un comédien de bout en bout. Vous pouvez m'ouvrir le bide et compter les lignes de blagues. Si les gens apprennent quelque chose en regardant [The Colbert Report], c'est un dommage collatéral.”

Stephen Colbert (1964) humoriste, satiriste et animateur de télévision américain

I don't perceive my role as a newsman at all. I'm a comedian from stem to stern. You can cut me open and count the rings of jokes. If people learn something about the news by watching the show, that is incidental to my goal.
en

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“Le langage a toujours été important en politique, mais il l'est d'autant plus dans la lutte politique actuelle. Parce que si vous décrétez que l'information ne veut rien dire, il n'y a plus de réalité objective. Dans le premier épisode [du Colbert Report] qu'on a fait il y a un an, ça a été notre thèse principale : ce que vous voulez être vrai doit être la seule chose qui importe. Bien sûr, à l'époque, on pensait que c'était une blague.”

Stephen Colbert (1964) humoriste, satiriste et animateur de télévision américain

Language has always been important in politics, but language is incredibly important to the present political struggle. Because if you can establish an atmosphere in which information doesn't mean anything, then there is no objective reality. The first show we did, a year ago, was our thesis statement: What you wish to be true is all that matters, regardless of the facts. Of course, at the time, we thought we were being farcical.
en
À propos de « truthiness »

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“Or, toute religion n'est que le reflet fantastique, dans le cerveau des hommes, des puissances extérieures qui dominent leur existence quotidienne, reflet dans lequel les puissances terrestres prennent la forme de puissances supra-terrestres. Dans les débuts de l'histoire, ce sont d'abord les puissances de la nature qui sont sujettes à ce reflet et qui dans la suite du développement passent, chez les différents peuples, par les personnifications les plus diverses et les plus variées. […] Mais bientôt, à côté des puissances naturelles, entrent en action aussi des puissances sociales, puissances qui se dressent en face des hommes, tout aussi étrangères et au début, tout aussi inexplicables, et les dominent avec la même apparence de nécessité naturelle que les forces de la nature elles-mêmes. Les personnages fantastiques dans lesquels ne se reflétaient au début que les forces mystérieuses de la nature reçoivent par là des attributs sociaux, deviennent les représentants de puissances historiques. A un stade plus avancé encore de l'évolution, l'ensemble des attributs naturels et sociaux des dieux nombreux est reporté sur un seul dieu tout-puissant, qui n'est lui-même à son tour que le reflet de l'homme abstrait. C'est ainsi qu'est né le monothéisme, qui fut dans l'histoire le dernier produit de la philosophie grecque vulgaire à son déclin et trouva son incarnation toute prête dans le Dieu national exclusif des Juifs, Yahvé.”

Anti-Dühring, 1878

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“Le mystère est un élément de la vie de l'homme (et) Jung a montré qu'il est catastrophique de rendre clair et superficiel ce qui est caché au plus profond de l'homme. […] Le sentiment du sacré et le sens du secret sont des éléments sans lesquels l'homme ne peut absolument pas vivre, les psychanalystes […] sont d'accord là dessus. Or (d'une part) l'invasion technique désacralise (la nature) dans l(a)quel(le) l'homme est appelé à vivre : […] elle montre par l'évidence, et non par la raison […] que le mystère n'existe pas. […] (D'autre part) nous assistons à un étrange renversement : l'homme ne pouvant vivre sans sacré, il reporte son sens du sacré sur ce qui a (désacralisé la nature) : la technique. Dans le monde où nous sommes, c'est la technique qui est devenue le mystère essentiel. […] [On « croit » en elle] parce qu'au moins ses miracles sont visibles et en progression. […] Un signe entre autres du sacré ressenti par l'homme devant la technique, c'est son souci de la traiter avec familiarité. […] Étant donné ses formes très diverses, il n’est pas question de parler d’une religion de la technique mais bien d’un sentiment du sacré qui s’exprime de façons différentes selon les hommes. […] De toutes façons, la technique est sacrée parce qu'elle est l'expression commune de la puissance de l'homme et que, sans elle, il se retrouverait pauvre, seul et nu, sans fard, cessant d'être le héros, le génie, l'archange qu'un moteur lui permet d'être à bon marché. Même ceux qui souffrent, qui sont au chômage ou qui sont ruinés par la technique, même ceux qui la critiquent et l'attaquent, sans oser aller trop loin […], ont cette mauvaise conscience à son égard qu'éprouvent tous les iconoclastes.”

La Technique ou l'Enjeu du siècle, 1954

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