“Et ça marchait! Je vais vous dire franchement, là: ça avait pas de bon sens, c'était un nid à feu. Les murs étaient en carton. Tout le monde fumait dans ça. Il rentrait à peu près 400 personnes, puis il y avait une porte en avant, une porte en arrière. Quand il y avait trop de monde, je barrais les deux portes. Il y avait un petit ext… Ah, c'était… des fois je repense à ça, je comprends pas qu'on m'ait laissé faire. J'avais 18 ans. Ça n'avait pas de bon sens. Dans ce temps-là, ça a l'air, des règles, il n'y en avait pas. Le filage électrique, tout ça, j'avais installé ça avec mes amis. On [ne] connaissait absolument rien dans l'électricité… Ah, oui, oui: au secours! Des fois, j'ai des frissons, je me dis: ça aurait pu être la plus belle catastrophe qu'il n'y a pas. Non. Ah non, ça n'avait aucun sens. Mais sauf que… ce qui était… euh… c'est que je faisais de l'argent. Eh, t'sé, à 18 ans, j'avais une Volvo neuve, pis la vie était belle, pis j'allais en croisière. Je faisais de l'argent comme de l'eau, mais… il reste une chose: c'est que c'était pas vraiment prudent. Je pense que les autorités municipales auraient dû y voir.”
René Homier-Roy (2014)
Thèmes
eau , temps , pensée , vie , argent , personnes , monde , foi , chose , personne , ami , arrière , sens , air , feu , porte , reste , électeur , mur , règle , autorité , bien-être , arrière-plan , catastrophe , être , avant , installation , porte-parole , règlement , pluie , port , bons , électricité , portée , nid , oui , dis~ , deux , croisière , non , faire , dire , secours , voirie , tout , peu , ans , près , frisson , municipale , cartonJean Tremblay 16
personnalité politique canadienne 1948Citations similaires

Après sa victoire en quart-de-finale de Roland-Garros en 2008 contre David Ferrer, à propos de son prochain match en demi-finale contre le numéro un mondial Roger Federer (match qu'il perdra). Cela faisait 7 ans qu'un Français n'avait pas atteint les demi-finales de Roland-Garros.

Par sujet, Burkini: les femmes voilées, retournez au Maroc!

Commentaire de Mary Pierce à propos de ce qu'on ressent pour une première finale en Grand Chelem, à l'occasion de la finale entre Francesca Schiavone et Samantha Stosur à Roland-Garros en 2010. Franco-américaine, Mary Pierce traduit littéralement en français une expression de langue anglaise, « to have butterflies in one's stomach » (« avoir des papillons dans l'estomac »), expression qui signifie « être nerveux » mais qui n'existe pas telle quelle en français.

“C'est ça la gloire. Un bon cigare dans la bouche par le côté du feu et de la cendre.”