Contribution à la critique de l'économie politique, 1859
“La passion pour la physique, c'est inextinguible. C'est la curiosité et jusqu'à présent, tout au moins pour notre génération, il n'y a pas de fin, hein, il y a toujours des problèmes extraordinaires et on subodore même que le problème qu'on veut résoudre d'ici l'an 2000, il y en a de plus extraordinaires que nous ne pouvons pas aborder encore. Et nous sommes peut-être pervertis, mais il n'y a pas de doute que c'est une grande passion. […] Gare aux vies privées. Beaucoup d'unions se sont brisées dessus. […] Il arrive que les gens qui vous sont chers vous disent: coucou, je suis là, parce qu'ils vous parlent, et tout à coup ils ont l'impression que vous êtes en train de penser à autre chose. Et c'est vrai que vous êtes en train de penser à autre chose. Des fois il faut des mois pour maturer quelque chose.”
Thèmes
problème , passion , faute , pensée , vie , foi , chose , mois , fin , gens , coupe , génération , bien-être , union , être , grand , train , pluie , impression , présent , coup , présentation , arrivée , parc , autre , privation , abord , curiosité , moins , vrai , physique , coucou , tout , brise , gare , dessus , douteGeorges Charpak 4
physicien français 1924–2010Citations similaires
[...] we have always had (secret, secret, close the doors!) we have always have had a great deal of difficulty in understanding the world view that quantum mechanics represents. At least I do, because I'm an old enough man that I haven't got to the point that this stuff is obvious to me. Okay, I still get nervous with it. And therefore, some of the youngest students...you know how it always is, every new idea, it takes a generation or two until it becomes obvious that there's no real problem. It has not yet become obvious to me that there is no real problem. I cannot define the real problem, therefore I suspect there's no real problem, but I'm not sure there's no real problem.
en
Histoire de mes idées philosophiques (1961)
“Il n'y a point de plus grande seigneurie que celle de soi-même, et de ses passions.”
L'Homme de cour, 1647