“Quand le destin a coupé le lien, aucun parent ne lui cache son enfant.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
Ahmadou Kourouma, né le 24 novembre 1927 à Boundiali en Côte d'Ivoire et mort le 11 décembre 2003 à Lyon en France, est un écrivain ivoirien. Wikipedia
“Quand le destin a coupé le lien, aucun parent ne lui cache son enfant.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“Aimer c’est servir un autre que soi-même et en faire un maître.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“Le sang qui doit couler ne passe pas la nuit dans les veines.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“La plume de l’oiseau s’envole en l’air mais elle termine à terre.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“Que personne ne se hâte de voir le jour ou tous ses parents et leurs familles feront son éloge.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“Si un canari se casse sur ta tête, lave-toi de cette eau.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“Quand le nerf vital est coupé, la poule tue le chat sauvage.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“Le cadavre d’un oiseau ne pourrit pas en l’air, mais à terre.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“Ce sont ceux qui ont peu de larmes qui pleurent vite le défunt.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“Une pirogue n’est jamais trop grande pour chavirer.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“Le destin est une volonté de Dieu que personne ne peut contre-carrer.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“Si Dieu tue un riche, il tue un ami; s’il tue un pauvre, il tue une canaille.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“Le lieu où l’on attend la mort n’a pas besoin d’être vaste.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“Sept nuits successives constituent une semaine. Trente nuits successives une lune.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“Qui se soustrait à la vue des gens rase le pubis de sa mère.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“Le singe n’abandonne pas sa queue, qu’il tient soit de son père soit de sa mère.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“Le vieil œil finit, la vieille oreille ne finit pas.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“Le veau ne perd pas sa mère même dans l’obscurité.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“Tu cultives un jour chômé mais la foudre conserve la parole dans le ventre.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“C’est au bout de la vieille corde qu’on tisse la nouvelle.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“Quand on ne sait où l’on va, qu’on sache d’où l’on vient.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“Si la perdrix s’envole son enfant ne reste pas à terre.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998
“En politique, le vrai et le mensonge portent le même pagne.”
Les soleils des Indépendances, 1970
“On ne rassemble pas des oiseaux quand on craint le bruit des ailes.”
Les soleils des Indépendances, 1970
“A la femme sans maternité manque plus que la moitié de la féminité.”
Les soleils des Indépendances, 1970
Les soleils des Indépendances, 1970