
La pensée ne doit jamais se soumettre, ni à un dogme, ni à un parti, ni à une passion, ni à un intérêt, ni à une idée préconçue, ni à quoi que ce soit, si ce n'est aux faits eux-mêmes, parce que, pour elle, se soumettre, ce serait cesser d'être.
Speech, University of Brussels (19 November 1909), during the festival for the 75th anniversary of the university's foundation; published in Œuvres de Henri Poincaré (1956), p. 152