“Dans notre système patriarcal occidental, la jeune fille non mariée appartient à son père, mais en des temps plus reculés, et comme c'est encore le cas dans certaines communautés primitives, elle était sa propre maîtresse jusqu'à son mariage. Le droit de disposer de soi-même jusqu'à ce qu'on se marie fait partie du concept primitif de la liberté. Une protection générale est accordée aux jeunes filles dans les sociétés primitives, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de la tribu […]. Cette liberté d'action implique le droit de refuser les privautés aussi bien que celui de les accepter. Une fille appartient à elle-même tant qu'elle est vierge, célibataire, et l'on ne peut l'obliger ni à conserver sa chasteté ni à consentir à une étreinte non désirée. En tant que vierge elle n'appartient qu'à elle-même, elle est une.”
Les Mystères de la femme, 1953
Thèmes
maîtresse , père , liberté , temps , fille , mariage , cas , fait , partie , droit , système , communauté , action , accord , société , bien-être , conservateur , protection , part , pluie , concept , jeunes , obligation , maître , concepteur , jeune , acceptation , tante , conservation , intérieur , disposition , mars , ni~ , généralisation , desire , extérieur , non , tribu , occidental , recul , vierge , célibataire , jeune filleMary Esther Harding 14
médecin et analyste jungienne 1888–1971Citations similaires

“Les sociétés naissantes sont toujours primitives.”
Citations de ses romans, Je suis une légende (I am Legend), 1954

L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Fénelon

A propos de la Cour européenne des droits de l'homme
Sur la criminalité
Démocratie antique et Démocratie moderne (Democracy ancient and modern), 1973

“Première communion de jeunes filles chlorotiques par un temps de neige.”

Dialectique du moi et de l'inconscient, 1933