Il est ici question de Madame de Sévigné.
L'Éducation des femmes par les femmes, 1885, Préface
“Appartenant à la première moitié du dix-septième siècle, elle en aimait la sève riche et puissante, le ferme esprit d’analyse et de retour sur soi. Tous les jours « elle travaillait à son esprit, à son âme, à son cœur. » Ce qu’elle adorait dans les livres de Nicole, c’est qu’il lui semblait qu’ils étaient faits à son intention : elle s’y trouvait toujours et partout; ils lui fournissaient des soulagements, des consolations, des remèdes contre ses défauts, ses passions, contre les faiblesses humaines qui ne la quittaient point même « au milieu des grandes moralités du carême, » contre ses moindres ennuis, voire contre la pluie. On sait « les bouillons » qu’elle en tirait.”
D'autres auteurs la concernant
Thèmes
âme , passion , livres , jour , fait , point , livre , esprit , cœur , siècle , milieu , moitié , retour , grand , ferme , analyse , pluie , pointe , humain , intention , faiblesse , remède , défaut , consolation , contrée , septième , bouillon , soulagement , ennui , voirie , première , riche , dixième , moralitéMarie de Sévigné 15
écrivain française 1626–1696Citations similaires
“Les lois sont toujours faites par les riches contre les pauvres.”
Les Vingt et un Jours d'un neurasthénique, 1901
The Social Contract
Du contrat social, 1762
Variante: La loi judaïque toujours subsistante, celle de l'enfant d'Ismaël qui depuis dix siècles régit la moitié du monde, annoncent encore aujourd'hui les grands hommes qui les ont dictées; et tandis que l'orgueilleuse philosophie ou l'aveugle esprit de parti ne voit en eux que d'heureux imposteurs, le vrai politique admire dans leurs institutions ce grand et puissant génie qui préside aux établissements durables.
Sur le paupérisme
Discours, Discours à la Convention nationale sur les subsistances, [2, décembre, 1792]