
“Mon nez n'est plus ce qu'il était autrefois. On a dû me le refaire entièrement dans un hôpital de la R. A. F. Pendant la guerre, à la suite d'un méchant accident d'avion, mais quoi, il est toujours là, j'ai continué à respirer à travers plusieurs républiques et, encore en ce moment, couché entre ciel et terre, lorsque mon vieux besoin d'amitié me reprend et que je pense à mon chat Mortimer, enterré dans un jardin de Chelsea, à mes chats Nicolas, Humphrey, Gaucho et à Gaston, le chien sans race, qui m'ont tous quitté depuis longtemps, il me suffit de lever la main et de toucher le bout de mon nez pour m'imaginer qu'il me reste encore de la compagnie.”
La Promesse de l'aube, 1960
Thèmes
chat , chienne , pensée , amitié , guerre , chiens , main , hôpital , reste , chien , terre , accident , avion , pluie , ciel , nez , jardin , toucher , entrée , imagination , couche , main- , république , race , besoin , bout , enterrement , suite , moment , travée , pendant , leverRomain Gary 130
écrivain et diplomate français 1914–1980Citations similaires


Anne Calife sous le nom de Anne Colmerauer, La déferlante, 2003, Anne Calife, Paul et le chat, 2004

Ouvrages, Ma Part de vérité

My pussy has nine lives.
en
Années 1990, Extraits de son livre SEX

Commentaire de Mary Pierce à propos de ce qu'on ressent pour une première finale en Grand Chelem, à l'occasion de la finale entre Francesca Schiavone et Samantha Stosur à Roland-Garros en 2010. Franco-américaine, Mary Pierce traduit littéralement en français une expression de langue anglaise, « to have butterflies in one's stomach » (« avoir des papillons dans l'estomac »), expression qui signifie « être nerveux » mais qui n'existe pas telle quelle en français.

“Peu importe qu’un chat soit blanc ou noir, du moment qu'il attrape les souris.”
“Si le rat a mis une culotte, ce sont les chats qui l’ôtent.”
En attendant le vote des bêtes sauvages, 1998