“Tu passes rarement sur mon chemin. Je suis à l’âge où l’on commence à regarder ses doigts maigres, et où la jeunesse est si pleine, si réelle qu’elle ne va pas tarder à se flétrir. Tes lèvres font monter les larmes à mes yeux; tu couches toute nue dans mon cerveau et je n’ose plus dormir.”
La Liberté ou l'Amour !, 1927
Citations similaires

“Où va-t-on si on ne peut même plus assouvir ses pulsions dans des cimetières?”
Cosmétique de l'ennemi, 2001

Réponse de Jean Malrieu à l'interrogation suivante : Comment se caractérisent vos représentations imaginaires dans l'acte d'amour ? Justifient-elles un jugement de valeur ? Sont-elles spontanées ou volontaires ? se succèdent-elles dans un ordre fixe ? Lequel ? — Il est clairement question d'une enquête initiée par la revue surréaliste La Brèche en décembre 1964. [Premières réponses à l'enquête sur les représentations érotiques, Jean Malrieu, La Brèche, 7, Décembre 1964, 92]
Presse, Premières réponses à l'enquête sur les représentations érotiques, 1964