“La suite de cet entretien manque à ma mémoire. La coupure est aussi brutale que si je fusse, à ce moment, devenue sourde. C’est qu’indifférente à la fille-de-mon-père, je laissai ma mère tirer de l’oubli les morts qu’elle aimait, et je restai rêveusement suspendue à un parfum, à une image suscités : l’odeur du chocolat en briques molles, la fleur creuse éclose sous les pattes du chat errant.”
Romans, La Maison de Claudine, 1922
Citations similaires

“Tirer les marrons du feu avec la patte du chat.”

Anne Calife sous le nom de Anne Colmerauer, La déferlante, 2003, Anne Calife, Paul et le chat, 2004


Échec, Joseph Delteil, Littérature Nouvelle Série, 10, Octobre 1923, 7
Échec, 1923