Discours prononcé par Pierre Mendès France le 25 octobre 1965.
“Richelieu pensait toujours, roulait et déroulait le papier dans ses mains. Enfin il leva la tête, fixa son regard d’aigle sur cette physionomie loyale, ouverte, intelligente, lut sur ce visage sillonné de larmes toutes les souffrances qu’il avait endurées depuis un mois, et songea pour la troisième ou quatrième fois combien cet enfant de vingt et un ans avait d’avenir, et quelles ressources son activité, son courage et son esprit pouvaient offrir à un bon maître.
D’un autre côté, les crimes, la puissance, le génie infernal de Milady l’avaient plus d’une fois épouvanté. Il sentait comme une joie secrète d’être à jamais débarrassé de ce complice dangereux.”
Les Trois Mousquetaires, 1844
Thèmes
maîtresse , courage , avenir , larmes , enfants , foi , enfant , mois , main , esprit , tête , visage , papier , activité , ressource , maître , bons , aigle , main- , regard , en-tête , quatrième , troisième , tout , lutteur , souffrance , ansAlexandre Dumas 133
écrivain et dramaturge français, père de l'écrivain et dram… 1802–1870Citations similaires
“Ne pleure pas, Alfred ! J'ai besoin de tout mon courage pour mourir à vingt ans !”
“Le troisième verre de vin est toujours de trop. Passez directement du deuxième au quatrième.”
Guerre et Plaies, 2003
Lettre à Agricol Perdiguier, 20 août 1840
Correspondance autre
La Hache des steppes, 1974
Il convient d'avoir à l'esprit que l'emblème national de la Pologne est un aigle blanc.
Le chemin de ma croix