William Shakespeare citations

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“Le fou pense qu'il est sage, mais le sage lui-même sait qu’il est fou.”

“Mieux vaut mourir incompris que passer sa vie à s'expliquer.”

“Elle aimait la vie… Il aimait la mort…
I vivait pour elle… Elle est morte pour lui…”

“Puis-je aller plus loin quand mon coeur est ici?”

“Hamlet : J'aimais Ophélia. Quarante mille frères — ne pourraient pas, avec tous leurs amours réunis, — parfaire la somme du mien.”

“Pourquoi le meurtre a-t-il ce pouvoir de provoquer l'imagination des hommes? Pourquoi le récit d'un crime sanglant évince-t-il de la une des journaux les développements d'une guerre mondiale? Et pourquoi Shakespeare, dont il est difficile de découvrir une pièce dont le meurtre est absent, est-il le plus grand auteur dramatique de tous les temps?”

“Shakespeare parle mieux que Freud de la façon dont désirent la plupart des hommes.”

“L'amour n'est qu'une folie et mérite le cachot et le fouet tout autant que les fous.”

“Ces plaisirs violents ont des fins violentes. Dans leurs excès ils meurent, tels la poudre et le feu que leurs baisers consument.”

“Une femme repousse parfois ce qui la charme le plus”

“Il y a quelque chose de pourri dans le royaume du Danemark.”

“C'est à l'endroit où l'eau est la plus profonde qu'elle est la plus calme.”

“Qui cherche et ne saisit pas ce qui s'offre ne le reverra jamais plus.”

“L'amour, un délicat enfant! il est brutal, rude, violent! il écorche comme l'épine.”

“Dans mon petit monde, j'étais tout seul, d'accord, mais roi. Et un roi, ça ne songe pas qu'à des choses douces et tendres, croyez-moi, sinon relisez Shakespeare.”

“Chaque fois que j'ai lu Shakespeare, il m'a semblé que je déchiquetais la cervelle d'un jaguar.”

“Shakespeare n'a jamais écrit une pure tragédie, mais des mélodrames qui avaient la stature de tragédies.”

“Shylock : Un Juif n'a-t-il pas des yeux? Un Juif n'a-t-il pas des mains, des organes”

“Chaque fois qu'Orson Welles a dû retrouver son identité, c'est vers Shakespeare qu'il s'est tourné.”

“l'heure!—Horrible est le beau, beau est l'horrible.”

“PORTIA
Le caractère de la clémence est de n’être point forcée. Elle tombe, comme la douce pluie du ciel sur le lieu placé au-dessous d’elle. Deux fois bénie, elle est bonne à celui qui donne et à celui qui reçoit. C’est la plus haute puissance du plus puissant. Elle sied au monarque sur le trône mieux que sa couronne. Son sceptre montre la force de son autorité temporelle; c’est l’attribut du pouvoir qu’on révère et de la majesté; mais la clémence est au-dessus de la domination du sceptre; elle a son trône dans le cœur des rois.”

“Si l'amour est brutal avec vous, soyez brutal avec lui; écorchez l'amour qui vous écorche, et vous le dompterez.”

“Hélas! faut-il que l'amour, si doux en apparence, soit si tyrannique et si cruel à l'épreuve!”

“Dicen que un porqué tiene un para qué.”

“Roméo : Si j'ai profané avec mon indigne main cette châsse sacrée, je suis prêt à une douce pénitence : permettez à mes lèvres, comme à deux pèlerins rougissants, d'effacer ce grossier attouchement par un tendre baiser.
Juliette : Bon pèlerin, vous êtes trop sévère pour votre main qui n'a fait preuve en ceci que d'une respectueuse dévotion. Les saintes mêmes ont des mains que peuvent toucher les mains des pèlerins; et cette étreinte est un pieux baiser.
Roméo : Les saintes n'ont-elles pas des lèvres, et les pèlerins aussi?
Juliette : Oui, pèlerin, des lèvres vouées à la prière.
Roméo : Oh! alors, chère sainte, que les lèvres fassent ce que font les mains. Elles te prient; exauce-les, de peur que leur foi ne se change en désespoir.
Juliette : Les saintes restent immobiles, tout en exauçant les prières.
Roméo : Restez donc immobile, tandis que je recueillerai l'effet de ma prière. Vos lèvres ont effacé le péché des miennes.
Juliette : Mes lèvres ont gardé pour elles le péché qu'elles ont pris des vôtres.
Roméo : Vous avez pris le péché de mes lèvres? Ô reproche charmant! Alors rendez-moi mon péché.
Juliette : Vous avez l'art des baisers.”

“Ô Roméo! Roméo! pourquoi es-tu Roméo? Renie ton père et abdique ton nom; ou, si tu ne le veux pas, jure de m'aimer, et je ne serai plus une Capulet.”

“Par l'univers! Je crois que ma femme est honnête et qu'elle ne l'est pas; je crois que tu es probe et que tu ne l'es pas; je veux avoir quelque preuve. Son nom, qui était pur comme le visage de Diane, est maintenant terni et noir comme ma face!… S'il y a encore des cordes ou des couteaux, des poisons ou du feu ou des flots suffocants, je n'endurerai pas cela! Oh! avoir la certitude!”

“L'amour est une fumée de soupirs; dégagé, c'est une flamme qui étincelle aux yeux des amants; comprimé, c'est une mer qu'alimentent leurs larmes. Qu'est-ce encore? La folle la plus raisonnable, une suffocante amertume, une vivifiante douceur!”

“BENVOLIO : Suis mon conseil : cesse de penser à elle.
ROMÉO : Oh! apprends-moi comment je puis cesser de penser.
BENVOLIO : En rendant la liberté à tes yeux : examine d’autres beautés.”

“Hamlet : Il y a plus de choses sur la terre et dans le ciel, Horatio, qu’il n’en est rêvé dans votre philosophie.”

“Le roi Henry : Nous ne sommes pas un tyran, mais un roi chrétien; et notre colère est assujettie à notre mansuétude, tout comme les misérables mis aux fers dans nos prisons.”

“How does he love me? With adoration, with fertile tears,
With groans that thunder love, with sighs of fire.”

“One half of me is yours, the other half is yours,
Mine own, I would say; but if mine, then yours,
And so all yours.”

“I hold the world but as the world, Gratiano, A stage where every man must play a part, And mine a sad one.”

“Educated men are so impressive!”

“If we shadows have offended,
Know but this and all is mended.
That you have but slumbered here,
While these visions did appear,
And this weak and idle theme,
No more yielding, but a dream.”

“I could be bounded in a nutshell and count myself king of infinite space.”

“Is it not strange that sheep's guts could hail souls out of men's bodies?”

“O Romeo, Romeo! wherefore art thou Romeo?”

“Blood will have blood.”

“I would not wish any companion in the world but you.”

“Some rise by sin, and some by virtues fall.”

“Benvolio: What sadness lengthens Romeo's hours?
Romeo: Not having that, which, having, makes them short.”

“And since you know you cannot see yourself,
so well as by reflection, I, your glass,
will modestly discover to yourself,
that of yourself which you yet know not of.”

“Will all great Neptune's ocean wash this blood clean from my hand? No, this my hand will rather the multitudinous seas incarnadine, making the green one red.”

“Tell me where is fancy bred,
Or in the heart, or in the head?”

“Life… is a paradise to what we fear of death.”

“Your face, my thane, is as a book where men
May read strange matters. To beguile the time,
Look like the time; bear welcome in your eye,
Your hand, your tongue: look like the innocent flower,
But be the serpent under't.”

“Alas, that love, so gentle in his view,
Should be so tyrannous and rough in proof!

*It’s sad. Love looks like a nice thing, but it’s actually very rough when you experience it.”

“This cold night will turn us all to fools and madmen.”

“Ill met by moonlight, proud Titania”

“I hold my peace, sir? no;
No, I will speak as liberal as the north;
Let heaven and men and devils, let them all,
All, all, cry shame against me, yet I'll speak.”

“One pain is lessened by another’s anguish…. Take thou some new infection to thy eye, And the rank poison of the old will die.”

“There is special providence in the fall of a sparrow.”

“But I am constant as the Northern Star,
Of whose true fixed and resting quality
There is no fellow in the firmament.”

“Uneasy lies the head that wears a crown.”

“Thou weigh'st thy words before thou givest them breath.”

“You are thought here to the most senseless and fit man for the job.”

“O me, you juggler, you canker-blossom, you thief of love!”

“Stars hide your fires; let not light see my black and deep desires: The eyes wink at the hand; yet let that be which the eye fears, when it is done, to see”