
Hélas! les vices de l’homme, si pleins d’horreur qu’on les suppose, contiennent la preuve (quand ce ne serait que leur infinie expansion!) de son goût de l’infini.
"Le poème du haschisch," I: Le goût de l’infini http://fr.wikisource.org/wiki/Les_Paradis_artificiels_-_I
Les paradis artificiels (1860)