
Je suis le premier qui ai fait descendre la poésie du Parnasse, et qui ai donné à ce qu’on nommait la muse, au lieu d’une lyre à sept cordes de convention, les fibres mêmes du cœur de l’homme, touchées et émues par les innombrables frissons de l’âme et de la nature. (fr.)
z przedmowy do Dumań poety z wydania z 1849.
Źródło: Jerzy Adamski, Historia literatury francuskiej. Zarys, Wrocław 1989, s. 117.