Citations sur clandestin

Une collection de citations sur le thème de clandestin, bien-être, être, porte-parole.

Citations sur clandestin

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“J'adore le mot tapette parce qu'il désigne mon genre de gars! Parce que moi, je suis une fille à tapettes. Les filles à tapettes sont la colonne vertébrale de la communauté gaie. Sans nous, vous n'êtes rien! Nous y étions, à travers l'histoire, pour vous guider le long du chemin de fer clandestin! … C'est avec nous que vous êtes allés au bal des finissants!”

Margaret Cho (1968) actrice américaine

I love the word "faggot," because it describes my kind of guy! You see, I am a fag hag. Fag hags are the backbone of the gay community. Without us, you're nothing! We have been there all through history guiding your sorry ass through the underground railroad! ...We went to the prom with you!
en
I'm the One that I Want

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“Ça fait mal de respirer quand il fait aussi froid, mais malgré tous les problèmes d'être coincés par l'hiver dans la ville, ils le supportent parce que tout vaut d'être sur l'Avenue Lenox à l'abri des sales Blancs et des trucs qu'ils inventent; là où les trottoirs, couverts de neige ou non, sont plus larges que les grandes rues des villes où ils sont nés et où des gens parfaitement ordinaires peuvent attendre à l'arrêt, monter dans le tramway, donner une pièce au conducteur et aller partout où ils veulent, même si on n'a pas envie d'aller si loin parce que tout ce qu'on veut est sur place : l'église, la boutique, la fête, les femmes, les hommes, la boîte à lettres (mais pas de lycée), le marchand de meubles, le vendeur de journaux ambulant, les bistrots clandestins (mais pas de banque), les instituts de beauté, les coiffeurs, les bars à juke-box, les voitures à glace, les chiffonniers, les salles de billard, les marchés couverts, les vendeurs de la loterie, et tous les clubs, organisations, syndicats, sociétés, fraternités, sororités ou associations imaginables. Les ornières de ces services, bien sûr, sont usées et des pistes sont lissées par les membres d'un groupe dans le territoire d'un autre où on croit qu'il y a quelque chose de curieux ou d'excitant. Un truc brillant, crépitant, effrayant. Là où on peut faire sauter le bouchon et porter la bouche glacée du verre à la sienne. Où on peut trouver le danger ou le devenir; où on peut se battre jusqu'à tomber et sourire au couteau quand il vous rate ou non. Juste voir ça, c'est merveilleux. Et c'est tour aussi merveilleux de savoir que dans son propre immeuble il y a des listes faites par les épouses pour envoyer le mari au marché couvert, que des draps impossibles à étendre sous la neige sont tendus dans les cuisines comme les rideaux dans un sketch de patronage sur l'Abyssinie.”

Jazz, 1992

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