Citations sur l'éducation et l'intelligence

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“C'est le paradoxe du totalitarisme moderne. C'est la clé de l'esclavage mental de l'humanité: l'individu est réduit à rien et opère comme la partie physique de ce qui est considérée comme un groupe d'une plus haute intelligence et agit sur la volonté de cette plus haute intelligence, dont il n'a pas idée des plans qu'elle a pour l'utiliser.”

Bella Dodd (1904–1969)

This is the peculiar paradox of modern totalitarianism. This is the key to the mental enslavement of mankind: that the individual is made into nothing, that he operates as the physical part of what is considered a higher group intelligence and acts at the will of that higher intelligence, that he has no awareness of the plans the higher intelligence has for utilizing him.
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“Les livres ont les mêmes ennemis que l'homme : le feu, l'humide, les bêtes, le temps; et leur propre contenu.”

Paul Valéry (1871–1945) écrivain, poète et philosophe français

Tel quel
Variante: Les livres ont les mêmes ennemis que l'homme : le feu, l'humide, les bêtes, le temps, et leur propre contenu.

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“Les livres sous licence libre sont la prochaine grosse révolution dans l'éducation.”

Jimmy Wales (1966) homme d'affaires américain, co-fondateur de Wikipédia

The freely licenced text books are the next big thing in education.
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Dernière phrase du discours portant le projet wikibooks.

“Il n'est pas bon d'être tellement aimé, si jeune, si tôt. Ca vous donne de mauvaises habitudes. On croit que c'est arrivé. On croit que ça existe ailleurs, que ça peut se retrouver. On compte la dessus. On regarde, on espère, on attend. Avec l'amour maternel, la vie vous fait à l'aube une promesse qu'elle ne tient jamais. On est obligé ensuite de manger froid jusqu'à la fin de ses jours. Après cela, chaque fois qu'une femme vous prend dans ses bras et vous serre sur son cœur, ce ne sont que des condoléances. On revient toujours gueuler sur la tombe de sa mère comme un chien abandonné. Jamais plus, jamais plus, jamais plus. Des bras adorables se referment autour de votre cou et des lèvres très douces vous parlent d'amour, mais vous êtes au courant. Vous êtes passés à la source très tôt et vous avez tout bu. Lorsque la soif vous reprend, vous avez beau vous jeter de tous côtés, il n'y a plus de puits, il n'y a que des mirages. Vous avez fait, dès la première lueur de l'aube, une étude très serrée de l'amour et vous avez sur vous de la documentation. Je ne dis pas qu'il faille empêcher les mères d'aimer leurs petits. Je dis simplement qu'il vaut mieux que les mères aient encore quelqu'un d'autre à aimer. Si ma mère avait eu un amant, je n'aurai pas passé ma vie à mourir de soif auprès de chaque fontaine. Malheureusement pour moi, je me connais en vrais diamants.”

La Promesse de l'aube, 1960

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