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Discours de Bornemouth, 10 octobre 1986
“Légalement jusqu'à la fin du XVIIIème siècle et de fait pendant cent ans de plus, le régime du majorat accordait, en effet, au fils aîné, dans toutes les couches sociales, la teneur et le droit d'administration du patrimoine familial. D'où un nombre important de cadets, hommes et femmes, qui ne se mariaient pas parce qu'ils manquaient du substratum économique correspondant à leur position. Le clergé séculier et les congrégations religieuses absorbaient un grand nombre d'entre eux. D'autres entraient au service du Roi ou de Malte. Beaucoup, les femmes en particulier, restaient célibataires dans la maison de famille où ils avaient de plein droit leur place. La capacité théorique de reproduction se réduisait ainsi à un point considérable. Le célibat, en tant que facteur de l'équilibre démographique, a presque complètement disparu à notre époque, même dans les pays catholiques. Reste l'émigration […]”
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Thèmes
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1915–1990Citations similaires
“L'homme le plus heureux est celui qui fait le bonheur d'un plus grand nombre d'autres.”
Dorval répète ici les mots d’une nommée Constance Clairon.
Livre Œuvres complètes de Diderot, Jules Assézat, Garnier, 1875, 126, 7, Entretiens sur "Le Fils naturel" : Dorval et moi, 1757
Entretiens sur « Le Fils naturel » : Dorval et moi
Écrits et articles, Sur la nécessité de révoquer le marc d'argent, vers le début avril 1791
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Discours de Bornemouth, 10 octobre 1986
Discours prononcé le 14 juillet 1922, à l’ambassade de France.
Discours