Discours, Sur les droits politiques des hommes de couleur libres révoqués le [24, septembre, 1791]
“Mais, messieurs, je ne puis m'empêcher de répondre à une certaine observation que l'on vous a présentée pour affaiblir l'intérêt des hommes libres de couleur. Remarquez qu'il n'est pas question de leur accorder leurs droits, de les leur reconnaître, remarquez qu'il est question de les leur arracher après que vous les leur avez reconnus. Et quel est l'homme qui avec quelque sentiment de justice, puisse se porter légèrement à dire à plusieurs milliers d'hommes : nous avions reconnu que vous aviez des droits, nous vous avons regardés comme des citoyens actifs, mais nous allons vous replonger dans la misère et dans l'avilissement; nous allons vous remettre aux pieds de ces maîtres impérieux dont nous vous avions aidés à secouer le joug.”
Discours, Sur les droits politiques des hommes de couleur libres révoqués le [24, septembre, 1791]
Thèmes
maîtresse , misère , hommes , justice , couleur , sentiment , homme , question , droit , intérêt , accord , porte , pied , citoyen , l'après-midi , porte-parole , actif , port , maître , présent , observateur , observation , présentation , portée , regard , joug , dire , secours , messieurs , millier , empêchement , affaiblissementMaximilien de Robespierre 118
homme politique français 1758–1794Citations similaires
A Bachelor's Establishment (1842)
La Civilisation des Arabes (1884)
Discours, Intervention à l'Assemblée constituante en faveur des droits des hommes de couleur libres,[12, mai, 1791]
Discours, Contre l'amendement Rewbell excluant les hommes des couleur libres qui ne sont pas nés de père et mère libres,[15, mai, 1791]
Texte écrit en 1955 par Hunter Thompson "Sécurité", paru dans The Spectator, bulletin annuel de la Athenaeum Literary Association de Louisville
Correspondance, 1955
Contre l'absence de l'abbé Sieyes, auteur d'une proposition de loi en faveur de deux chambres, 20 juin 1791
Discours
Entretiens
Serviens autem Deo animus recte imperat corpori, inque ipso animo ratio Deo Domino subdita recte imperat libidini vitiisque ceteris. Quapropter ubi homo Deo non servit, quid in eo putandum est esse justitiæ? quando quidem Deo non serviens nullo modo potest juste animus corpori aut humana ratio vitiis imperare. Et si in homine tali non est ulla justitia, procul dubio nec in hominum cœtu, qui ex hominibus talibus constat. Non est hic ergo juris ille consensus, qui hominum multitudinem populum facit, cujus res dicitur esse res publica .
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Citations de saint Augustin, La Cité de Dieu