„[…] en 1835, Balzac, vraisemblablement encore troublé comme beaucoup par la vague déferlante de la première révolte absolue contre la condition humaine, éprouve le curieux besoin d'y mettre un terme avec son Melmoth réconcilié. Qu'on ne s'y trompe pas : ce n'est pas une fantaisie littéraire ni un exercice de style, c'est une mesure d'ordre. Comme d'autres l'on fait de la dialectique, ici Balzac remet le roman sur ses pieds.“
Essai critique, Les châteaux de la subversion, 1982
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27 mai 1978.
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Les confessions d'un homme en trop, 1990

— Boccace poète et romancier italien, ministre plénipotentiaire de la République de Florence 1313 - 1375
Cinquième journée, 4
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fr
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— Paul Léautaud écrivain français 1872 - 1956
16 juillet 1925
Journal littéraire, Une galerie de portraits monumentale

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À propos d'Orson Welles

— Théophile Gautier, livre Le Roman de la momie
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Le roman de la momie, 1858

— Charles de Foucauld officier, explorateur, géographe, linguiste, ermite et ecclésiastique et bienheureux catholique français 1858 - 1916
citation de la prière de Charles de Foucauld .

— Mikhaïl Aleksandrovitch Bakounine, livre Dieu et l'État
Dieu et l'État
Variante: Amoureux et jaloux de la liberté humaine, et la considérant comme la condition absolue de tout ce que nous adorons et respectons dans l'humanité, je retourne la phrase de Voltaire, et je dis : Si Dieu existait réellement, il faudrait le faire disparaître.